Tahiti, le 24 août 2021 – Le trublion René Hoffer a été condamné jeudi à une peine d’amende de 200 000 Fcfp pour diffamation et injure publique à l’encontre du directeur de la CPS, Vincent Fabre. Dans un mail, adressé en copie à différents acteurs ou institutions publiques, il avait insulté le directeur et l'avait accusé de lui avoir "volé" son allocation complémentaire de retraite.
Le tribunal correctionnel de Papeete a condamné mardi le trublion autoproclamé "Président de la Polynésie française (sic)" René Hoffer à 200 000 Fcfp d’amende pour diffamation et injure publique à l'encontre du directeur de la Caisse de prévoyance sociale (CPS), Vincent Fabre. Après un retard de plusieurs mois du versement de son allocation complémentaire de retraite de 12 210 Fcfp, il avait accusé le directeur de la caisse de lui avoir "volé ce mois-ci encore le montant de l’aide complémentaire retraite dont [il est] allocataire" dans un mail daté du 9 mars dernier. René Hoffer avait également glissé une insulte accolée au nom de Vincent Fabre dans l’objet du courriel, et avait pris le soin de mettre en copie, entre autres, le haut-commissaire de la République Dominique Sorain et le cabinet de la présidence de la Polynésie, en plus des services contentieux et retraites de la CPS.
Le tribunal correctionnel de Papeete a condamné mardi le trublion autoproclamé "Président de la Polynésie française (sic)" René Hoffer à 200 000 Fcfp d’amende pour diffamation et injure publique à l'encontre du directeur de la Caisse de prévoyance sociale (CPS), Vincent Fabre. Après un retard de plusieurs mois du versement de son allocation complémentaire de retraite de 12 210 Fcfp, il avait accusé le directeur de la caisse de lui avoir "volé ce mois-ci encore le montant de l’aide complémentaire retraite dont [il est] allocataire" dans un mail daté du 9 mars dernier. René Hoffer avait également glissé une insulte accolée au nom de Vincent Fabre dans l’objet du courriel, et avait pris le soin de mettre en copie, entre autres, le haut-commissaire de la République Dominique Sorain et le cabinet de la présidence de la Polynésie, en plus des services contentieux et retraites de la CPS.