Robert Wan, sur la terrasse de sa maison de Papeete
PAPEETE, le 30 juin 2015 - Dans le petit monde de la perle polynésienne, une rumeur assurait que Robert Wan était en train d'investir ses millions dans de nouvelles fermes perlières dans le Golfe. Une information qui ne se vérifie qu'à moitié, puisque le milliardaire n'apporte en fait que son assistance technique. C'est lui-même qui raconte cette aventure, en marge de son déjeuner avec miss Tahiti et ses dauphines :
"J'ai eu la chance de connaître la reine du Qatar, qui est venue en Polynésie passer un court séjour et qui nous a acheté beaucoup de perles. C'est comme ça qu'on a fait connaissance, et on a gardé contact. Un jour j'ai reçu un message, disant qu'elle voulait me voir. Elle voulait reconstituer l'héritage de son pays, parce qu'on produisait beaucoup de perles fines dans les Émirats, le Golfe persique… C'était très connu, ils ont fait fortune avec ça, avant que le pétrole et le gaz n'arrivent. Donc ils veulent éduquer la nouvelle génération à ce qu'est la perle."
"Elle s'est adressée à moi pour me demander si je pouvais l'aider à créer une ferme perlière, avec leurs perles blanches qui sont l'équivalentes de celles du Japon. J'ai dit pourquoi pas, et c'est comme ça qu'il y a maintenant une ferme là-bas. Je participe sans avoir mis de fonds, c'est elle qui a mis l'argent. On produit des perles, on commence à faire de très belles perles, de très belles couleurs. Rosé, champagne… On n'a pas encore le doré, mais ça viendra. C'est passionnant, et ça me donne aussi l'occasion de diffuser nos perles de Tahiti à travers le Qatar, Dubaï, Abu Dhabi et tout le Golfe."
"J'ai eu la chance de connaître la reine du Qatar, qui est venue en Polynésie passer un court séjour et qui nous a acheté beaucoup de perles. C'est comme ça qu'on a fait connaissance, et on a gardé contact. Un jour j'ai reçu un message, disant qu'elle voulait me voir. Elle voulait reconstituer l'héritage de son pays, parce qu'on produisait beaucoup de perles fines dans les Émirats, le Golfe persique… C'était très connu, ils ont fait fortune avec ça, avant que le pétrole et le gaz n'arrivent. Donc ils veulent éduquer la nouvelle génération à ce qu'est la perle."
"Elle s'est adressée à moi pour me demander si je pouvais l'aider à créer une ferme perlière, avec leurs perles blanches qui sont l'équivalentes de celles du Japon. J'ai dit pourquoi pas, et c'est comme ça qu'il y a maintenant une ferme là-bas. Je participe sans avoir mis de fonds, c'est elle qui a mis l'argent. On produit des perles, on commence à faire de très belles perles, de très belles couleurs. Rosé, champagne… On n'a pas encore le doré, mais ça viendra. C'est passionnant, et ça me donne aussi l'occasion de diffuser nos perles de Tahiti à travers le Qatar, Dubaï, Abu Dhabi et tout le Golfe."