Image d'illustration.
Le dimanche 25 août, une jeune fille de 10 ans a été recueillie puis entendue par la brigade de gendarmerie de Punaauia. Celle-ci avait fugué la veille, alors qu’elle résidait chez sa mère. Au cours de son audition, elle finira par déclarer qu’elle a agi ainsi dans le but d’échapper aux violences physiques perpétrées par sa mère. La jeune mineure a donc été auscultée par u médecin urgentiste du CHPF du Taaone. Là, il s’est avéré qu’elle souffrait effectivement d’hématomes importants. Son état physique a nécessité la prescription d’une ITT de 21 jours.
Dans la même journée, la mère a été interpellée à son domicile, puis entendue sous le régime de la garde-à-vue. Cette dernière a reconnu les faits de violences infligés à trois reprises. Elle a tenté de justifié son geste par la désobéissance de sa fille dont elle a la garde partagée. Un peu plus tard, c’était au tour de son conjoint d’être entendu. Il est apparu qu’il s’était toujours interposé au comportement de sa compagne. Le parquet a ordonné une COPJ (Convocation par Officier de Police Judiciaire) à l’encontre de la mère de l’enfant, fixée au 1er octobre prochaîn.
Source : communiqué de la Gendarmerie Nationale
Dans la même journée, la mère a été interpellée à son domicile, puis entendue sous le régime de la garde-à-vue. Cette dernière a reconnu les faits de violences infligés à trois reprises. Elle a tenté de justifié son geste par la désobéissance de sa fille dont elle a la garde partagée. Un peu plus tard, c’était au tour de son conjoint d’être entendu. Il est apparu qu’il s’était toujours interposé au comportement de sa compagne. Le parquet a ordonné une COPJ (Convocation par Officier de Police Judiciaire) à l’encontre de la mère de l’enfant, fixée au 1er octobre prochaîn.
Source : communiqué de la Gendarmerie Nationale