Washington, Etats-Unis | AFP | vendredi 08/04/2016 - Plus de 700.000 personnes ont suivi vendredi en direct sur internet la vidéo de deux employés du site d'information américain BuzzFeed encerclant d’élastiques une pastèque jusqu'à ce qu'elle explose.
Habitué des contenus devenant viraux et faisant le "buzz" sur internet, le site avait appelé les internautes à regarder deux employés "faire exploser cette pastèque élastique par élastique".
Message reçu: quelque 40 minutes plus tard, ils étaient plus de 730.000 à suivre les dernières secondes avant l'explosion attendue, contemplant sur Facebook la vidéo d'un homme et d'une femme protégés par des combinaisons blanches à capuche et des lunettes transparentes, s'en prendre à la désormais célèbre pastèque en l'entourant d’élastiques à un rythme soutenu.
Le nombre d'internautes visionnant la vidéo a augmenté par milliers dans les derniers instants avant l'explosion, jusqu'à dépasser les 740.000 avant de rapidement dégonfler pendant que les employés du bureau de BuzzFeed à New York dégustaient la chaire rouge du fruit maltraité.
Plus de 320.000 personnes avaient laissé des commentaires sur Facebook sous la vidéo, vue par plus de quatre millions de personnes.
"Voilà ce qui arrive à vos mains quand vous mettez environ 690 élastiques en caoutchouc autour d'une pastèque", a tweeté, avec une photo montrant de petites ampoules à ses doigts, la journaliste de BuzzFeed Chelsea Marshall qui a participé à l'expérience.
Opération de pub réussie pour le site: le hashtag #buzzfeed figurait parmi les plus commentés sur Twitter aux Etats-Unis peu après l'expérience et les GIF animés du moment de l'explosion circulaient sur internet.
Les internautes passaient eux du scepticisme à l'enthousiasme ironique.
"Nous sommes en 2030 et mon fils me demande +Papa, où étais-tu quand @BuzzFeed a fait exploser une pastèque avec des élastiques sous les yeux de 700.000 personnes?+", s'est amusé sur Twitter un journaliste américain, Bobby Blanchard.
"Ma mère vient de regarder l’explosion de la pastèque et maintenant je dois lui expliquer ce qu'est le journalisme piège à clics ("clickbait")", a confié une politologue américaine, Laura Seay, en référence aux contenus visant à attirer les internautes.
Habitué des contenus devenant viraux et faisant le "buzz" sur internet, le site avait appelé les internautes à regarder deux employés "faire exploser cette pastèque élastique par élastique".
Message reçu: quelque 40 minutes plus tard, ils étaient plus de 730.000 à suivre les dernières secondes avant l'explosion attendue, contemplant sur Facebook la vidéo d'un homme et d'une femme protégés par des combinaisons blanches à capuche et des lunettes transparentes, s'en prendre à la désormais célèbre pastèque en l'entourant d’élastiques à un rythme soutenu.
Le nombre d'internautes visionnant la vidéo a augmenté par milliers dans les derniers instants avant l'explosion, jusqu'à dépasser les 740.000 avant de rapidement dégonfler pendant que les employés du bureau de BuzzFeed à New York dégustaient la chaire rouge du fruit maltraité.
Plus de 320.000 personnes avaient laissé des commentaires sur Facebook sous la vidéo, vue par plus de quatre millions de personnes.
"Voilà ce qui arrive à vos mains quand vous mettez environ 690 élastiques en caoutchouc autour d'une pastèque", a tweeté, avec une photo montrant de petites ampoules à ses doigts, la journaliste de BuzzFeed Chelsea Marshall qui a participé à l'expérience.
Opération de pub réussie pour le site: le hashtag #buzzfeed figurait parmi les plus commentés sur Twitter aux Etats-Unis peu après l'expérience et les GIF animés du moment de l'explosion circulaient sur internet.
Les internautes passaient eux du scepticisme à l'enthousiasme ironique.
"Nous sommes en 2030 et mon fils me demande +Papa, où étais-tu quand @BuzzFeed a fait exploser une pastèque avec des élastiques sous les yeux de 700.000 personnes?+", s'est amusé sur Twitter un journaliste américain, Bobby Blanchard.
"Ma mère vient de regarder l’explosion de la pastèque et maintenant je dois lui expliquer ce qu'est le journalisme piège à clics ("clickbait")", a confié une politologue américaine, Laura Seay, en référence aux contenus visant à attirer les internautes.