En premier lieu, je regrette que M. Louis Frébault ait choisi de répondre à mon intervention du 18 octobre à l’assemblée de la Polynésie par voie de communiqué polémique, alors que s’il avait daigné assister à la séance, nous aurions pu échanger directement de manière fructueuse.
Mon intervention sur le problème du logement social ne se voulait pas, elle, polémique et elle ne faisait que reprendre, effectivement, le constat fait par le ministre lui-même sur la faiblesse d’exécution du volet logement social du contrat de projet. Alors peut-être que M. Frébault s’est senti offensé du fait que je souligne ses propres propos.
Je ne vois pas dans ce que réplique aujourd’hui le ministre un démenti du fait que, ainsi que je le soulignais, « la fourniture en logements sociaux est aujourd’hui en panne ».
Maintenant, le ministre en vient à critiquer ma gestion quand j’occupais ces fonctions.
A ce titre, je voudrais rappeler que dès mon arrivée au ministère je me suis saisie des dossiers de construction en instance et que dans le mois qui a suivi, 118 logements ont été attribués.
Par ailleurs, face aux difficultés constatées dans l’exécution du volet logement social du contrat de projet, j’ai fait apporter des modifications, notamment en ce qui concerne la possibilité d’acquérir le foncier nécessaire à l’édification des logements.
J’ai également lancé les consultations auprès des autorités de l’Etat afin que le contrat de projet puisse être utilisé pour l’acquisition de biens immobiliers à destination sociale construits par le privé.
Je note sur ce dernier point qu’aucune avancée significative n’a été opérée en vue de la signature d’un avenant avec l’Etat alors que les services concernés, et notamment Bercy, avaient donné un avis favorable.
Enfin, et parce que finalement M. Frébault le reconnaît tout en me critiquant, s’il a pu faire approuver le texte nécessaire au rétablissement de l’aide à l’habitat dispersé, c’est bien parce que j’avais fait engager la rédaction de ces nouvelles dispositions.
Je regrette donc ce genre de polémique stérile dont le ministre a le secret pour mieux masquer ses maigres résultats.
Pour ce qui me concerne, et comme je le soulignais dans mon intervention, ce qui m’importe le plus, c’est que « le droit au logement » puisse être une réalité pour chacun de nos concitoyens qui n’ont que faire des petites querelles mesquines.
Mon intervention sur le problème du logement social ne se voulait pas, elle, polémique et elle ne faisait que reprendre, effectivement, le constat fait par le ministre lui-même sur la faiblesse d’exécution du volet logement social du contrat de projet. Alors peut-être que M. Frébault s’est senti offensé du fait que je souligne ses propres propos.
Je ne vois pas dans ce que réplique aujourd’hui le ministre un démenti du fait que, ainsi que je le soulignais, « la fourniture en logements sociaux est aujourd’hui en panne ».
Maintenant, le ministre en vient à critiquer ma gestion quand j’occupais ces fonctions.
A ce titre, je voudrais rappeler que dès mon arrivée au ministère je me suis saisie des dossiers de construction en instance et que dans le mois qui a suivi, 118 logements ont été attribués.
Par ailleurs, face aux difficultés constatées dans l’exécution du volet logement social du contrat de projet, j’ai fait apporter des modifications, notamment en ce qui concerne la possibilité d’acquérir le foncier nécessaire à l’édification des logements.
J’ai également lancé les consultations auprès des autorités de l’Etat afin que le contrat de projet puisse être utilisé pour l’acquisition de biens immobiliers à destination sociale construits par le privé.
Je note sur ce dernier point qu’aucune avancée significative n’a été opérée en vue de la signature d’un avenant avec l’Etat alors que les services concernés, et notamment Bercy, avaient donné un avis favorable.
Enfin, et parce que finalement M. Frébault le reconnaît tout en me critiquant, s’il a pu faire approuver le texte nécessaire au rétablissement de l’aide à l’habitat dispersé, c’est bien parce que j’avais fait engager la rédaction de ces nouvelles dispositions.
Je regrette donc ce genre de polémique stérile dont le ministre a le secret pour mieux masquer ses maigres résultats.
Pour ce qui me concerne, et comme je le soulignais dans mon intervention, ce qui m’importe le plus, c’est que « le droit au logement » puisse être une réalité pour chacun de nos concitoyens qui n’ont que faire des petites querelles mesquines.