ANGLET, 1 janvier 2014 (AFP) - Plusieurs dizaines de promeneurs se sont vus offrir mercredi des étreintes fraternelles pour le premier jour de l'année, lors d'une séance de "câlins gratuits" ou "free hugs" près d'une plage d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), a constaté un correspondant de l'AFP.
Arborant des pancartes "Câlins gratuits", ou "Un câlin parce qu'on s'aime tous", une vingtaine de "câlineurs" s'étaient rassemblés à 16H00 sur une promenade bordant la plage de la Chambre d'Amour, répondant à un appel lancé sur le site onvasortir.com.
A l'origine du rassemblement, un militant associatif bayonnais de 40 ans qui se présente sous le pseudonyme "Zeclub", a expliqué à l'AFP le sens de l'initiative, inspirée des "Free Hugs" nés en 2004 en Australie : "Je veux rapprocher les gens avec ce type de happening. C'est une façon de lutter contre l'individualisme".
Devant des promeneurs surpris et un groupe de journalistes presque aussi nombreux que les câlineurs, plusieurs dizaines d'accolades chaleureuses ont ainsi été distribuées dans une ambiance bon enfant, sous une température clémente malgré un ciel chargé.
"Il est important de dire au monde entier et sans se cacher que l'on aime les gens", a déclaré Sylvie Desfarges, une assistante de gestion de 35 ans, qui a décidé de participer pour "donner de la joie aux passants".
"C'est une très bonne initiative, conviviale et sympathique" s'est réjoui un "câliné" de 57 ans, Thierry Moulia, cadre à La Poste.
Arborant des pancartes "Câlins gratuits", ou "Un câlin parce qu'on s'aime tous", une vingtaine de "câlineurs" s'étaient rassemblés à 16H00 sur une promenade bordant la plage de la Chambre d'Amour, répondant à un appel lancé sur le site onvasortir.com.
A l'origine du rassemblement, un militant associatif bayonnais de 40 ans qui se présente sous le pseudonyme "Zeclub", a expliqué à l'AFP le sens de l'initiative, inspirée des "Free Hugs" nés en 2004 en Australie : "Je veux rapprocher les gens avec ce type de happening. C'est une façon de lutter contre l'individualisme".
Devant des promeneurs surpris et un groupe de journalistes presque aussi nombreux que les câlineurs, plusieurs dizaines d'accolades chaleureuses ont ainsi été distribuées dans une ambiance bon enfant, sous une température clémente malgré un ciel chargé.
"Il est important de dire au monde entier et sans se cacher que l'on aime les gens", a déclaré Sylvie Desfarges, une assistante de gestion de 35 ans, qui a décidé de participer pour "donner de la joie aux passants".
"C'est une très bonne initiative, conviviale et sympathique" s'est réjoui un "câliné" de 57 ans, Thierry Moulia, cadre à La Poste.