BORDEAUX, 29 octobre 2011 (AFP) - Quelques 250 zombies ont envahi samedi après-midi Bordeaux à l'occasion de la deuxième "zombie walk" organisée à trois jours d'Halloween par des amateurs de fantastique, a constaté une journaliste de l'AFP.
Déguisés en "boucher zombie", "taliban zombie", "marié zombie" ou bien encore "ouvrier zombie", nombre de participants ont laissé libre court à leur imagination pour associer au mot zombie le thème de leur choix à grand renfort de faux sang, fard et de latex.
Le but de cette marche à travers Bordeaux est "de contaminer toute la ville", a expliqué Franck Bonhomme, un des organisateurs de cette manifestation déguisé en "trader zombie".
"J'ai côtoyé les talibans quand j'étais militaire en Afghanistan, c'est pour cela que j'ai voulu être un +taliban zombie+", a expliqué Mathieu, un Bordelais de 27 ans pas particulièrement fan des morts-vivants mais qui a saisi l'occasion de cette manifestation pour se déguiser.
Un peu plus loin, trois étudiantes bordelaises, qui n'aiment pas particulièrement les films de zombies ont choisi de se déguiser, pour s'amuser, en zombies victimes d'un crash aérien.
"Nous sommes des grands fans de films zombies et cette marche est pour nous l'occasion de jouer un rôle et de décompresser un peu de la vie de tous les jours", ont souligné Aurélia, 23 ans, et Julien, 26 ans, déguisés en couple de "bouchers zombies".
"La mode des morts-vivants a été relancé au début des années 2000 avec +28 jours plus tard+ de Danny Boyle et il y a une augmentation de plus en plus importante de la culture zombie", souligne M. Bonhomme, tout en se félicitant du succès de cette deuxième "zombie walk".
juf/cv
Déguisés en "boucher zombie", "taliban zombie", "marié zombie" ou bien encore "ouvrier zombie", nombre de participants ont laissé libre court à leur imagination pour associer au mot zombie le thème de leur choix à grand renfort de faux sang, fard et de latex.
Le but de cette marche à travers Bordeaux est "de contaminer toute la ville", a expliqué Franck Bonhomme, un des organisateurs de cette manifestation déguisé en "trader zombie".
"J'ai côtoyé les talibans quand j'étais militaire en Afghanistan, c'est pour cela que j'ai voulu être un +taliban zombie+", a expliqué Mathieu, un Bordelais de 27 ans pas particulièrement fan des morts-vivants mais qui a saisi l'occasion de cette manifestation pour se déguiser.
Un peu plus loin, trois étudiantes bordelaises, qui n'aiment pas particulièrement les films de zombies ont choisi de se déguiser, pour s'amuser, en zombies victimes d'un crash aérien.
"Nous sommes des grands fans de films zombies et cette marche est pour nous l'occasion de jouer un rôle et de décompresser un peu de la vie de tous les jours", ont souligné Aurélia, 23 ans, et Julien, 26 ans, déguisés en couple de "bouchers zombies".
"La mode des morts-vivants a été relancé au début des années 2000 avec +28 jours plus tard+ de Danny Boyle et il y a une augmentation de plus en plus importante de la culture zombie", souligne M. Bonhomme, tout en se félicitant du succès de cette deuxième "zombie walk".
juf/cv