Oscar Temaru, leader du Tavini Huiraatira et avant tout, premier personnage politique de la Polynésie française, a tenu des propos inqualifiables concernant le président et candidat à la présidentielle, Nicolas Sarkozy.
En évoquant une République de droite ou de gauche, M. Temaru semble s’engager sur le chemin de la division. Or, la République française constitue une réalité qui ne peut être appréhendée que dans son intégralité sans distinction d’appartenance politique. En insultant le Président de la République, les propos d’Oscar Temaru constituent une insulte envers la France toute entière. Ce n’est pas un seul homme qui est attaqué mais l’ensemble du peuple français.
Alors que ces paroles dénotent d’un réel manque de réflexion de la part du président du gouvernement polynésien, il convient de se rappeler que c’est ce même Oscar Temaru qui a ordonné à ses militants de brûler l’aéroport de Faa’a. Cet acte qui a donné lieu à une explosion de violence et de haine sans précédent n’a-t-il pas contribué à mettre en cause l’image de la Polynésie française au même titre que le soi-disant déni de l’Etat sur le fait nucléaire ? La question mérite réflexion ...
Si ces propos déplacés sont condamnables par les tribunaux, désavouer M. François Hollande en faveur de M. Nicolas Sarkozy apparaît comme la solution appropriée pour obtenir réparation pour la tenue de tels propos. Il importe d’apporter une réponse politique à la hauteur de l’argument politique tel qu’il a été présenté par le président du gouvernement polynésien.
Ces propos diffamatoires tenus par M. Temaru qui dénotent d’un manque latent de réserve, vont à l’encontre de l’esprit des valeurs républicaines ainsi que des valeurs défendues par la société polynésienne qui sont avant tout le respect, la dignité et le partage.
Ces paroles ne constituent en aucune manière le reflet d’une population qui se retrouve prise en otage par un chef de gouvernement qui s’obstine dans ses élans de provocation envers l’Etat.
Le parti O Porinetia To Tatou Ai’a et les valeurs qu’il incarne, ne peut cautionner ce genre de propos déplacés qui ne sont destinés qu’à déstabiliser encore davantage une société polynésienne qui connaît déjà de grandes difficultés sociales, économiques et politiques.
Gaston Tong Sang
En évoquant une République de droite ou de gauche, M. Temaru semble s’engager sur le chemin de la division. Or, la République française constitue une réalité qui ne peut être appréhendée que dans son intégralité sans distinction d’appartenance politique. En insultant le Président de la République, les propos d’Oscar Temaru constituent une insulte envers la France toute entière. Ce n’est pas un seul homme qui est attaqué mais l’ensemble du peuple français.
Alors que ces paroles dénotent d’un réel manque de réflexion de la part du président du gouvernement polynésien, il convient de se rappeler que c’est ce même Oscar Temaru qui a ordonné à ses militants de brûler l’aéroport de Faa’a. Cet acte qui a donné lieu à une explosion de violence et de haine sans précédent n’a-t-il pas contribué à mettre en cause l’image de la Polynésie française au même titre que le soi-disant déni de l’Etat sur le fait nucléaire ? La question mérite réflexion ...
Si ces propos déplacés sont condamnables par les tribunaux, désavouer M. François Hollande en faveur de M. Nicolas Sarkozy apparaît comme la solution appropriée pour obtenir réparation pour la tenue de tels propos. Il importe d’apporter une réponse politique à la hauteur de l’argument politique tel qu’il a été présenté par le président du gouvernement polynésien.
Ces propos diffamatoires tenus par M. Temaru qui dénotent d’un manque latent de réserve, vont à l’encontre de l’esprit des valeurs républicaines ainsi que des valeurs défendues par la société polynésienne qui sont avant tout le respect, la dignité et le partage.
Ces paroles ne constituent en aucune manière le reflet d’une population qui se retrouve prise en otage par un chef de gouvernement qui s’obstine dans ses élans de provocation envers l’Etat.
Le parti O Porinetia To Tatou Ai’a et les valeurs qu’il incarne, ne peut cautionner ce genre de propos déplacés qui ne sont destinés qu’à déstabiliser encore davantage une société polynésienne qui connaît déjà de grandes difficultés sociales, économiques et politiques.
Gaston Tong Sang
