RAROTONGA, vendredi 5 novembre 2010 (Flash d'Océanie) – L’armée néo-zélandaise a déployé jeudi un de ses avions Orion sur une zone maritime proche de la capitale des îles Cook, où un voilier d’une quinzaine de mètres, le « Wild Goose », a envoyé quelques heures plus tôt un signal de détresse, évoquant la chute à la mer d’un des passagers.
L’accident serait survenu jeudi à quelque cent cinquante miles nautiques à l’Ouest-sud-ouest de Rarotonga, rapporte vendredi la presse néo-zélandaise.
L’homme à la mer serait de nationalité néo-zélandaise, précise le centre néo-zélandais de secours en mer.
Le Wild Goose venait d’appareiller de Rarotonga en direction de la Nouvelle-Zélande.
L’Orion devait reprendre ses recherches aériennes vendredi, la nuit les ayant interrompu jeudi soir.
Entre-temps, les autorités néo-zélandaises déclarent avoir demandé et obtenu un appui de la part des forces les plus proches : celles de la Polynésie française, d’où un avion de reconnaissance de type Jet Falcon, un Gardian, de la marine nationale, aurait décollé pour se rendre sur la zone indiquée et effectuer des survols afin de tenter de localiser le disparu.
Un porte-conteneur de la martine marchande de la société Forum Pacific se serait aussi dérouté sur zone.
Les forces françaises, australiennes et néo-zélandaises coopèrent régulièrement dans la zone Pacifique via un accord tripartite « Franz » signé en octobre 1992 et qui prévoit une harmonisation de leurs moyens respectifs dans des situations d’assistance aux pays insulaires océaniens frappés par des catastrophes naturelles.
Ce dispositif avait été récemment activé lors du tsunami survenu le 30 septembre 2009 au Sud des Samoa et qui avait fait près de cent quatre vingt dix morts à Samoa, aux Samoa américaine et au Nord des îles Tonga.
La catastrophe était survenue alors que les instances dirigeantes de ce dispositif se trouvaient en réunion à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) pour faire le point sur les modalités de mise en œuvre et sur les évolutions de ce pacte de coopération civilo-militaire.
Dans les jours précédents, plusieurs exercices de simulation impliquant l’état-major des trois armées avaient également eu lieu en Nouvelle-Calédonie.
La prochaine réunion en assemblée plénière des partenaires de « Franz » a été annoncée pour avoir lieu le lundi 8 novembre 2010 à Nouméa, a annoncé vendredi le Haut-commissariat de la République française en Nouvelle-Calédonie.
Les débats devraient être ouverts par des allocutions du Haut-commissaire français en Nouvelle-Calédonie, Albert Dupuy, ainsi que du Président du gouvernement local, Philippe Gomès, précise-t-on à Nouméa.
L’accident serait survenu jeudi à quelque cent cinquante miles nautiques à l’Ouest-sud-ouest de Rarotonga, rapporte vendredi la presse néo-zélandaise.
L’homme à la mer serait de nationalité néo-zélandaise, précise le centre néo-zélandais de secours en mer.
Le Wild Goose venait d’appareiller de Rarotonga en direction de la Nouvelle-Zélande.
L’Orion devait reprendre ses recherches aériennes vendredi, la nuit les ayant interrompu jeudi soir.
Entre-temps, les autorités néo-zélandaises déclarent avoir demandé et obtenu un appui de la part des forces les plus proches : celles de la Polynésie française, d’où un avion de reconnaissance de type Jet Falcon, un Gardian, de la marine nationale, aurait décollé pour se rendre sur la zone indiquée et effectuer des survols afin de tenter de localiser le disparu.
Un porte-conteneur de la martine marchande de la société Forum Pacific se serait aussi dérouté sur zone.
Les forces françaises, australiennes et néo-zélandaises coopèrent régulièrement dans la zone Pacifique via un accord tripartite « Franz » signé en octobre 1992 et qui prévoit une harmonisation de leurs moyens respectifs dans des situations d’assistance aux pays insulaires océaniens frappés par des catastrophes naturelles.
Ce dispositif avait été récemment activé lors du tsunami survenu le 30 septembre 2009 au Sud des Samoa et qui avait fait près de cent quatre vingt dix morts à Samoa, aux Samoa américaine et au Nord des îles Tonga.
La catastrophe était survenue alors que les instances dirigeantes de ce dispositif se trouvaient en réunion à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) pour faire le point sur les modalités de mise en œuvre et sur les évolutions de ce pacte de coopération civilo-militaire.
Dans les jours précédents, plusieurs exercices de simulation impliquant l’état-major des trois armées avaient également eu lieu en Nouvelle-Calédonie.
La prochaine réunion en assemblée plénière des partenaires de « Franz » a été annoncée pour avoir lieu le lundi 8 novembre 2010 à Nouméa, a annoncé vendredi le Haut-commissariat de la République française en Nouvelle-Calédonie.
Les débats devraient être ouverts par des allocutions du Haut-commissaire français en Nouvelle-Calédonie, Albert Dupuy, ainsi que du Président du gouvernement local, Philippe Gomès, précise-t-on à Nouméa.