Patrick Genet, représentant local de la société Aquakita, présente le projet de parc aquatique tel qu'il pourrait être réalisé associé à un hôtel 3 étoiles sur le site du Tahara'a à Arue
PAPEETE, 2 février 2015 – La société mexicaine Aquakita envisage l’aménagement d’un complexe touristique et de loisirs comprenant un parc aquatique de 5 hectares et un établissement hôtelier, sur le site de l’ancien hôtel Tahara’a à Arue. L’investissement est annoncé de 7 milliards Fcfp pour une ouverture prévue en juin 2016.
"Nous travaillons pour ouvrir le parc aquatique de Tahiti en 2016", confie Rody Sanchez, le directeur du secteur Développement international de la société Aquakita, dans un courrier adressé à Tahiti infos. "Nous avons fait part au gouvernement de notre intérêt pour faire partie du projet Mahana Beach, par le biais de notre représentant local, Patrick Genet. Françis Oda (Groupe 70 international, NDLR) détient l’offre que nous avons faite pour le Mahana Beach. Il serait souhaitable que des décisions soient prises durant le premier trimestre 2015 (…). Mais nous sommes aussi en pourparler avec le propriétaire d’un terrain qui pourrait accueillir notre projet. Si le projet au Mahana Beach n’aboutit pas, nous irons sur ce second site. Nous avons l’investissement et le savoir-faire (…). Nous voulons commencer les travaux dans les plus brefs délais et vous savez qu’il n’y a pas la place pour deux grands parcs aquatiques à Tahiti".
Patrick Genet, représentant local de la société Aquakita, affirme que le géant mexicain des parcs aquatiques envisage d’investir 7 milliards Fcfp pour réaliser un parc à thème qu’elle souhaite ouvrir au public durant le premier semestre 2016.
Recrutements locaux
S’il n’est entrepris à Punaauia, dans le cadre du projet Mahana Beach, le terrain sur lequel la société Aquakita envisage de réaliser son parc aquatique est situé à Arue. Il s’agit du site de l’ancien hôtel Tahara’a : 14,41 hectares détenus par la société hôtelière de Tahiti anciennement dénommée société hôtelière de Tahara’a. Un accord est sur le point d’être conclu avec cette société pour l’acquisition de la totalité du foncier moyennant la somme de 2,5 milliards Fcfp. Patrick Genet, le représentant local d’Aquakita nous indique qu’une société par actions simplifiée, la SAS Paradise Park, est en cours de constitution pour prendre en charge ce transfert de propriété.
Le programme d’investissement prévoit ensuite la réalisation d’un hôtel de type trois étoiles qui pourrait être issu de la rénovation des bâtiments du complexe hôtelier d’Arue, à l’abandon depuis plusieurs années. Un bureau d’étude espagnol planche actuellement sur la faisabilité de ce projet. Le cabinet d’architecte Interproyetos pourrait rendre son étude technique dès le mois de mars 2015. La capacité d’hébergement annoncée fait état de 200 chambres et appartements et d’une dizaine de bungalows.
Ce complexe touristique et de loisir comprendrait notamment 5,04 hectares de parc aquatique avec un toboggan cabine reliant le plateau du Tahara’a au site du Beach House, en contrebas au niveau de la mer.
Patrick Genet assure que, mené à terme, ce projet créera 250 emplois permanents. "Les investissements seront étrangers mais notre volonté est d’employer des Polynésiens et tous les travaux et les contrats de maintenance seront conclus avec des entreprises locales", confirme Rody Sanchez. "La qualification des employés sera dispensée lors de stages dans nos parcs en Amérique ou en Europe".
"Nous travaillons pour ouvrir le parc aquatique de Tahiti en 2016", confie Rody Sanchez, le directeur du secteur Développement international de la société Aquakita, dans un courrier adressé à Tahiti infos. "Nous avons fait part au gouvernement de notre intérêt pour faire partie du projet Mahana Beach, par le biais de notre représentant local, Patrick Genet. Françis Oda (Groupe 70 international, NDLR) détient l’offre que nous avons faite pour le Mahana Beach. Il serait souhaitable que des décisions soient prises durant le premier trimestre 2015 (…). Mais nous sommes aussi en pourparler avec le propriétaire d’un terrain qui pourrait accueillir notre projet. Si le projet au Mahana Beach n’aboutit pas, nous irons sur ce second site. Nous avons l’investissement et le savoir-faire (…). Nous voulons commencer les travaux dans les plus brefs délais et vous savez qu’il n’y a pas la place pour deux grands parcs aquatiques à Tahiti".
Patrick Genet, représentant local de la société Aquakita, affirme que le géant mexicain des parcs aquatiques envisage d’investir 7 milliards Fcfp pour réaliser un parc à thème qu’elle souhaite ouvrir au public durant le premier semestre 2016.
Recrutements locaux
S’il n’est entrepris à Punaauia, dans le cadre du projet Mahana Beach, le terrain sur lequel la société Aquakita envisage de réaliser son parc aquatique est situé à Arue. Il s’agit du site de l’ancien hôtel Tahara’a : 14,41 hectares détenus par la société hôtelière de Tahiti anciennement dénommée société hôtelière de Tahara’a. Un accord est sur le point d’être conclu avec cette société pour l’acquisition de la totalité du foncier moyennant la somme de 2,5 milliards Fcfp. Patrick Genet, le représentant local d’Aquakita nous indique qu’une société par actions simplifiée, la SAS Paradise Park, est en cours de constitution pour prendre en charge ce transfert de propriété.
Le programme d’investissement prévoit ensuite la réalisation d’un hôtel de type trois étoiles qui pourrait être issu de la rénovation des bâtiments du complexe hôtelier d’Arue, à l’abandon depuis plusieurs années. Un bureau d’étude espagnol planche actuellement sur la faisabilité de ce projet. Le cabinet d’architecte Interproyetos pourrait rendre son étude technique dès le mois de mars 2015. La capacité d’hébergement annoncée fait état de 200 chambres et appartements et d’une dizaine de bungalows.
Ce complexe touristique et de loisir comprendrait notamment 5,04 hectares de parc aquatique avec un toboggan cabine reliant le plateau du Tahara’a au site du Beach House, en contrebas au niveau de la mer.
Patrick Genet assure que, mené à terme, ce projet créera 250 emplois permanents. "Les investissements seront étrangers mais notre volonté est d’employer des Polynésiens et tous les travaux et les contrats de maintenance seront conclus avec des entreprises locales", confirme Rody Sanchez. "La qualification des employés sera dispensée lors de stages dans nos parcs en Amérique ou en Europe".