Le Comité de pilotage du Plan Climat Energie de la Polynésie française est composé de plusieurs membres, dont le haut-commissaire, René Bidal et le président du pays, Edouard Fritch.
PAPEETE, le 16 octobre 2018 - Le premier comité de pilotage du Plan Climat Energie de la Polynésie française s'est tenu lundi après-midi à la Présidence. L'idée était de faire un premier état des lieux des 28 actions qui avaient proposées en décembre 2015, lors de la COP 21 à Paris. En trois ans, aucune action n'a été réalisée à 100 %.
Le Plan Climat Énergie de la Polynésie française pour 2015-2020 est un projet territorial de développement durable dont la finalité est la lutte contre le changement climatique et ses conséquences. Composé de 28 actions, ce plan, dont l’échéance est prévue en 2020, constitue une première étape dans la mise en place des politiques d’atténuation et de changement climatiques.
Ce plan a donc été présenté en décembre 2015, lors de la COP 21 à Paris. Près de trois ans plus tard, un premier comité de pilotage (Copil) s'est réuni, à la Présidence, pour dresser un état d'avancement. Et le bilan est plutôt décevant, puisqu'il "a été constaté que ça a très faiblement avancé, et sur les 28 actions, aucune n'a été réalisée à 100 %", indique Tea Frogier, ministre de la Modernisation de l’administration, en charge de l’énergie et du numérique.
"L'objet de ce comité de pilotage est d'identifier ce qui n'a pas bien fonctionné pour apporter les mesures correctrices", rajoute Tea Frogier.
Autre constat, une difficulté d'appropriation de certaines actions due à la manière d'agir. Selon la ministre, leurs actions étaient plutôt portées sur des axes, et "elles n'étaient pas déclinées de manière sectorielle". "Au niveau des services, ils ont une stratégie sectorielle. Mais, ils ne voyaient pas le lien qu'il pouvait y voir entre les actions d'un plan climat-énergie par rapport à la stratégie. L'idée est de travailler avec ces ministères et ces services", souligne la ministre des Energies.
Et de rajouter : "Si on reprend la démarche par secteur, ça voudra dire qu'on aura un certain nombre d'actions qu'il faudra détailler ou bien, il faudrait peut-être voir d'autres actions qui, aujourd'hui, sont très structurantes. L'important du Copil était de revalider la structure de la démarche du plan d'actions, et de permettre à nos équipes d'avancer."
Le comité de pilotage se réunira de nouveau avant la fin de l'année pour valider le nouveau plan d'actions. Parmi ses membres, on retrouve le haut-commissaire, René Bidal et le président du pays, Edouard Fritch.
Le Plan Climat Énergie de la Polynésie française pour 2015-2020 est un projet territorial de développement durable dont la finalité est la lutte contre le changement climatique et ses conséquences. Composé de 28 actions, ce plan, dont l’échéance est prévue en 2020, constitue une première étape dans la mise en place des politiques d’atténuation et de changement climatiques.
Ce plan a donc été présenté en décembre 2015, lors de la COP 21 à Paris. Près de trois ans plus tard, un premier comité de pilotage (Copil) s'est réuni, à la Présidence, pour dresser un état d'avancement. Et le bilan est plutôt décevant, puisqu'il "a été constaté que ça a très faiblement avancé, et sur les 28 actions, aucune n'a été réalisée à 100 %", indique Tea Frogier, ministre de la Modernisation de l’administration, en charge de l’énergie et du numérique.
"L'objet de ce comité de pilotage est d'identifier ce qui n'a pas bien fonctionné pour apporter les mesures correctrices", rajoute Tea Frogier.
Autre constat, une difficulté d'appropriation de certaines actions due à la manière d'agir. Selon la ministre, leurs actions étaient plutôt portées sur des axes, et "elles n'étaient pas déclinées de manière sectorielle". "Au niveau des services, ils ont une stratégie sectorielle. Mais, ils ne voyaient pas le lien qu'il pouvait y voir entre les actions d'un plan climat-énergie par rapport à la stratégie. L'idée est de travailler avec ces ministères et ces services", souligne la ministre des Energies.
Et de rajouter : "Si on reprend la démarche par secteur, ça voudra dire qu'on aura un certain nombre d'actions qu'il faudra détailler ou bien, il faudrait peut-être voir d'autres actions qui, aujourd'hui, sont très structurantes. L'important du Copil était de revalider la structure de la démarche du plan d'actions, et de permettre à nos équipes d'avancer."
Le comité de pilotage se réunira de nouveau avant la fin de l'année pour valider le nouveau plan d'actions. Parmi ses membres, on retrouve le haut-commissaire, René Bidal et le président du pays, Edouard Fritch.