Sujet
Malgré le courage de la mère, une famille d'une banlieue pauvre d'Auckland est bouleversée par
la violence du père. L’auteur dresse un portrait sans complaisance du peuple maori et de ses
difficultés à prendre son destin en main dans la société néo-zélandaise des années 1990. Le film
demeure le plus grand succès du cinéma néo-zélandais.
Date de sortie cinéma : 5 juillet 1995
Réalisé par Lee Tamahori avec Rena Owen, Temuera Morrison, Mamaengaroa Kerr-Bell
Présenté dans nombre de festivals internationaux, L'âme des guerriers a récolté une vingtaine de
prix :
- le Prix du meilleur premier film au Festival du Film de Venise 1994,
- le Grand Prix des Amériques et le Prix du Jury au Festival du Film Mondial de Montréal en
1994,
- le Prix de la Critique - Mention Spéciale au festival Fantasporto de 1995,
- Pour l’actrice Rena Owen : Prix d'interprétation féminine aux festivals de San Diego et de
Montréal en 1994, et au festival Fantasporto en 1995
Biographie de l’écrivain
Alan Duff a vu le jour dans une famille mixte. Sa mère, Kuia Hinau, est māori, quand son père,
Gowan Duff, un scientifique, est pakeha. Son grand-père paternel, Oliver Duff, également écrivain,
est le fondateur du journal The Listener, l’hebdomadaire le plus important du pays.
Les parents d’Alan Duff finissent par se séparer. Alors âgé de 10 ans, il est confié à un oncle et une
tante māori et part vivre à Whakarewarewa. En rébellion, il rejoint un gang. Il se bagarre souvent
et commet plusieurs délits. Il se fait bientôt expulser de son école. Son comportement finit par le
conduire en maison de redressement. Le jeune garçon retourne à l’école, mais a 15 ans il est
arrêté pour des agressions et des vols. Il entre une première fois en prison.
A sa sortie, il alterne les petits boulots. Tour à tour, installateur de matériel d’isolation, chanteur
dans un groupe, petit commerçant, il commet également plusieurs délits mineurs qui le renvoient
en prison pour vingt-et-un mois. Grand amateur d’Hubert Selby et de William Faulkner, il
commence alors à écrire. A sa sortie, Alan Duff tourne la page et part à Londres. Il revient en
Nouvelle- Zélande en 1985 et se met à écrire des romans et des nouvelles a temps plein.
Avec ses droits d'auteur, Alan Duff a fondé une association, Books in Homes, pour amener les
enfants défavorisés à la lecture.
OEuvres
Publié en 1990, L’Ame des guerriers (Once Were Warriors) est son premier succès littéraire. Ce
livre a connu un grand retentissement en Nouvelle-Zélande.
En 1996, il publie la suite de L'Âme des guerriers, Les Ames brisées (What Becomes of the Broken
Hearted), qui obtient le prix Montana. Le troisième volume, Jake's Long Shadow est paru en 2002.
Il a publié d'autres romans, et des mémoires, Out of the Mist and the Steam (1999).
Jeudi 14 octobre à 18h00, amphithéâtre A3
Avec la présence exceptionnelle de l’écrivain maori Alan Duff
L’écrivain sera présent en début de projection pour présenter son roman
«Once were warriors » qui à inspiré ce film
Malgré le courage de la mère, une famille d'une banlieue pauvre d'Auckland est bouleversée par
la violence du père. L’auteur dresse un portrait sans complaisance du peuple maori et de ses
difficultés à prendre son destin en main dans la société néo-zélandaise des années 1990. Le film
demeure le plus grand succès du cinéma néo-zélandais.
Date de sortie cinéma : 5 juillet 1995
Réalisé par Lee Tamahori avec Rena Owen, Temuera Morrison, Mamaengaroa Kerr-Bell
Présenté dans nombre de festivals internationaux, L'âme des guerriers a récolté une vingtaine de
prix :
- le Prix du meilleur premier film au Festival du Film de Venise 1994,
- le Grand Prix des Amériques et le Prix du Jury au Festival du Film Mondial de Montréal en
1994,
- le Prix de la Critique - Mention Spéciale au festival Fantasporto de 1995,
- Pour l’actrice Rena Owen : Prix d'interprétation féminine aux festivals de San Diego et de
Montréal en 1994, et au festival Fantasporto en 1995
Biographie de l’écrivain
Alan Duff a vu le jour dans une famille mixte. Sa mère, Kuia Hinau, est māori, quand son père,
Gowan Duff, un scientifique, est pakeha. Son grand-père paternel, Oliver Duff, également écrivain,
est le fondateur du journal The Listener, l’hebdomadaire le plus important du pays.
Les parents d’Alan Duff finissent par se séparer. Alors âgé de 10 ans, il est confié à un oncle et une
tante māori et part vivre à Whakarewarewa. En rébellion, il rejoint un gang. Il se bagarre souvent
et commet plusieurs délits. Il se fait bientôt expulser de son école. Son comportement finit par le
conduire en maison de redressement. Le jeune garçon retourne à l’école, mais a 15 ans il est
arrêté pour des agressions et des vols. Il entre une première fois en prison.
A sa sortie, il alterne les petits boulots. Tour à tour, installateur de matériel d’isolation, chanteur
dans un groupe, petit commerçant, il commet également plusieurs délits mineurs qui le renvoient
en prison pour vingt-et-un mois. Grand amateur d’Hubert Selby et de William Faulkner, il
commence alors à écrire. A sa sortie, Alan Duff tourne la page et part à Londres. Il revient en
Nouvelle- Zélande en 1985 et se met à écrire des romans et des nouvelles a temps plein.
Avec ses droits d'auteur, Alan Duff a fondé une association, Books in Homes, pour amener les
enfants défavorisés à la lecture.
OEuvres
Publié en 1990, L’Ame des guerriers (Once Were Warriors) est son premier succès littéraire. Ce
livre a connu un grand retentissement en Nouvelle-Zélande.
En 1996, il publie la suite de L'Âme des guerriers, Les Ames brisées (What Becomes of the Broken
Hearted), qui obtient le prix Montana. Le troisième volume, Jake's Long Shadow est paru en 2002.
Il a publié d'autres romans, et des mémoires, Out of the Mist and the Steam (1999).
Jeudi 14 octobre à 18h00, amphithéâtre A3
Avec la présence exceptionnelle de l’écrivain maori Alan Duff
L’écrivain sera présent en début de projection pour présenter son roman
«Once were warriors » qui à inspiré ce film