PAPEETE, le 4 mai 2016. Le Tahoeraa Huiraatira a cru bon ce jour de réagir par voie de communiqué à la rencontre de ce mardi entre les syndicats et le gouvernement sur la réforme de la PSG. Mais plutôt que de condamner l’attitude de ceux qui ont voulu en venir aux poings, Le Tahoeraa Huiraatira jette un peu plus d’huile sur le feu en mettant en cause le gouvernement, et surtout en continuant à propager des contre-vérités.
Contrairement à ce que dit le parti de Gaston Flosse, le gouvernement ne "s’apprête pas à transmettre à l’assemblée un projet de réforme" . Le gouvernement et sa majorité, qui en ont bel et bien terminé avec des méthodes passées, privilégient toujours la voie de la concertation, du dialogue et du consensus, surtout dans le cadre d’une réforme qui concerne l’ensemble des Polynésiens.
Il n’y a pas non plus d’intention de créer un impôt sur le revenu, contrairement aux fantasmes politiques d’une personne qui n’a plus grand chose d’autre à faire que de semer le trouble pour tenter d’en tirer un profit politique plus qu’incertain.
Le président Edouard Fritch est pleinement impliqué dans ce dossier et il a bien dit qu’il irait jusqu’au bout de la réforme. Faut-il rappeler à Gaston Flosse qu’il n’a rien fait en ce domaine, et que Mme Teura Iriti, ancienne ministre en charge de la protection sociale en 2009-2010 n’a pas fait avancer ce dossier. A l’époque, elle avait bien engagé des concertations, sous la houlette de son mentor, avant que celui-ci, qui n’avait déjà aucune légitimité, ne se fasse expulser des discussions par les partenaires sociaux.
Tout le monde aura compris que le Tahoeraa Huiraatira , et plus particulièrement son président, cherche surtout à envenimer le débat plutôt que d’apporter, lui aussi, ses propositions à une œuvre qui intéresse tous les Polynésiens.
Contrairement à ce que dit le parti de Gaston Flosse, le gouvernement ne "s’apprête pas à transmettre à l’assemblée un projet de réforme" . Le gouvernement et sa majorité, qui en ont bel et bien terminé avec des méthodes passées, privilégient toujours la voie de la concertation, du dialogue et du consensus, surtout dans le cadre d’une réforme qui concerne l’ensemble des Polynésiens.
Il n’y a pas non plus d’intention de créer un impôt sur le revenu, contrairement aux fantasmes politiques d’une personne qui n’a plus grand chose d’autre à faire que de semer le trouble pour tenter d’en tirer un profit politique plus qu’incertain.
Le président Edouard Fritch est pleinement impliqué dans ce dossier et il a bien dit qu’il irait jusqu’au bout de la réforme. Faut-il rappeler à Gaston Flosse qu’il n’a rien fait en ce domaine, et que Mme Teura Iriti, ancienne ministre en charge de la protection sociale en 2009-2010 n’a pas fait avancer ce dossier. A l’époque, elle avait bien engagé des concertations, sous la houlette de son mentor, avant que celui-ci, qui n’avait déjà aucune légitimité, ne se fasse expulser des discussions par les partenaires sociaux.
Tout le monde aura compris que le Tahoeraa Huiraatira , et plus particulièrement son président, cherche surtout à envenimer le débat plutôt que d’apporter, lui aussi, ses propositions à une œuvre qui intéresse tous les Polynésiens.
