Cette réforme de la réglementation prend la forme d’un projet de loi de Pays. Ce texte est donc issu d’un travail du ministère du Tourisme, mené en concertation avec les professionnels du secteur et les services concernés. Ce texte est actuellement étudié par le Haut-Conseil et le CESC. Il devrait être étudier par l’assemblée de la Polynésie française lors de la session budgétaire au moins de septembre.
Ce texte propose les mesures suivantes :
- un régime unique pour tous les paquebots de croisières
- une simplification des formalités administratives
- des exonérations fiscales et douanières automatiques
- un régime douanier facilitant l’avitaillement des paquebots étrangers
- une taxe unique au profit du Pays : suppression de la redevance de la promotion touristique sur les navires de croisières et de la taxe sur l’activité de croisières, remplacées par la taxe pour le développement de la croisière
- un tarif dégressif pour les navires basés effectuant des croisières touristiques interinsulaires en Polynésie française
- l’affectation de la taxe pour le développement de la croisière à un fond de développement du tourisme de croisières : la création et l’abondement d’un compte spécial permettra de ne plus affecter l’ensemble des taxes perçues à la promotion des croisières et de contribuer au financement des projets d’aménagements touristiques nécessaires à l’amélioration de l’accueil des croisiéristes
Ainsi si le retour du navire Royal Princess était déjà prévu pour une durée de trois mois dès le mois d’octobre, cette période se retrouve finalement rallongée de trois mois supplémentaires. Anthony Kaufman s’est déclaré satisfait de cette réforme de la réglementation qui va faciliter la venue des compagnies de croisière et la destination Polynésie française. Il a ainsi annoncé par la suite la présence dans les eaux polynésiennes de l’Ocean Princess, ancien Tahitian Princess, de décembre 2011 à mars 2012.
Le Ministre du Tourisme, Steeve Hamblin s’est réjouit de ces annonces. Il a également souligné le retour possible du navire de croisière Starflyer en 2011 si ce projet de loi venait à être adopté, comme le Ministre l’espère. La Polynésie ne serait enfin plus vue comme une destination compliquée, mais comme une destination lucrative, comme a rapporté Anthony Kaufman au Ministre. Cette réforme est primordiale pour relancer un secteur qui constitue un levier indispensable à l’accueil du plus grand nombre de touristes, a rappelé le Ministre.
Ce texte propose les mesures suivantes :
- un régime unique pour tous les paquebots de croisières
- une simplification des formalités administratives
- des exonérations fiscales et douanières automatiques
- un régime douanier facilitant l’avitaillement des paquebots étrangers
- une taxe unique au profit du Pays : suppression de la redevance de la promotion touristique sur les navires de croisières et de la taxe sur l’activité de croisières, remplacées par la taxe pour le développement de la croisière
- un tarif dégressif pour les navires basés effectuant des croisières touristiques interinsulaires en Polynésie française
- l’affectation de la taxe pour le développement de la croisière à un fond de développement du tourisme de croisières : la création et l’abondement d’un compte spécial permettra de ne plus affecter l’ensemble des taxes perçues à la promotion des croisières et de contribuer au financement des projets d’aménagements touristiques nécessaires à l’amélioration de l’accueil des croisiéristes
Ainsi si le retour du navire Royal Princess était déjà prévu pour une durée de trois mois dès le mois d’octobre, cette période se retrouve finalement rallongée de trois mois supplémentaires. Anthony Kaufman s’est déclaré satisfait de cette réforme de la réglementation qui va faciliter la venue des compagnies de croisière et la destination Polynésie française. Il a ainsi annoncé par la suite la présence dans les eaux polynésiennes de l’Ocean Princess, ancien Tahitian Princess, de décembre 2011 à mars 2012.
Le Ministre du Tourisme, Steeve Hamblin s’est réjouit de ces annonces. Il a également souligné le retour possible du navire de croisière Starflyer en 2011 si ce projet de loi venait à être adopté, comme le Ministre l’espère. La Polynésie ne serait enfin plus vue comme une destination compliquée, mais comme une destination lucrative, comme a rapporté Anthony Kaufman au Ministre. Cette réforme est primordiale pour relancer un secteur qui constitue un levier indispensable à l’accueil du plus grand nombre de touristes, a rappelé le Ministre.