L’association de consommateurs Te Tia Ara réagit vivement à l’annonce faite par le gouvernement mercredi dernier, de la mise en place d’une réglementation limitant l'exposition du public aux ondes radioélectriques. L'association exprime sa crainte d'une « décision de circonstance visant à réduire les possibilités de déploiement de leur réseau par les concurrents de TIKIPHONE et de MANA ».
Pour Te Tia Ara, cet arrêté risque d'avoir pour effet de « forcer les concurrents telecoms de Tikiphone de négocier des contrats d'utilisation (contre redevance) des antennes de l'opérateur historique».
Par ailleurs, note l'association, Mana aurait justement entrepris de communiquer « via ses commerciaux et techniciens sur l'innocuité de ses bornes comparées aux bornes WI MAX de VITI ».
« VITI pourrait être ainsi le premier concerné (ou visé ?) par cette réglementation qui pourrait remettre en cause son business plan basé sur un réseau WIFI et non un réseau filaire comme celui de MANA» ajoute Te Tia Ara.
Dans une réponse envoyée lundi matin aux médias, la vice-présidence dénonce « des amalgames emprunts de la culture de l’à peu près qui devient la marque de fabrique de cette association », et précise que « VITI, lors des travaux d’élaboration de son cahier des charges, menés par le SPT, a elle-même demandé à ce qu’y soit inscrite l’obligation de respects des standards internationaux liés aux émissions radio-électriques ».
Par ailleurs, précise le gouvernement, cette règlementation «s’applique à TOUS les opérateurs, à commencer par les opérateurs historiques ».
Pour Te Tia Ara, cet arrêté risque d'avoir pour effet de « forcer les concurrents telecoms de Tikiphone de négocier des contrats d'utilisation (contre redevance) des antennes de l'opérateur historique».
Par ailleurs, note l'association, Mana aurait justement entrepris de communiquer « via ses commerciaux et techniciens sur l'innocuité de ses bornes comparées aux bornes WI MAX de VITI ».
« VITI pourrait être ainsi le premier concerné (ou visé ?) par cette réglementation qui pourrait remettre en cause son business plan basé sur un réseau WIFI et non un réseau filaire comme celui de MANA» ajoute Te Tia Ara.
Dans une réponse envoyée lundi matin aux médias, la vice-présidence dénonce « des amalgames emprunts de la culture de l’à peu près qui devient la marque de fabrique de cette association », et précise que « VITI, lors des travaux d’élaboration de son cahier des charges, menés par le SPT, a elle-même demandé à ce qu’y soit inscrite l’obligation de respects des standards internationaux liés aux émissions radio-électriques ».
Par ailleurs, précise le gouvernement, cette règlementation «s’applique à TOUS les opérateurs, à commencer par les opérateurs historiques ».