Interrogé sur le plan de redressement lors de la visite du chantier du Nouveau Haut Commissariat, vendredi, Richard Didier a rappelé que l’Etat attendait toujours un chiffrage des économies qui seraient réalisées grâce aux mesures prévues dans ce plan.
Ce dernier doit être étudié lundi 11, ou plus probablement mardi 12 en séance à l’assemblée. De nombreux amendements devraient être déposés par les représentants, car certains points de ce plan, des fermetures de SEM notamment, font polémique au sein de la majorité.
Si l’assemblée édulcore trop le plan de redressement, cela pourrait-il bloquer la deuxième tranche du prêt AFD ? «On attend la transmission officielle du plan une fois qu’il sera passé par l’assemblée. Je ne peux pas me prononcer tant que l’APF ne l’a pas étudié, peut-être ira-t-elle même plus loin sur certains points que ne l’avait fait le gouvernement » a répondu le Haut commissaire Richard Didier.
« Ce qui manque dans ce plan pour l’instant, c’est qu’on n’a pas assez de visibilité en terme de chiffrage » fait toutefois remarquer le Haut commissaire. «C’est vrai que c’est difficile pour le gouvernement, on en a bien conscience, mais il reste là à avancer un petit peu pour avoir un chiffrage des économies beaucoup plus réaliste » estime Richard Didier.
Rappelons que ce plan de redressement est la condition posée par l’Etat pour le déblocage de la deuxième tranche du prêt AFD, d’un montant de 4,9 milliards de francs pacifique.
Ce dernier doit être étudié lundi 11, ou plus probablement mardi 12 en séance à l’assemblée. De nombreux amendements devraient être déposés par les représentants, car certains points de ce plan, des fermetures de SEM notamment, font polémique au sein de la majorité.
Si l’assemblée édulcore trop le plan de redressement, cela pourrait-il bloquer la deuxième tranche du prêt AFD ? «On attend la transmission officielle du plan une fois qu’il sera passé par l’assemblée. Je ne peux pas me prononcer tant que l’APF ne l’a pas étudié, peut-être ira-t-elle même plus loin sur certains points que ne l’avait fait le gouvernement » a répondu le Haut commissaire Richard Didier.
« Ce qui manque dans ce plan pour l’instant, c’est qu’on n’a pas assez de visibilité en terme de chiffrage » fait toutefois remarquer le Haut commissaire. «C’est vrai que c’est difficile pour le gouvernement, on en a bien conscience, mais il reste là à avancer un petit peu pour avoir un chiffrage des économies beaucoup plus réaliste » estime Richard Didier.
Rappelons que ce plan de redressement est la condition posée par l’Etat pour le déblocage de la deuxième tranche du prêt AFD, d’un montant de 4,9 milliards de francs pacifique.