WELLINGTON, mardi 23 novembre 2010 (Flash d'Océanie) – Cinq ans jour pour jour après la signature d’un premier accord de « coopération scientifique et technologique » censé promouvoir les collaborations et les échanges entre la France et la Nouvelle-Zélande et, par extension, entre la Nouvelle-Zélande et l’Union Européenne, ces deux pays ont renouvelé ce pacte, a annoncé mardi le ministre néo-zélandais de la recherche, des technologies et des sciences, Wayne Mapp.
Ce dernier, qui qualifie la collaboration scientifique franco-néo-zélandais de « florissante », a précisé que cet accord, baptisé « Dumont d'Urville » (en l’honneur du célèbre navigateur-explorateur français du 19ème siècle qui, lors de voyages dans cette région, a élaboré l’une des premières cartographies des côtes néo-zélandaises), est maintenant renouvelé « indéfiniment ».
Cet accord, à l’origine, formalisait une coopération existante en installant des réunions régulières avec pour objectif principal de favoriser la mise en commun des connaissances entre chercheurs des deux pays.
Les scientifiques participant à ces échanges (censés promouvoir la coopération scientifique et technologique entre la France et la Nouvelle-Zélande dans les secteurs public et privé) deviennent aussi éligibles aux aides des deux gouvernements concernés.
Parmi les premiers secteurs dans lesquels cette approche sera creusée : les biotechnologies et les nanosciences, mais aussi l’alimentation, l’agriculture, la pêche, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ou encore la biodiversité.
« Par exemple, ce programme a permis à des chercheurs français et néo-zélandais de faire d’importantes découvertes dans le domaine de l’émission des gaz à effet de serre en milieu agricole », a précisé mardi M. Mapp.
Chaque année, ce programme est alimenté de part et d’autre par une enveloppe de quelque quatre vingt dix mille dollars néo-zélandais (soit environ 51.000 euros).
Le document de reconduction a été signé lundi 22 novembre 2010 par Lesley Middleton, directeur adjoint de cabinet au ministère néo-zélandais de la recherche, et pour la France, par l’Ambassadeur Francis Etienne, qui a tout récemment pris ses fonctions en Nouvelle-Zélande en remplacement de M. Michel Legras.
« C’est aussi un accord significatif pour la Nouvelle-Zélande, du fait du lien que possède la France avec les milieux de la recherche de l’Union Européenne (…) qui représente elle-même plus de cinquante pour cent de la recherche civile mondiale, d’où d’énormes opportunités pour la Nouvelle-Zélande», soulignait en 2005 le gouvernement de Wellington.
Mi-juillet 2008, c’est avec l’Union Européenne (alors sous présidence française) que la Nouvelle-Zélande scellait un accord similaire de coopération scientifique.
Wellington déclarait alors considérer cet acte comme une première et un moyen d'élargir le champ de coopération de la Nouvelle-Zélande avec l'UE dans les domaines scientifique et de la recherche.
« L'un des aspects les plus significatifs de cet accord scientifique et technique est qu'il permettra à nos chercheurs d'être éligibles au nom de programmes de l'UE qui étaient jusqu'ici inaccessibles », soulignait alors le gouvernement néo-zélandais.
L’accord entre l’UE et la Nouvelle-Zélande prévoit notamment des échanges scientifiques internationaux, dans les domaines de la recherche agronomique, vétérinaire, de l'environnement, de la médecine et des technologies de l'information et de la communication.
Ce dernier, qui qualifie la collaboration scientifique franco-néo-zélandais de « florissante », a précisé que cet accord, baptisé « Dumont d'Urville » (en l’honneur du célèbre navigateur-explorateur français du 19ème siècle qui, lors de voyages dans cette région, a élaboré l’une des premières cartographies des côtes néo-zélandaises), est maintenant renouvelé « indéfiniment ».
Cet accord, à l’origine, formalisait une coopération existante en installant des réunions régulières avec pour objectif principal de favoriser la mise en commun des connaissances entre chercheurs des deux pays.
Les scientifiques participant à ces échanges (censés promouvoir la coopération scientifique et technologique entre la France et la Nouvelle-Zélande dans les secteurs public et privé) deviennent aussi éligibles aux aides des deux gouvernements concernés.
Parmi les premiers secteurs dans lesquels cette approche sera creusée : les biotechnologies et les nanosciences, mais aussi l’alimentation, l’agriculture, la pêche, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ou encore la biodiversité.
« Par exemple, ce programme a permis à des chercheurs français et néo-zélandais de faire d’importantes découvertes dans le domaine de l’émission des gaz à effet de serre en milieu agricole », a précisé mardi M. Mapp.
Chaque année, ce programme est alimenté de part et d’autre par une enveloppe de quelque quatre vingt dix mille dollars néo-zélandais (soit environ 51.000 euros).
Le document de reconduction a été signé lundi 22 novembre 2010 par Lesley Middleton, directeur adjoint de cabinet au ministère néo-zélandais de la recherche, et pour la France, par l’Ambassadeur Francis Etienne, qui a tout récemment pris ses fonctions en Nouvelle-Zélande en remplacement de M. Michel Legras.
« C’est aussi un accord significatif pour la Nouvelle-Zélande, du fait du lien que possède la France avec les milieux de la recherche de l’Union Européenne (…) qui représente elle-même plus de cinquante pour cent de la recherche civile mondiale, d’où d’énormes opportunités pour la Nouvelle-Zélande», soulignait en 2005 le gouvernement de Wellington.
Mi-juillet 2008, c’est avec l’Union Européenne (alors sous présidence française) que la Nouvelle-Zélande scellait un accord similaire de coopération scientifique.
Wellington déclarait alors considérer cet acte comme une première et un moyen d'élargir le champ de coopération de la Nouvelle-Zélande avec l'UE dans les domaines scientifique et de la recherche.
« L'un des aspects les plus significatifs de cet accord scientifique et technique est qu'il permettra à nos chercheurs d'être éligibles au nom de programmes de l'UE qui étaient jusqu'ici inaccessibles », soulignait alors le gouvernement néo-zélandais.
L’accord entre l’UE et la Nouvelle-Zélande prévoit notamment des échanges scientifiques internationaux, dans les domaines de la recherche agronomique, vétérinaire, de l'environnement, de la médecine et des technologies de l'information et de la communication.