Le RMA une fois encore joue la diversion. Il s’est offusqué ce matin de la diffusion dans l’hémicycle d’une vidéo proposée par l’UPLD pour alimenter le débat sur les terres rares. Cette vidéo qui reprend pour l‘essentiel un reportage de France 2 disponible du YouTube fait le point sur l’enjeu que représente les terres rares. Accuser le Tahoera’a d’être complice de sa diffusion, même si celle-ci peut surprendre, n’a aucun sens, puisque chaque groupe dispose de son temps de parole et le gère comme il l’entend.
Que le RMA toujours prompt à accuser cesse de donner des leçons à la terre entière. Il suffit d’écouter les dérapages verbaux dont sont coutumiers ses représentants pour se rendre compte qu’en terme de sorties de route, ils sont passés champions !
Que le RMA n’essaye pas de transposer le problème sur un plan politique. D’abord parce que ce dossier des terres rares, comme la souligné la représentante Tahoera’a Huiraatira, Sandra Levy Agami, en séance, fait l’unanimité au sein de l’hémicycle. Ensuite la question n’est pas celle de l’indépendance et de l’autonomie, comme le RMA se plait à le sous-entendre. A ce sujet, le Tahoera’a Huiraatira rappelle que les électeurs ont en majoritairement clarifié le débat en mai 2013 en accordant une très large majorité des voix aux partis autonomistes, Tahoera’a Huiraatira et ATP, notamment.
Ce que le Tahoera’a Huiraatira attend de ce gouvernement, c’est qu’il vienne au secours des familles en détresse, qu’il lutte contre la pauvreté au lieu de faire diversion et de passer son temps à faire de la basse politique politicienne pour enfumer la population et masquer ses carences. A ce rythme ce ne sera plus une sortie de route que fera le RMA, mais un véritable crash en 2017 et 2018.
De toute évidence, le RMA n’est pas à l’écoute de la population, tout occupé à préserver sa propre existence. Que le RMA, qui cherche sa place sur l’échiquier politique pour essayer de se positionner comme le seul parti autonomiste, cesse d’abord de se mentir à lui-même et de déformer outrancièrement la réalité.
Que le RMA toujours prompt à accuser cesse de donner des leçons à la terre entière. Il suffit d’écouter les dérapages verbaux dont sont coutumiers ses représentants pour se rendre compte qu’en terme de sorties de route, ils sont passés champions !
Que le RMA n’essaye pas de transposer le problème sur un plan politique. D’abord parce que ce dossier des terres rares, comme la souligné la représentante Tahoera’a Huiraatira, Sandra Levy Agami, en séance, fait l’unanimité au sein de l’hémicycle. Ensuite la question n’est pas celle de l’indépendance et de l’autonomie, comme le RMA se plait à le sous-entendre. A ce sujet, le Tahoera’a Huiraatira rappelle que les électeurs ont en majoritairement clarifié le débat en mai 2013 en accordant une très large majorité des voix aux partis autonomistes, Tahoera’a Huiraatira et ATP, notamment.
Ce que le Tahoera’a Huiraatira attend de ce gouvernement, c’est qu’il vienne au secours des familles en détresse, qu’il lutte contre la pauvreté au lieu de faire diversion et de passer son temps à faire de la basse politique politicienne pour enfumer la population et masquer ses carences. A ce rythme ce ne sera plus une sortie de route que fera le RMA, mais un véritable crash en 2017 et 2018.
De toute évidence, le RMA n’est pas à l’écoute de la population, tout occupé à préserver sa propre existence. Que le RMA, qui cherche sa place sur l’échiquier politique pour essayer de se positionner comme le seul parti autonomiste, cesse d’abord de se mentir à lui-même et de déformer outrancièrement la réalité.