De gauche à droite : monsieur Stéphane Renard, madame Raymonde Raoulx, monsieur Patrick Marchesseau
Monsieur Patrick MARCHESSEAU, capitaine du catamaran solaire Tûranor PlanetSolar, a été reçu hier au siège du CESC en compagnie de monsieur Stéphane RENARD, organisateur de la 1ère nuit nautique à Papeete.
La Présidente Raymonde RAOULX a montré beaucoup d’intérêt pour ce type de navire totalement inédit et espère qu’il suscitera des projets similaires en Polynésie.
En termes de développement durable, ce navire révèle des perspectives intéressantes
Monsieur MARCHESSEAU est un habitué des eaux polynésiennes pour avoir officié il y a quelques années sur le voilier de luxe Club Med2 et le paquebot Paul GAUGUIN.
Financé à 95 % par des sponsors, dont Météo France et IFREMER, et à 5% par la Suisse, ce navire fait figure de projet pilote pour démontrer au monde entier que l’énergie solaire est parfaitement maîtrisée de nos jours et peut répondre à des projets économiques. L’autonomie du Tûranor PlanetSolar est de 5 jours.
Des porteurs de projets ont déjà manifesté leur intérêt pour construire des unités de charter plongée, ou de charter de luxe. La flambée des prix de l’énergie fossile va inévitablement privilégier le développement de ce type de navire. À l’échelle de la Polynésie, outre la navigation charter, les pirogues ou petites embarcations insulaires, au lieu d’utiliser des moteurs à énergie fossile, pourraient fort bien fonctionner à l’énergie solaire, d’autant que la qualité de l’ensoleillement en Polynésie est supérieure à d’autres régions du monde.
Parti de Monaco en septembre 2010, le navire effectue un tour du monde par l’équateur aux fins de promouvoir ce prototype en carbone et les différentes technologies de pointe mises en œuvre dans sa construction : hélices semi immergées, accumulateurs nouvelle génération, etc.
Le catamaran se rendra à Bora Bora les 27 et 28 mars prochain, avant de poursuivre son périple vers les îles Tonga, la Nouvelle-Calédonie, l’Australie et l’Asie.
La Présidente Raymonde RAOULX a montré beaucoup d’intérêt pour ce type de navire totalement inédit et espère qu’il suscitera des projets similaires en Polynésie.
En termes de développement durable, ce navire révèle des perspectives intéressantes
Monsieur MARCHESSEAU est un habitué des eaux polynésiennes pour avoir officié il y a quelques années sur le voilier de luxe Club Med2 et le paquebot Paul GAUGUIN.
Financé à 95 % par des sponsors, dont Météo France et IFREMER, et à 5% par la Suisse, ce navire fait figure de projet pilote pour démontrer au monde entier que l’énergie solaire est parfaitement maîtrisée de nos jours et peut répondre à des projets économiques. L’autonomie du Tûranor PlanetSolar est de 5 jours.
Des porteurs de projets ont déjà manifesté leur intérêt pour construire des unités de charter plongée, ou de charter de luxe. La flambée des prix de l’énergie fossile va inévitablement privilégier le développement de ce type de navire. À l’échelle de la Polynésie, outre la navigation charter, les pirogues ou petites embarcations insulaires, au lieu d’utiliser des moteurs à énergie fossile, pourraient fort bien fonctionner à l’énergie solaire, d’autant que la qualité de l’ensoleillement en Polynésie est supérieure à d’autres régions du monde.
Parti de Monaco en septembre 2010, le navire effectue un tour du monde par l’équateur aux fins de promouvoir ce prototype en carbone et les différentes technologies de pointe mises en œuvre dans sa construction : hélices semi immergées, accumulateurs nouvelle génération, etc.
Le catamaran se rendra à Bora Bora les 27 et 28 mars prochain, avant de poursuivre son périple vers les îles Tonga, la Nouvelle-Calédonie, l’Australie et l’Asie.