Ratu Inoke Kubuabola
SUVA, jeudi 12 mai 2011 (Flash d'Océanie) – Ratu Inoke Kubuabola, ministre fidjien des affaires étrangères, a réitéré jeudi le calendrier annoncé à plusieurs reprises par le contre-amiral Premier ministre Franck Bainimarama, en matière de réformes institutionnelles, sociétales et constitutionnelles, suivies d’un scrutin législatif en 2014 rapporte la presse locale.
M. Kubuabola a une nouvelle fois tracé les grandes lignes de ce calendrier devant une commission politique appartenant au groupe ACP (Afrique, Caraïbe, Pacifique), dans le cadre de l’assemblée parlementaire de ce groupe, qui se tenait cette semaine à Budapest.
Selon ce calendrier, l’année 2012 devrait essentiellement être consacrée à la tenue d’un dialogue politique concernant lequel les principaux partenaires occidentaux de développement de Fidji, dont l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou encore l’Union Européenne, insistent pour qu’il soit « sans exclusive » et « sans préjugé concernant son issue.
2013 devrait avoir comme principal point sur l’agenda le processus de réformes de la Constitution, dont la précédente version (celle élaborée en 1997) a été abrogée mi-avril 2009.
Une nouvelle fois, le chef de la diplomatie fidjienne a insisté sur les points considérés par le régime de Suva comme essentiels, à savoir la réforme des institutions et des domaines touchant à la vie socio-économique pour, selon ses termes « progresser vers un système démocratique durable et exempt de racisme », avec en toile de fond une volonté de supprimer les distinctions basées sur l’ethnie (principalement entre les Fidjiens mélanésiens indigènes et les citoyens d’origine indienne.
La précédente constitution, au plan politique et institutionnel, prévoyait notamment des circonscriptions électorales « réservées » à l’une et l’autre des deux principales ethnies, avec, en supplément, un certain nombre de sièges parlementaires considérés comme « ouverts ».
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M. Kubuabola a une nouvelle fois tracé les grandes lignes de ce calendrier devant une commission politique appartenant au groupe ACP (Afrique, Caraïbe, Pacifique), dans le cadre de l’assemblée parlementaire de ce groupe, qui se tenait cette semaine à Budapest.
Selon ce calendrier, l’année 2012 devrait essentiellement être consacrée à la tenue d’un dialogue politique concernant lequel les principaux partenaires occidentaux de développement de Fidji, dont l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou encore l’Union Européenne, insistent pour qu’il soit « sans exclusive » et « sans préjugé concernant son issue.
2013 devrait avoir comme principal point sur l’agenda le processus de réformes de la Constitution, dont la précédente version (celle élaborée en 1997) a été abrogée mi-avril 2009.
Une nouvelle fois, le chef de la diplomatie fidjienne a insisté sur les points considérés par le régime de Suva comme essentiels, à savoir la réforme des institutions et des domaines touchant à la vie socio-économique pour, selon ses termes « progresser vers un système démocratique durable et exempt de racisme », avec en toile de fond une volonté de supprimer les distinctions basées sur l’ethnie (principalement entre les Fidjiens mélanésiens indigènes et les citoyens d’origine indienne.
La précédente constitution, au plan politique et institutionnel, prévoyait notamment des circonscriptions électorales « réservées » à l’une et l’autre des deux principales ethnies, avec, en supplément, un certain nombre de sièges parlementaires considérés comme « ouverts ».
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