Nora Berra, secrétaire d’Etat chargée de la Santé au sein du gouvernement Fillon a accueilli, vendredi à Paris, le président Gaston Tong Sang et le vice-président Edouard Fritch. Au centre de leurs échanges, le coût de fonctionnement du nouvel hôpital et le renouvellement, souhaité par le Pays, de la convention Santé.
Le président a indiqué que tandis que sont reconnues des maladies radio-induites, le nouvel hôpital allait soigner désormais des malades du cancer qui pourraient avoir été victimes des essais nucléaires. Le Pays juge, en conséquence que l’Etat pourrait participer de manière indirecte au fonctionnement de l’hôpital et rembourser les dépenses médicales engagées par la Caisse de Prévoyance Sociale. « Certes, la santé est de compétence territoriale. L’autonomie nous permet d’aller jusqu’à une certaine limite ». Mais dans l’esprit de Gaston Tong Sang, au-delà de cette limite, la solidarité nationale doit pouvoir encore s’exercer.
Inauguration de l’hôpital par la secrétaire d’Etat ?
D’où l’intérêt d’évoquer la convention santé, destinée à financer le régime de solidarité. A l’origine, cette convention portait sur un montant de 3 milliards de francs, réduit à 1 milliard en 2007. Elle a pris fin cette même année au grand dam du gouvernement : « nous aurions aimé poursuivre et que l’Etat soit présent à nos côtés » a déclaré le chef de l’exécutif.
Gaston Tong Sang a précisé à Nora Berra que cet établissement avait aussi une vocation régionale car il est « l’un des mieux équipés du Pacifique » et qu’il serait judicieux de « trouver une complémentarité entre lui et celui de la Nouvelle-Calédonie ».
Par ailleurs, le président Gaston Tong Sang a invité Nora Berra à venir inaugurer le nouvel hôpital. La date de cette inauguration a, dans l’instant, été fixée au 10 décembre « mais elle peut être repoussée éventuellement » a indiqué le président polynésien. La secrétaire d’Etat a assuré qu’elle répondrait à cette invitation, dans les semaines à venir, si son agenda le lui permet.
Le président a indiqué que tandis que sont reconnues des maladies radio-induites, le nouvel hôpital allait soigner désormais des malades du cancer qui pourraient avoir été victimes des essais nucléaires. Le Pays juge, en conséquence que l’Etat pourrait participer de manière indirecte au fonctionnement de l’hôpital et rembourser les dépenses médicales engagées par la Caisse de Prévoyance Sociale. « Certes, la santé est de compétence territoriale. L’autonomie nous permet d’aller jusqu’à une certaine limite ». Mais dans l’esprit de Gaston Tong Sang, au-delà de cette limite, la solidarité nationale doit pouvoir encore s’exercer.
Inauguration de l’hôpital par la secrétaire d’Etat ?
D’où l’intérêt d’évoquer la convention santé, destinée à financer le régime de solidarité. A l’origine, cette convention portait sur un montant de 3 milliards de francs, réduit à 1 milliard en 2007. Elle a pris fin cette même année au grand dam du gouvernement : « nous aurions aimé poursuivre et que l’Etat soit présent à nos côtés » a déclaré le chef de l’exécutif.
Gaston Tong Sang a précisé à Nora Berra que cet établissement avait aussi une vocation régionale car il est « l’un des mieux équipés du Pacifique » et qu’il serait judicieux de « trouver une complémentarité entre lui et celui de la Nouvelle-Calédonie ».
Par ailleurs, le président Gaston Tong Sang a invité Nora Berra à venir inaugurer le nouvel hôpital. La date de cette inauguration a, dans l’instant, été fixée au 10 décembre « mais elle peut être repoussée éventuellement » a indiqué le président polynésien. La secrétaire d’Etat a assuré qu’elle répondrait à cette invitation, dans les semaines à venir, si son agenda le lui permet.
