Pointe-à-Pitre, France | AFP | samedi 16/05/2015 - Des restrictions d’eau ont été décidées sur "tout le territoire de la Guadeloupe" pour une durée de 31 jours, en raison d’un stress hydrique, a annoncé vendredi la préfecture de Guadeloupe dans un communiqué.
L’arrêté "limite notamment l’arrosage des potagers et des espaces verts publics ou privés, le lavage des véhicules et bateaux, la mise à niveau des piscines. Les prélèvements en eau pour les usages commerciaux, agricoles et industriels sont quant à eux pour l’heure restreints sur toute la Guadeloupe, sauf le sud de la côte sous le vent et Marie-Galante".
Le préfet de la Région Guadeloupe, Jacques Billant, a signé cet arrêté à l’issue de la consultation de la cellule de veille sécheresse, "afin de soulager les réseaux, par ailleurs déjà en proie à d’importantes difficultés structurelles, et garantir un minimum d’eau au plus grand nombre de personnes".
La Guadeloupe souffre en effet de la vétusté de son réseau, qui oblige à une distribution d’eau alternée ("tours d’eau"), notamment durant la période sèche.
La restriction d’eau s’explique par une "baisse importante des niveaux des cours d’eau, en l’absence de précipitation significative depuis la seconde quinzaine d’avril (...) qui a conduit au franchissement des seuils d’alertes sur trois des six stations hydrométriques suivies par la direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL)".
cr/glr/sd
© 1994-2015 Agence France-Presse
L’arrêté "limite notamment l’arrosage des potagers et des espaces verts publics ou privés, le lavage des véhicules et bateaux, la mise à niveau des piscines. Les prélèvements en eau pour les usages commerciaux, agricoles et industriels sont quant à eux pour l’heure restreints sur toute la Guadeloupe, sauf le sud de la côte sous le vent et Marie-Galante".
Le préfet de la Région Guadeloupe, Jacques Billant, a signé cet arrêté à l’issue de la consultation de la cellule de veille sécheresse, "afin de soulager les réseaux, par ailleurs déjà en proie à d’importantes difficultés structurelles, et garantir un minimum d’eau au plus grand nombre de personnes".
La Guadeloupe souffre en effet de la vétusté de son réseau, qui oblige à une distribution d’eau alternée ("tours d’eau"), notamment durant la période sèche.
La restriction d’eau s’explique par une "baisse importante des niveaux des cours d’eau, en l’absence de précipitation significative depuis la seconde quinzaine d’avril (...) qui a conduit au franchissement des seuils d’alertes sur trois des six stations hydrométriques suivies par la direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL)".
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