Un pasteur, Laione Lutumaimuri Nacevamaca, basé à Nadi, a également été interpellé, soupçonné d’être à l’origine de ces « prophéties », propagées par courriel.
Mercredi avant l’ouverture des bureaux, la commission de la fonction publique de Fidji avertissait par ailleurs tous les employés qu’aucune absence non justifiée ne serait tolérée, sous peine de lourdes sanctions disciplinaires, a indiqué le directeur d a fonction publique, Parmesh Chand.
« Mon conseil est le suivant : à tous ceux qui auraient l’intention de ne pas se rendre au travail, délibérément, en raison d’une soi-disant ‘prophétie’ ou de ‘rumeurs’, qu’ils sachent que mercredi est un jour de travail normal », a-t-il déclaré à la radio nationale.
Le ministre de l’éducation, Filipe Bole, a lui aussi tenu à préciser que tous les établissements scolaires seraient ouverts mercredi et que par conséquent aucun parent ne devrait dissuader ses enfants de se rendre à l’école comme d’habitude, en raison de ces prétendues prédictions.
Le Contre-amiral fidjien Franck Bainimarama, qui dirige le gouvernement issu de son putsch du 5 décembre 2006, était monté au créneau jeudi dernier en promettant de prendre les mesures nécessaires afin de faire taire les personnes responsables de la propagation de ce genre de rumeurs.
Ces rumeurs, selon l’homme fort de Suva, sont de nature à compromettre la sécurité nationale et peuvent donc, selon lui, tomber sous le coup des mesures d’urgences mises en place en avril 2009 et depuis prorogées chaque mois, rapporte la radio nationale.
Certains parents d’élèves ont déclaré par avance leur intention de ne pas envoyer leurs enfants à l’école ce jour-là.
Sur cette question, l’église méthodiste, réputée opposée au Contre-amiral, l’a pourtant rejoint en appelant le public et ses ouailles à ne pas prendre ces menaces au sérieux.
Mercredi avant l’ouverture des bureaux, la commission de la fonction publique de Fidji avertissait par ailleurs tous les employés qu’aucune absence non justifiée ne serait tolérée, sous peine de lourdes sanctions disciplinaires, a indiqué le directeur d a fonction publique, Parmesh Chand.
« Mon conseil est le suivant : à tous ceux qui auraient l’intention de ne pas se rendre au travail, délibérément, en raison d’une soi-disant ‘prophétie’ ou de ‘rumeurs’, qu’ils sachent que mercredi est un jour de travail normal », a-t-il déclaré à la radio nationale.
Le ministre de l’éducation, Filipe Bole, a lui aussi tenu à préciser que tous les établissements scolaires seraient ouverts mercredi et que par conséquent aucun parent ne devrait dissuader ses enfants de se rendre à l’école comme d’habitude, en raison de ces prétendues prédictions.
Le Contre-amiral fidjien Franck Bainimarama, qui dirige le gouvernement issu de son putsch du 5 décembre 2006, était monté au créneau jeudi dernier en promettant de prendre les mesures nécessaires afin de faire taire les personnes responsables de la propagation de ce genre de rumeurs.
Ces rumeurs, selon l’homme fort de Suva, sont de nature à compromettre la sécurité nationale et peuvent donc, selon lui, tomber sous le coup des mesures d’urgences mises en place en avril 2009 et depuis prorogées chaque mois, rapporte la radio nationale.
Certains parents d’élèves ont déclaré par avance leur intention de ne pas envoyer leurs enfants à l’école ce jour-là.
Sur cette question, l’église méthodiste, réputée opposée au Contre-amiral, l’a pourtant rejoint en appelant le public et ses ouailles à ne pas prendre ces menaces au sérieux.