PAPEETE, le 14 mars 2018 - La pièce qui raconte les trente années d’essais nucléaires en Polynésie française revient à Tahiti. Deux représentations sont prévues vendredi et samedi. Elle partira ensuite en tournée à Raiatea et sur la presqu’île. Depuis 2016, des centaines de spectateurs s’y pressent, en Polynésie mais aussi sur les planches françaises.
Les Champignons de Paris reviennent, et repartent. Ils seront sur la scène du petit théâtre de la Culture puis à Raiatea et sur la presqu’île. La pièce n’en finit pas de séduire et de tourner. Elle parle des essais nucléaires en Polynésie, des 193 tirs, atmosphériques puis souterrains, qui ont définitivement bouleversé Tahiti et ses îles.
La pièce restitue les actes, donne la parole à des témoins en s’appuyant sur des éléments d’archives vidéo et audio. Texte et mise en scène, percutants, racontent la propagande, les rêves, les décisions plus ou moins libres. En mettant au jour tous ces éléments, ils reconnaissent ce pan de l’histoire puis encouragent à la réconciliation.
Sur scène, ils sont trois comédiens : Guillaume Gay qui est également producteur et directeur de la compagnie Caméléon, Tepa Teuru, scénariste, réalisateur et comédien et Tuarii Tracqui, danseur de ‘ori Tahiti depuis 2007. Conseillée à partir de 11 ans, Les Champignons de Paris dure 1h35. Ils se terminent par une séance de questions-réponses entre les comédiens et les spectateurs.
Écrite par Émilie Génaédig et mis en scène par François Bourcier, la pièce a été produite par la compagnie Caméléon. Une avant-première a été présentée le 20 mars 2016 avant les premières présentations publiques fin septembre de la même année. Des représentations scolaires ont suivi puis, dès le mois d’octobre, le spectacle partait en tournée.
Des représentations à Uturoa (Raiatea), Nuku Hiva, Ua Pou, Hiva Oa ont aussi été données. En juin 2017, Les Champignons de Paris ont débarqué en métropole, à Saint-Gratien (commune du Val d’Oise). Ce qui porte le nombre de spectacles à 31 au total soit près de 5 000 spectateurs touchés. Le texte est paru en langue française et en reo maohi le 12 novembre 2017 aux éditions Haere Pō.
Les Champignons de Paris reviennent, et repartent. Ils seront sur la scène du petit théâtre de la Culture puis à Raiatea et sur la presqu’île. La pièce n’en finit pas de séduire et de tourner. Elle parle des essais nucléaires en Polynésie, des 193 tirs, atmosphériques puis souterrains, qui ont définitivement bouleversé Tahiti et ses îles.
La pièce restitue les actes, donne la parole à des témoins en s’appuyant sur des éléments d’archives vidéo et audio. Texte et mise en scène, percutants, racontent la propagande, les rêves, les décisions plus ou moins libres. En mettant au jour tous ces éléments, ils reconnaissent ce pan de l’histoire puis encouragent à la réconciliation.
Sur scène, ils sont trois comédiens : Guillaume Gay qui est également producteur et directeur de la compagnie Caméléon, Tepa Teuru, scénariste, réalisateur et comédien et Tuarii Tracqui, danseur de ‘ori Tahiti depuis 2007. Conseillée à partir de 11 ans, Les Champignons de Paris dure 1h35. Ils se terminent par une séance de questions-réponses entre les comédiens et les spectateurs.
Écrite par Émilie Génaédig et mis en scène par François Bourcier, la pièce a été produite par la compagnie Caméléon. Une avant-première a été présentée le 20 mars 2016 avant les premières présentations publiques fin septembre de la même année. Des représentations scolaires ont suivi puis, dès le mois d’octobre, le spectacle partait en tournée.
Des représentations à Uturoa (Raiatea), Nuku Hiva, Ua Pou, Hiva Oa ont aussi été données. En juin 2017, Les Champignons de Paris ont débarqué en métropole, à Saint-Gratien (commune du Val d’Oise). Ce qui porte le nombre de spectacles à 31 au total soit près de 5 000 spectateurs touchés. Le texte est paru en langue française et en reo maohi le 12 novembre 2017 aux éditions Haere Pō.
Pratique
Représentation scolaire le jeudi 15 mars à 13 heures.
Au petit théâtre de la Maison de la culture le vendredi 16 et le samedi 17 mars à 19h30.
Tarif entre 2 500 et 4 000 Fcfp.
Représentation scolaire le mardi 20 mars à 13 heures à Raiatea.
Sous le chapiteau de Uturoa à Raiatea le mercredi 21 mars à 19 heures, tarif entre 2 et 3 000 Fcfp.
Représentation scolaire le vendredi 23 mars à 9 heures à la salle de danse Moeata, direction Teahupoo à la presqu’île.
Le samedi 24 mars à 19 heures à la salle de danse Moeata. Tarif entre 2 et 3 000 Fcfp.
Représentation scolaire le jeudi 15 mars à 13 heures.
Au petit théâtre de la Maison de la culture le vendredi 16 et le samedi 17 mars à 19h30.
Tarif entre 2 500 et 4 000 Fcfp.
Représentation scolaire le mardi 20 mars à 13 heures à Raiatea.
Sous le chapiteau de Uturoa à Raiatea le mercredi 21 mars à 19 heures, tarif entre 2 et 3 000 Fcfp.
Représentation scolaire le vendredi 23 mars à 9 heures à la salle de danse Moeata, direction Teahupoo à la presqu’île.
Le samedi 24 mars à 19 heures à la salle de danse Moeata. Tarif entre 2 et 3 000 Fcfp.