La piscine de l’I.J.S.P.F de Taina accueille pendant le mois de juillet des enfants issus des quartiers défavorisés dans le cadre du Programme d’Insertion Sociale par les Activités de la Natation (P.I.S.A.N).
Ce sont des stages de natation à vocation préventive organisés pendant les vacances de juillet. Le PISAN touchera en 2013 près de 180 enfants issus des quartiers prioritaires des communes de Punaauia, Faa’a, Paea, Arue et Moorea. Depuis sa création, le PISAN aura touché plus de 550 enfants.
En 2010, la Fédération Tahitienne de Natation et la Commune de Punaauia s’associent pour lancer la première édition du PISAN. A l’origine, il ne devait y avoir que 2 stages, mais ce sont finalement 4 stages qui sont organisés permettant à près de 70 enfants d’être initiés à la natation.
Objectifs du PISAN :
L’urbanisation de l’île de Tahiti a entraîné le développement des quartiers dans les hauteurs, et la diminution des accès à la mer. La conséquence de ce phénomène amènera, dans les années à venir, la population des quartiers à se désapproprier du milieu aquatique naturel.
Le PISAN vis avant tout le savoir nager, créant ainsi la première condition de la réappropriation de l’environnement naturel. En même temps, la Fédération Tahitienne de Natation se sert des contraintes liées à une activité aquatique pour faire passer des messages tels que le respect des règles, de l’encadrement, la cohésion de groupe, nécessaire pour vivre en société.
« Avec la natation, nous avons tous la tête au niveau de l’eau ».
Evolutions du PISAN :
L’engouement qu’a suscité le PISAN a incité la Fédération Tahitienne de Natation à amener une première innovation au projet d’origine. C’est ainsi qu'elle a organisé, en partenariat avec la commune de Punaauia, la première édition du AITO SWIMMING, compétition regroupant l’ensemble des enfants ayant participé au PISAN. Traditionnellement organisé à la piscine de Taina, le AITO SWIMMING sera organisé le 27 juillet 2013 après midi, à la piscine de Pater et viendra clôturer en beauté le PISAN 2013.
Dans un second temps, la Fédération Tahitienne de Natation s'est servi du dispositif de l’Ecole de Natation Française (ENF) pour structurer l’apprentissage des enfants et de donner du sens à leur approche pédagogique. L’ENF a offert la capacité de mesurer les progrès et de délivrer des diplômes aux enfants ayant réussi avec succès au test du sauv’nage. La Fédération Tahitienne de Natation a pu constater qu’en moyenne, seulement 75% des enfants échouent aux tests du sauv’nage le premier jour du PISAN, et 85% d’entre le réussissent à la fin du stage.
Enfin, pour l’année 2013 La Fédération Tahitienne de Natation a souhaité associer les accompagnateurs de quartiers aux actions du PISAN en leurs proposant de suivre des formations de secourisme (PSC1) et de sauvetage (BSA). L’examen du BSA se tiendra le jeudi 1er août 2013 à la piscine de Pater.
Le PISAN en chiffres :
COMMUNES : 1 184 000 F
CUCS : 1 776 000 F
MAAT : 296 000 francs
Partenaires privés : 800 000 F
TOTAL : 4 000 000 francs
A cela, il faudrait rajouter le transport à la charge des communes et la mise à disposition des moyens de l’IJSPF pendant cette période. Participation de l’IJSPF estimée à 7 500 000 francs.
Ce sont des stages de natation à vocation préventive organisés pendant les vacances de juillet. Le PISAN touchera en 2013 près de 180 enfants issus des quartiers prioritaires des communes de Punaauia, Faa’a, Paea, Arue et Moorea. Depuis sa création, le PISAN aura touché plus de 550 enfants.
En 2010, la Fédération Tahitienne de Natation et la Commune de Punaauia s’associent pour lancer la première édition du PISAN. A l’origine, il ne devait y avoir que 2 stages, mais ce sont finalement 4 stages qui sont organisés permettant à près de 70 enfants d’être initiés à la natation.
Objectifs du PISAN :
L’urbanisation de l’île de Tahiti a entraîné le développement des quartiers dans les hauteurs, et la diminution des accès à la mer. La conséquence de ce phénomène amènera, dans les années à venir, la population des quartiers à se désapproprier du milieu aquatique naturel.
Le PISAN vis avant tout le savoir nager, créant ainsi la première condition de la réappropriation de l’environnement naturel. En même temps, la Fédération Tahitienne de Natation se sert des contraintes liées à une activité aquatique pour faire passer des messages tels que le respect des règles, de l’encadrement, la cohésion de groupe, nécessaire pour vivre en société.
« Avec la natation, nous avons tous la tête au niveau de l’eau ».
Evolutions du PISAN :
L’engouement qu’a suscité le PISAN a incité la Fédération Tahitienne de Natation à amener une première innovation au projet d’origine. C’est ainsi qu'elle a organisé, en partenariat avec la commune de Punaauia, la première édition du AITO SWIMMING, compétition regroupant l’ensemble des enfants ayant participé au PISAN. Traditionnellement organisé à la piscine de Taina, le AITO SWIMMING sera organisé le 27 juillet 2013 après midi, à la piscine de Pater et viendra clôturer en beauté le PISAN 2013.
Dans un second temps, la Fédération Tahitienne de Natation s'est servi du dispositif de l’Ecole de Natation Française (ENF) pour structurer l’apprentissage des enfants et de donner du sens à leur approche pédagogique. L’ENF a offert la capacité de mesurer les progrès et de délivrer des diplômes aux enfants ayant réussi avec succès au test du sauv’nage. La Fédération Tahitienne de Natation a pu constater qu’en moyenne, seulement 75% des enfants échouent aux tests du sauv’nage le premier jour du PISAN, et 85% d’entre le réussissent à la fin du stage.
Enfin, pour l’année 2013 La Fédération Tahitienne de Natation a souhaité associer les accompagnateurs de quartiers aux actions du PISAN en leurs proposant de suivre des formations de secourisme (PSC1) et de sauvetage (BSA). L’examen du BSA se tiendra le jeudi 1er août 2013 à la piscine de Pater.
Le PISAN en chiffres :
COMMUNES : 1 184 000 F
CUCS : 1 776 000 F
MAAT : 296 000 francs
Partenaires privés : 800 000 F
TOTAL : 4 000 000 francs
A cela, il faudrait rajouter le transport à la charge des communes et la mise à disposition des moyens de l’IJSPF pendant cette période. Participation de l’IJSPF estimée à 7 500 000 francs.