NOUMÉA, mercredi 2 novembre 2011 (Flash d’Océanie) – Roch Wamytan, Président du Congrès (Parlement) de la collectivité française de Nouvelle-Calédonie, a effectué récemment un déplacement dans l’archipel voisin de Vanuatu, où il a rencontré un large éventail de responsables politiques et institutionnels, à commencer par son homologue Dunstan Hilton, élu au perchoir début septembre 2011.
M. Wamytan, qui a retrouvé son siège de Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie mi-août 2011 (après l’avoir perdu une première fois à la suite d’une invalidation, par le Conseil d’État, de sa première élection le 1er avril 2011) a effectué cette « visite de courtoisie » afin de « relancer les échanges » entre les deux assemblées, précise le Congrès dans un communiqué mis en ligne mercredi.
Évoquant les accords cadre mis en place, entre le gouvernement de Vanuatu, l’État français et celui de la Nouvelle-Calédonie, M. Wamytan a souligné que l’institution qu’il préside « s'inscrit dans le domaine de la bonne gouvernance et souhaite développer ses échanges » avec le Parlement de Vanuatu.
En mars 2009, Pierre Frogier, alors Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, avait lui aussi fait le déplacement à Port-Vila pour inaugurer, aux côtés du Président du Parlement de Vanuatu de l’époque, George Wells, un nouveau système de sonorisation et de traduction simultanée.
Ce projet, sous forme de don, avait été évoqué dès la signature d’une première convention de coopération entre les deux institutions, en février 2002, alors que le Président du Congrès était M. Harold Martin (actuel Président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie) et celui du Parlement de Vanuatu le francophone Henri Taga (décédé le 6 juillet 2011 à l’âge de 66 ans).
Cette opération, financée par le Congrès de la Nouvelle-Calédonie à hauteur de quelque 19 millions de vatu (127.000 euros), rentre dans le cadre de la convention de partenariat signée en février 2002 entre les deux institutions.
Au cours de ce déplacement, M. Frogier et sa délégation avaient aussi rencontré plusieurs membres du gouvernement local pour « approfondir les relations déjà existantes et examiner les voies et les moyens pour franchir de nouvelles étapes dans ce partenariat ».
Depuis juin 2006, dans le cadre d’un accord de coopération dite décentralisée, la Nouvelle-Calédonie dispose d’une enveloppe fournie par l’État français, à laquelle elle ajoute une contribution, pour se consacrer spécifiquement à des actions de coopération avec la République de Vanuatu, plus proche voisin de cette collectivité française du Pacifique mais aussi seul États indépendant d’Océanie partiellement francophone (les langues officielles sont le Français, l’Anglais et le pidgin local, le bichelamar).
pad
M. Wamytan, qui a retrouvé son siège de Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie mi-août 2011 (après l’avoir perdu une première fois à la suite d’une invalidation, par le Conseil d’État, de sa première élection le 1er avril 2011) a effectué cette « visite de courtoisie » afin de « relancer les échanges » entre les deux assemblées, précise le Congrès dans un communiqué mis en ligne mercredi.
Évoquant les accords cadre mis en place, entre le gouvernement de Vanuatu, l’État français et celui de la Nouvelle-Calédonie, M. Wamytan a souligné que l’institution qu’il préside « s'inscrit dans le domaine de la bonne gouvernance et souhaite développer ses échanges » avec le Parlement de Vanuatu.
En mars 2009, Pierre Frogier, alors Président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, avait lui aussi fait le déplacement à Port-Vila pour inaugurer, aux côtés du Président du Parlement de Vanuatu de l’époque, George Wells, un nouveau système de sonorisation et de traduction simultanée.
Ce projet, sous forme de don, avait été évoqué dès la signature d’une première convention de coopération entre les deux institutions, en février 2002, alors que le Président du Congrès était M. Harold Martin (actuel Président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie) et celui du Parlement de Vanuatu le francophone Henri Taga (décédé le 6 juillet 2011 à l’âge de 66 ans).
Cette opération, financée par le Congrès de la Nouvelle-Calédonie à hauteur de quelque 19 millions de vatu (127.000 euros), rentre dans le cadre de la convention de partenariat signée en février 2002 entre les deux institutions.
Au cours de ce déplacement, M. Frogier et sa délégation avaient aussi rencontré plusieurs membres du gouvernement local pour « approfondir les relations déjà existantes et examiner les voies et les moyens pour franchir de nouvelles étapes dans ce partenariat ».
Depuis juin 2006, dans le cadre d’un accord de coopération dite décentralisée, la Nouvelle-Calédonie dispose d’une enveloppe fournie par l’État français, à laquelle elle ajoute une contribution, pour se consacrer spécifiquement à des actions de coopération avec la République de Vanuatu, plus proche voisin de cette collectivité française du Pacifique mais aussi seul États indépendant d’Océanie partiellement francophone (les langues officielles sont le Français, l’Anglais et le pidgin local, le bichelamar).
pad