PAPEETE, le 27 septembre 2016 - Le 1er octobre est la journée mondiale du végétarisme. L’occasion de faire toute la lumière sur ce mouvement qui séduit de plus en plus de monde. Le végétarisme est un terme qui désigne celles et ceux qui ne consomment pas de chair animale (viande et poisson). Leur choix d’exclure la viande de leur régime alimentaire a plusieurs explications.
Voilà bientôt 40 ans que le 1er octobre est dite journée "mondiale du végétarisme". C’est la société végétarienne nord-américaine qui l’a lancée en 1977 pour "développer la joie, la compassion et promouvoir la vie". L’année suivante, cette initiative était adoptée par l’union végétarienne internationale.
Le végétarisme est un mouvement qui regroupe tous les gens qui ne consomment pas de chair animale, ils ne mangent ni viande, ni poisson. Ces gens sont des végétariens. Certains peuvent aller plus loin qu’une seule exclusion de chair animale, ils peuvent éliminer de leur régime alimentaire le beurre, le lait, les œufs, les crustacés.
Les raisons invoquées par ces consommateurs sont variables. Cela peut être une question religieuse, culturelle, de santé. D’autres s’inquiètent de la qualité des produits vendus, ils critiquent la traçabilité de la viande, les conditions d’élevage et d’abattage des animaux, ils pensent aussi aux impacts sur l’environnement des modes de production à grande échelle.
En Polynésie comme dans d’autres pays, le végétarisme séduit de plus en plus. Les restaurants proposent de plus en plus souvent des cartes spéciales pour les végétariens. Certains établissements servent même seulement des repas végétariens. Il n’existe pas de chiffres sur le territoire pour confirmer cette évolution.
En France, une étude réalisée par le magazine Terra Eco en janvier dernier estime le nombre de Français végétariens à 3%. Un chiffre qui reste stable depuis quatre ou cinq ans, mais 10% de la population envisage de ne plus manger de chair animale et une grande part des consommateurs est devenue "flexitarienne", c’est-à-dire qu’elle a nettement réduit la part de viande et de poisson dans ses menus.
Voilà bientôt 40 ans que le 1er octobre est dite journée "mondiale du végétarisme". C’est la société végétarienne nord-américaine qui l’a lancée en 1977 pour "développer la joie, la compassion et promouvoir la vie". L’année suivante, cette initiative était adoptée par l’union végétarienne internationale.
Le végétarisme est un mouvement qui regroupe tous les gens qui ne consomment pas de chair animale, ils ne mangent ni viande, ni poisson. Ces gens sont des végétariens. Certains peuvent aller plus loin qu’une seule exclusion de chair animale, ils peuvent éliminer de leur régime alimentaire le beurre, le lait, les œufs, les crustacés.
Les raisons invoquées par ces consommateurs sont variables. Cela peut être une question religieuse, culturelle, de santé. D’autres s’inquiètent de la qualité des produits vendus, ils critiquent la traçabilité de la viande, les conditions d’élevage et d’abattage des animaux, ils pensent aussi aux impacts sur l’environnement des modes de production à grande échelle.
En Polynésie comme dans d’autres pays, le végétarisme séduit de plus en plus. Les restaurants proposent de plus en plus souvent des cartes spéciales pour les végétariens. Certains établissements servent même seulement des repas végétariens. Il n’existe pas de chiffres sur le territoire pour confirmer cette évolution.
En France, une étude réalisée par le magazine Terra Eco en janvier dernier estime le nombre de Français végétariens à 3%. Un chiffre qui reste stable depuis quatre ou cinq ans, mais 10% de la population envisage de ne plus manger de chair animale et une grande part des consommateurs est devenue "flexitarienne", c’est-à-dire qu’elle a nettement réduit la part de viande et de poisson dans ses menus.