Michel Bourez a obtenu une nouvelle 9e place à J-Bay
PAPEETE, le 23 juillet 2019 – La sixième étape du championnat du monde de surf professionnel s’est déroulée en Afrique du Sud du 9 au 22 juillet dernier. Michel Bourez a pu terminer le Corona Open de J-Bay à la 9e place, une régularité qui lui permet de remonter de deux places au classement général. Il est désormais 11e, à la porte du Top 10, juste avant le Tahiti Teahupo’o Pro prévu du 21 août au 1er septembre.
Michel Bourez est actuellement dans sa 11e année de présence sur le championnat du monde de surf professionnel proposé par la world surf league. Il a intégré le WCT en 2009 et n’en est jamais ressorti. Sa meilleure place au terme du championnat annuel a été une cinquième place en 2014. Il est également connu pour être un des quatre surfeurs, avec Gary Elkerton, Mark Richards et Andy Irons, à avoir remporté les trois compétitions hawaiiennes composant la « Triple Crown ».
La saison 2019 s’annonçait intéressante à suivre pour les fans de Michel Bourez. Avec la retraite de Mick Fanning, de Joel Parkinson et la fin de carrière à venir de Kelly Slater, Michel Bourez est devenu un des plus « anciens » du World Tour, avec Jordy Smith ou Julian Wilson. Malheureusement, il a fallu compter en parallèle avec la montée en puissance de plusieurs surfeurs brésiliens comme Italo Fereira, Filipe Toledo ou encore Gabriel Medina…
Malgré tout, le talent de notre « Spartan », couplé à sa longue expérience du world tour, en font un des candidats au Top 5, le club fermé des quelques surfeurs pouvant aspirer au titre de champion du monde. Mais la réalité est toujours plus compliquée. Il réalise un début de saison très correct (9e, 17e, 9e, 9e, 9e, 9e) mais ne parvient à aucun moment à atteindre les quarts de finale.
Michel Bourez est actuellement dans sa 11e année de présence sur le championnat du monde de surf professionnel proposé par la world surf league. Il a intégré le WCT en 2009 et n’en est jamais ressorti. Sa meilleure place au terme du championnat annuel a été une cinquième place en 2014. Il est également connu pour être un des quatre surfeurs, avec Gary Elkerton, Mark Richards et Andy Irons, à avoir remporté les trois compétitions hawaiiennes composant la « Triple Crown ».
La saison 2019 s’annonçait intéressante à suivre pour les fans de Michel Bourez. Avec la retraite de Mick Fanning, de Joel Parkinson et la fin de carrière à venir de Kelly Slater, Michel Bourez est devenu un des plus « anciens » du World Tour, avec Jordy Smith ou Julian Wilson. Malheureusement, il a fallu compter en parallèle avec la montée en puissance de plusieurs surfeurs brésiliens comme Italo Fereira, Filipe Toledo ou encore Gabriel Medina…
Malgré tout, le talent de notre « Spartan », couplé à sa longue expérience du world tour, en font un des candidats au Top 5, le club fermé des quelques surfeurs pouvant aspirer au titre de champion du monde. Mais la réalité est toujours plus compliquée. Il réalise un début de saison très correct (9e, 17e, 9e, 9e, 9e, 9e) mais ne parvient à aucun moment à atteindre les quarts de finale.
J-Bay, une des étapes les plus exotiques du World Tour
Mais sa régularité paye quelque part et lui permet de remonter de deux places suite à la dernière épreuve Sud-Africaine, une des plus exotiques du World Tour. Avec le forfait pour le reste de la saison de celui qui était le n°1 au classement John John Florence, suite à une nouvelle blessure au genou lors de l’avant-dernière étape brésilienne, Michel Bourez est potentiellement dans le Top 10.
La prochaine étape sera à domicile pour Michel Bourez : le Tahiti Tehupo’o Pro. Il a tout essayé et a déjà beaucoup montré sur cette vague, en compétition comme en free surf : se mettre la pression et ne pas se la mettre, prendre toutes les vagues et attendre la bonne vague…On a tous en mémoire son énorme engagement lors des conditions titanesques de 2014.
Rien de tout cela n’a encore « payé »…Pas une seule fois en 10 éditions il n’aura pu atteindre les quarts de finale. Que dire d’autre de cette étape qui ne lui a jamais porté chance ? Il vaut mieux peut-être ne rien dire, juste croiser les doigts et attendre de voir ce que cette édition pourra lui réserver. SB
La prochaine étape sera à domicile pour Michel Bourez : le Tahiti Tehupo’o Pro. Il a tout essayé et a déjà beaucoup montré sur cette vague, en compétition comme en free surf : se mettre la pression et ne pas se la mettre, prendre toutes les vagues et attendre la bonne vague…On a tous en mémoire son énorme engagement lors des conditions titanesques de 2014.
Rien de tout cela n’a encore « payé »…Pas une seule fois en 10 éditions il n’aura pu atteindre les quarts de finale. Que dire d’autre de cette étape qui ne lui a jamais porté chance ? Il vaut mieux peut-être ne rien dire, juste croiser les doigts et attendre de voir ce que cette édition pourra lui réserver. SB