MELBOURNE, vendredi 10 janvier 2014 (Flash d’Océanie) – L’agence nationale australienne pour la recherche scientifique (CSIRO) s’est distinguée en fin de semaine en décidant d’exaucer le vœu d’une petite fille de sept ans, qui lui avait écrit pour demander que les chercheurs lui créent un « bébé dragon ».
La petite Sophie Lester, depuis sa ville de Brisbane (Queensland), avait été déçue quelques jours auparavant lorsque son père avait expliqué qu’il n’avait pas pu lui trouver de bébé dragon en guise de cadeau de Noël.
Mais il a suggéré une autre idée à sa fille : qu’elle se tourne non pas vers le Père Noël, mais vers des scientifiques.
Convaincue, la fillette a ensuite, lundi, envoyé une lettre à cet institut.
« Est-ce que c’est possible de me faire un dragon ? Si vous pouviez, ça serait bien, mais si vous ne pouvez pas, c’est pas grave », avait écrit la fillette qui voulait ensuite baptiser la créature « Toothless (sans dent) si c’est une fille » et « Stuart si c’est un garçon ».
Elle promettait aussi dans sa lettre de lui donner suffisamment d’espace, de bien le nourrir (avec du poisson cru), de lui mettre un collier et de le soigner s’il se faisait mal.
Dans un premier temps, le CSIRO s’est contenté de poster la lettre sur son site Internet, en s’excusant au passage de ne pas avoir de programme de programme dédié à la recherche sur les dragons, en tout cas « pas de la variété mythique, du genre cracheur de feu », mais en précisant qu’il allait « étudier la question ».
Mais cette lettre a ensuite provoqué un flot de réactions y compris à l’étranger, venant d’individus, d’entreprises et organisations, tous désireux de voir la demande de Sophie exaucée.
L’organisation scientifique a ensuite fait jouer ses réseaux et convaincu l’un de ses sous-traitants réguliers, Lab 22 (Melbourne), spécialisé dans la production de modèles en 3D (allant des prothèses biomédicales aux pièces détachées destinées à l’aérospatiale), de réaliser ce projet.
Résultat : un dragon en titane qui, selon ses réalisateurs, sera « tout à fait capable de voler », a estimé Chad Henry, de chez Lab 22.
Le petit dragon a ensuite été expédié à Sophie qui, depuis, ne jure que par le CSIRO et déclare à qui veut l’entendre qu’elle veut y travailler car « les scientifiques australiens peuvent faire n’importe quoi ».
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La petite Sophie Lester, depuis sa ville de Brisbane (Queensland), avait été déçue quelques jours auparavant lorsque son père avait expliqué qu’il n’avait pas pu lui trouver de bébé dragon en guise de cadeau de Noël.
Mais il a suggéré une autre idée à sa fille : qu’elle se tourne non pas vers le Père Noël, mais vers des scientifiques.
Convaincue, la fillette a ensuite, lundi, envoyé une lettre à cet institut.
« Est-ce que c’est possible de me faire un dragon ? Si vous pouviez, ça serait bien, mais si vous ne pouvez pas, c’est pas grave », avait écrit la fillette qui voulait ensuite baptiser la créature « Toothless (sans dent) si c’est une fille » et « Stuart si c’est un garçon ».
Elle promettait aussi dans sa lettre de lui donner suffisamment d’espace, de bien le nourrir (avec du poisson cru), de lui mettre un collier et de le soigner s’il se faisait mal.
Dans un premier temps, le CSIRO s’est contenté de poster la lettre sur son site Internet, en s’excusant au passage de ne pas avoir de programme de programme dédié à la recherche sur les dragons, en tout cas « pas de la variété mythique, du genre cracheur de feu », mais en précisant qu’il allait « étudier la question ».
Mais cette lettre a ensuite provoqué un flot de réactions y compris à l’étranger, venant d’individus, d’entreprises et organisations, tous désireux de voir la demande de Sophie exaucée.
L’organisation scientifique a ensuite fait jouer ses réseaux et convaincu l’un de ses sous-traitants réguliers, Lab 22 (Melbourne), spécialisé dans la production de modèles en 3D (allant des prothèses biomédicales aux pièces détachées destinées à l’aérospatiale), de réaliser ce projet.
Résultat : un dragon en titane qui, selon ses réalisateurs, sera « tout à fait capable de voler », a estimé Chad Henry, de chez Lab 22.
Le petit dragon a ensuite été expédié à Sophie qui, depuis, ne jure que par le CSIRO et déclare à qui veut l’entendre qu’elle veut y travailler car « les scientifiques australiens peuvent faire n’importe quoi ».
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