Le mercredi 5 juin 2013 vers 10 heures sur la voie publique à Paea, un homme vendant du matériel et de l'outillage sur la voie publique est signalé aux gendarmes de la brigade locale.
Une plainte déposée au cours du week-end pour des vols de matériel similaire, met la puce à l'oreille des gendarmes qui interviennent sur les lieux du signalement.
Les gendarmes tentent d'identifier l'auteur qui refuse de décliner son identité. De plus il se montre, au fil des minutes, de plus en plus virulent. Invité à suivre les trois gendarmes, l'homme âgé de 34 ans se saisit alors d'un des produits qu'il proposait, soit une perceuse et la brandit telle une arme.
L'auteur dans la phase d'interpellation donne des coups de perceuses sur le véhicule des gendarmes, mais il frappe également et bouscule violemment l'un d'eux pendant que ce dernier le désarme. L'auteur arrive alors à s'écarter et ramasse des pierres et les brandit en menaçant les militaires. Ces derniers, pour maitriser l'individu sont contraints d'utiliser la force nécessaire, à savoir le diffuseur lacrymogène. L'individu est ainsi menotté et transporté jusqu'à la brigade pour y être entendu sous le régime de la garde à vue.
Le matériel d'outillage est saisi (l'enquête est en cours pour en connaître sa provenance).
En raison de son état de santé, un arrêté d'hospitalisation d'office est pris par l'édile de la commune.
La garde à vue est levée et l'individu est transporté par les pompiers de la commune, sous escorte de la gendarmerie jusqu'au service psychiatrique du CHPF du Taaone.
Le magistrat classe sans suite les faits en raison de l'état mental déficient de l'individu.
Une plainte déposée au cours du week-end pour des vols de matériel similaire, met la puce à l'oreille des gendarmes qui interviennent sur les lieux du signalement.
Les gendarmes tentent d'identifier l'auteur qui refuse de décliner son identité. De plus il se montre, au fil des minutes, de plus en plus virulent. Invité à suivre les trois gendarmes, l'homme âgé de 34 ans se saisit alors d'un des produits qu'il proposait, soit une perceuse et la brandit telle une arme.
L'auteur dans la phase d'interpellation donne des coups de perceuses sur le véhicule des gendarmes, mais il frappe également et bouscule violemment l'un d'eux pendant que ce dernier le désarme. L'auteur arrive alors à s'écarter et ramasse des pierres et les brandit en menaçant les militaires. Ces derniers, pour maitriser l'individu sont contraints d'utiliser la force nécessaire, à savoir le diffuseur lacrymogène. L'individu est ainsi menotté et transporté jusqu'à la brigade pour y être entendu sous le régime de la garde à vue.
Le matériel d'outillage est saisi (l'enquête est en cours pour en connaître sa provenance).
En raison de son état de santé, un arrêté d'hospitalisation d'office est pris par l'édile de la commune.
La garde à vue est levée et l'individu est transporté par les pompiers de la commune, sous escorte de la gendarmerie jusqu'au service psychiatrique du CHPF du Taaone.
Le magistrat classe sans suite les faits en raison de l'état mental déficient de l'individu.