Plus de 100 kilos de viande de tortue verte, de l’espèce « chelonia midias » ont été saisies par les douanes ces jours derniers. Jacky Bryant, ministre de l’environnement tient à rappeler que cette espèce est protégée par la Convention de Washington et par la délibération 90-83 AT du 13 juillet 1990.
Il rappelle également que le transport, la détention, la collecte des œufs, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation sont strictement interdits. Tout contrevenant est passible de sanctions pénales (amende et emprisonnement), assorties de la saisie des moyens de transport et de pêche utilisés.
Pour le ministre de l’environnement ces « délinquants » aussi bien pêcheurs que acheteurs ne doivent pas restés impunis, conscients ou pas que les tortues sont menacées d’extinction. D’ailleurs différentes études montrent une diminution constante de ces espèces ces trente dernières années, dûe à une pêche excessive, à l’augmentation de l’activité humaine et à la pollution de nos lagons.
Par ailleurs, le ministre tient à féliciter les douanes pour le travail de surveillance, et de contrôle du respect de la réglementation qu’ils effectuent.
Le ministre tient à rappeler que si cette espèce ancestralement sacrée venait à disparaître, aucune somme d’argent ne pourra demain la ressusciter !
Il rappelle également que le transport, la détention, la collecte des œufs, la capture à terre ou en mer, la taxidermie, la commercialisation, l’importation et l’exportation sont strictement interdits. Tout contrevenant est passible de sanctions pénales (amende et emprisonnement), assorties de la saisie des moyens de transport et de pêche utilisés.
Pour le ministre de l’environnement ces « délinquants » aussi bien pêcheurs que acheteurs ne doivent pas restés impunis, conscients ou pas que les tortues sont menacées d’extinction. D’ailleurs différentes études montrent une diminution constante de ces espèces ces trente dernières années, dûe à une pêche excessive, à l’augmentation de l’activité humaine et à la pollution de nos lagons.
Par ailleurs, le ministre tient à féliciter les douanes pour le travail de surveillance, et de contrôle du respect de la réglementation qu’ils effectuent.
Le ministre tient à rappeler que si cette espèce ancestralement sacrée venait à disparaître, aucune somme d’argent ne pourra demain la ressusciter !