Edouard Philippe et Emmanuel Macron, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) en février 2016. LOIC VENANCE / AFP
Paris, France | AFP | jeudi 29/06/2017 - La popularité du Premier ministre Edouard Philippe est en forte hausse, de 13 points sur un mois, tandis que celle du président Emmanuel Macron progresse aussi mais dans une moindre mesure, selon un sondage Viavoice publié jeudi.
Avec 53% d'opinions favorables, le chef de l'Etat gagne quatre points par rapport à la précédente enquête de cet institut réalisée du 19 au 22 mai. 27% des personnes interrogées ont de lui "plutôt une mauvaise opinion" (-3) et 20% ne se prononcent pas, selon ce baromètre réalisé pour Libération.
Mais c'est surtout la cote du Premier ministre, choisi dans les rangs des Républicains et peu connu des Français au moment de sa nomination, qui grimpe sur cette période: 46% des personnes interrogées disent avoir "plutôt une bonne opinion" d'Edouard Philippe, soit une progression de 13 points. Le pourcentage de mauvaises opinions est stable à 25% tandis que 29% ne se prononcent pas.
Malgré cette popularité en hausse, les Français semblent avoir une image plutôt floue de la réforme du code du Travail que prépare le gouvernement: 66% disent en avoir entendu parler "mais vaguement", 22% "précisément" et 9% n'en ont "pas du tout entendu parler". 3% ne répondent pas à la question.
36% se disent "plutôt opposés" à cette réforme, 31% y sont "plutôt favorables" et 33% "ne savent pas".
Parmi les principaux membres du gouvernement, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot reste le plus populaire, avec 68% de bonnes opinions, devant Laura Flessel (Sports), à 55%, Jean-Yves Le Drian (Affaires étrangères), à 49%, Bruno Le Maire (Economie), à 37%, et Gérard Collomb (Intérieur), à 33%.
Pour 68% des personnes interrogées, la victoire des députés de la majorité présidentielle aux élections législatives s'explique par "le rejet des partis traditionnels et de leurs candidats". Elles sont 22% à penser que cette victoire s'explique par "l'adhésion au projet du Président de la République et du gouvernement", tandis que 10% ne se prononcent pas.
Enquête réalisée en ligne du 23 au 26 juin, auprès d'un échantillon de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.
sg/mat/mm
Avec 53% d'opinions favorables, le chef de l'Etat gagne quatre points par rapport à la précédente enquête de cet institut réalisée du 19 au 22 mai. 27% des personnes interrogées ont de lui "plutôt une mauvaise opinion" (-3) et 20% ne se prononcent pas, selon ce baromètre réalisé pour Libération.
Mais c'est surtout la cote du Premier ministre, choisi dans les rangs des Républicains et peu connu des Français au moment de sa nomination, qui grimpe sur cette période: 46% des personnes interrogées disent avoir "plutôt une bonne opinion" d'Edouard Philippe, soit une progression de 13 points. Le pourcentage de mauvaises opinions est stable à 25% tandis que 29% ne se prononcent pas.
Malgré cette popularité en hausse, les Français semblent avoir une image plutôt floue de la réforme du code du Travail que prépare le gouvernement: 66% disent en avoir entendu parler "mais vaguement", 22% "précisément" et 9% n'en ont "pas du tout entendu parler". 3% ne répondent pas à la question.
36% se disent "plutôt opposés" à cette réforme, 31% y sont "plutôt favorables" et 33% "ne savent pas".
Parmi les principaux membres du gouvernement, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot reste le plus populaire, avec 68% de bonnes opinions, devant Laura Flessel (Sports), à 55%, Jean-Yves Le Drian (Affaires étrangères), à 49%, Bruno Le Maire (Economie), à 37%, et Gérard Collomb (Intérieur), à 33%.
Pour 68% des personnes interrogées, la victoire des députés de la majorité présidentielle aux élections législatives s'explique par "le rejet des partis traditionnels et de leurs candidats". Elles sont 22% à penser que cette victoire s'explique par "l'adhésion au projet du Président de la République et du gouvernement", tandis que 10% ne se prononcent pas.
Enquête réalisée en ligne du 23 au 26 juin, auprès d'un échantillon de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.
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