WELLINGTON, mercredi 28 septembre 2011 (Flash d’Océanie) – Le passage en Nouvelle-Zélande, mardi et mercredi, du Vice-premier ministre chinois Hui Liangyu a été l’occasion de signer toute une série de traités et accords à dominante économique et commerciale entre les deux pays, dans la foulée d’un accord de libre-échange déjà signé il y a quelques années.
Lors du passage de M. Hui, ce sont pas moins de cinq nouveaux textes bilatéraux qui ont été signés, a souligné mercredi le ministre de l’économie (et Vice-premier ministre) néo-zélandais, Bill English.
Parmi ces accords figure notamment celui qui facilite l’accès au marché chinois des pommes néo-zélandaises (avec une mise à jour des normes phytosanitaires) et un autre destiné à renforcer la coopération scientifique entre les deux pays, le plus souvent via leurs universités.
Un autre accord concerne l’aquaculture.
Au plan purement commercial, d’autres textes sont venus formaliser la création d’une entité mixte sino-néo-zélandaise en matière de transfert de technologie et de recyclage de déchets solides (issus d’une usine chinoise sidérurgique) en éthanol.
Un autre accord a été signé entre la Banque chinoise de développement et l’organisme d’expertise comptable Pricewaterhouse Coopers (désormais connu sous l’acronyme de PwC), avec une perspective de collaboration renforcée entre les deux partie pour le montage et le financement de projets de développement, comme par exemple, en Nouvelle-Zélande, dans la région de Canterbury, dévastée par deux séismes survenus le 4 septembre 2010 et le 22 février 2011.
Enfin, au plan culturel et audiovisuel, un autre accord de relai a été signé entre China Radio International et World TV Limited, cette dernière entité relayant désormais les émissions de radio Chine internationale sur le territoire néo-zélandais et notamment à destination d’une nombreuse et influente communauté d’origine chinoise.
M. Hui se trouvait jusqu’en début de semaine en escale technique en Polynésie française.
Après la Nouvelle-Zélande, il est aussi attendu à Fidji, où il sera reçu avec tous les honneurs par le gouvernement local, soucieux d’afficher les excellentes relations avec Pékin, en particulier depuis le coup d’État de décembre 2006.
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Lors du passage de M. Hui, ce sont pas moins de cinq nouveaux textes bilatéraux qui ont été signés, a souligné mercredi le ministre de l’économie (et Vice-premier ministre) néo-zélandais, Bill English.
Parmi ces accords figure notamment celui qui facilite l’accès au marché chinois des pommes néo-zélandaises (avec une mise à jour des normes phytosanitaires) et un autre destiné à renforcer la coopération scientifique entre les deux pays, le plus souvent via leurs universités.
Un autre accord concerne l’aquaculture.
Au plan purement commercial, d’autres textes sont venus formaliser la création d’une entité mixte sino-néo-zélandaise en matière de transfert de technologie et de recyclage de déchets solides (issus d’une usine chinoise sidérurgique) en éthanol.
Un autre accord a été signé entre la Banque chinoise de développement et l’organisme d’expertise comptable Pricewaterhouse Coopers (désormais connu sous l’acronyme de PwC), avec une perspective de collaboration renforcée entre les deux partie pour le montage et le financement de projets de développement, comme par exemple, en Nouvelle-Zélande, dans la région de Canterbury, dévastée par deux séismes survenus le 4 septembre 2010 et le 22 février 2011.
Enfin, au plan culturel et audiovisuel, un autre accord de relai a été signé entre China Radio International et World TV Limited, cette dernière entité relayant désormais les émissions de radio Chine internationale sur le territoire néo-zélandais et notamment à destination d’une nombreuse et influente communauté d’origine chinoise.
M. Hui se trouvait jusqu’en début de semaine en escale technique en Polynésie française.
Après la Nouvelle-Zélande, il est aussi attendu à Fidji, où il sera reçu avec tous les honneurs par le gouvernement local, soucieux d’afficher les excellentes relations avec Pékin, en particulier depuis le coup d’État de décembre 2006.
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