Mr Alban Salmon, directeur de l'ENSM
Parole à Alban Salmon, directeur de l’ENSM :
Quelques mots sur l’ENSM et le but de votre venue ?
« L’école nationale supérieure maritime comporte quatre sites : Nantes, Marseille, Le Havre et Saint Malo. Dans le cadre de la montée en compétences du centre des métiers de la mer de Polynésie française, son directeur François Voirin a souhaité faire un partenariat avec l’ENSM pour le montage de dossiers d’agrément pour une formation « officier chef de quart-passerelle » qui doit avoir lieu ici en Polynésie à partir du mois de juillet. »
« Ma principale mission a consisté à l’aider pour cette finalisation de dossiers d’agrément puisque c’est quelque chose que j’ai fait à Nantes depuis plusieurs années. J’ai eu également une mission d’aide pour le bureau des études sur la partie planification de l’information et l’utilisation du logiciel des affaires maritimes qui sert désormais pour la validation des formations et la délivrance des attestations de formation. »
Votre vision de la Polynésie de l’extérieur ?
« C’est un pays qui a beaucoup de potentiel, on l’a vu au déplacement du vice-président Teva Rohfritsch aux assises de la mer au mois de novembre dernier, il était accompagné de François Voirin. Il y a une volonté forte du Pays de monter en compétences sur les formations, il y a beaucoup de choses à faire. Le CMMPF envisage de se développer vers des formations à des niveaux supérieurs comme le « capitaine 3000 », l’ « officier chef de quart machine » dans les années à venir, on a des pistes d’améliorations, de développement de la formation maritime en Polynésie française. »
Quelques mots sur l’ENSM et le but de votre venue ?
« L’école nationale supérieure maritime comporte quatre sites : Nantes, Marseille, Le Havre et Saint Malo. Dans le cadre de la montée en compétences du centre des métiers de la mer de Polynésie française, son directeur François Voirin a souhaité faire un partenariat avec l’ENSM pour le montage de dossiers d’agrément pour une formation « officier chef de quart-passerelle » qui doit avoir lieu ici en Polynésie à partir du mois de juillet. »
« Ma principale mission a consisté à l’aider pour cette finalisation de dossiers d’agrément puisque c’est quelque chose que j’ai fait à Nantes depuis plusieurs années. J’ai eu également une mission d’aide pour le bureau des études sur la partie planification de l’information et l’utilisation du logiciel des affaires maritimes qui sert désormais pour la validation des formations et la délivrance des attestations de formation. »
Votre vision de la Polynésie de l’extérieur ?
« C’est un pays qui a beaucoup de potentiel, on l’a vu au déplacement du vice-président Teva Rohfritsch aux assises de la mer au mois de novembre dernier, il était accompagné de François Voirin. Il y a une volonté forte du Pays de monter en compétences sur les formations, il y a beaucoup de choses à faire. Le CMMPF envisage de se développer vers des formations à des niveaux supérieurs comme le « capitaine 3000 », l’ « officier chef de quart machine » dans les années à venir, on a des pistes d’améliorations, de développement de la formation maritime en Polynésie française. »
Mr Alban Salmon a été reçu par l'équipe du CMMPF
Un dernier mot, un message ?
« Il y a énormément de choses à faire dans le domaine maritime, beaucoup de formations possibles. Il y a même de nouvelles formations dans le domaine para-maritime. A Nantes, on a développé des formations sur l’éco-gestion des navires, la gestion écologique et économique des navires. C’est quelque chose de très intéressant dans le cadre du développement durable, la lutte contre la pollution des mers. Ici, vous êtes sensibilisés sur ces choses-là. »
« On en a parlé avec Mr Rohfritsch, ce serait intéressant d’avoir de l’information vers les jeunes de Polynésie française pour qu’ils puissent s’intégrer dans des cursus avec des bacs pros, des BTS, voire des licences qui pourraient les amener ensuite vers ces formations en métropole. Mais il y a déjà en Polynésie beaucoup de travail, beaucoup de formations, le métier de marin a un bon développement, les armateurs locaux cherchent des marins et des marins qualifiés. C’est pour cela que le CMMPF a son rôle à jouer dans cette montée en compétences des marins. » SB/CMMPF
« Il y a énormément de choses à faire dans le domaine maritime, beaucoup de formations possibles. Il y a même de nouvelles formations dans le domaine para-maritime. A Nantes, on a développé des formations sur l’éco-gestion des navires, la gestion écologique et économique des navires. C’est quelque chose de très intéressant dans le cadre du développement durable, la lutte contre la pollution des mers. Ici, vous êtes sensibilisés sur ces choses-là. »
« On en a parlé avec Mr Rohfritsch, ce serait intéressant d’avoir de l’information vers les jeunes de Polynésie française pour qu’ils puissent s’intégrer dans des cursus avec des bacs pros, des BTS, voire des licences qui pourraient les amener ensuite vers ces formations en métropole. Mais il y a déjà en Polynésie beaucoup de travail, beaucoup de formations, le métier de marin a un bon développement, les armateurs locaux cherchent des marins et des marins qualifiés. C’est pour cela que le CMMPF a son rôle à jouer dans cette montée en compétences des marins. » SB/CMMPF