C’est avec une météo clémente et dans une ambiance de “djeune’s” que la cérémonie d’ouverture du Festival de la jeunesse s’est déroulée ce dimanche 7 novembre à 13 heures, à la marina de Puunui à Toahotu.
Le président de Polynésie, Gaston Tong Sang, le ministre de la jeunesse et des sports, Jean-Pierre Beauy, le ministre de la Solidarité, Teura Iriti, le ministre de la culture, Mita Teriipaia, le maire de la commune de Taiarapu-Ouest, Clarentz Vernaudon, l’administrateur de l’Etat des îles du Vent et des îles Sous-Le-Vent, Jean-Michel Jumez et la représentante à l’assemblée, Sandra Levy-Agami et du représentant à l’assemblée Robert Teriitehau, ont été accueillis en début d’après-midi par un orero présenté par Piirai Adams de la commune de Taiarapu- Ouest suivi de la levée des drapeaux qui s’est effectuée sous une même voix, celle de la chorale composée des 636 jeunes des 5 archipels, qui ont fredonné les hymnes, national et territorial.
Comme toute cérémonie officielle, une prière est venue bénir ce Festival avant de passer au discours du maire de la commune de Tairapu-Ouest et de l’administrateur de l Etat des îles du Vents et des îles Sous- le- Vent et du président de Polynésie.
Fidèle au slogan du Festival, « Stop chalala, action ! » les discours ont rappelé l’essentiel en instant sur le mot d’ordre du festival : place aux jeunes qui durant ces 5 jours vont s’exprimer en participant aux ateliers débat et action sur des sujets tels que l’identité, les relations familiales, l‘engagement, la solidarité, les difficultés avec la langue tahitienne, les relations avec les matahiapo ou encore la mixité des cultures entre tradition et modernisation.
Ils ont rappelé aux jeunes l’objectif de ce rassemblement qui les réunit, celui d’élaborer, d’étudier et d’adopter ensemble la première Charte de la jeunesse de Polynésie française qui sera restituée le dernier jour du Festival. Le ministre de la jeunesse et de sports présentera au gouvernement une synthèse de cette Charte qui sera adopté lors du prochain de Festival de la jeunesse.
Le tavana Clarentz Vernaudon a rappelé les chiffres des fléaux qui touchent les jeunes et a insisté sur le travail d’union qui devait être réalisé et « laisser les peapea de côté pour travailler pour la jeunesse ».
L’administrateur de l’Etat a félicité le ministre de la jeunesse et des sports et les référents pour l’organisation de ce premier Festival de la jeunesse polynésienne. Il a remercié le gouvernement pour cette initiative qui laisse aux jeunes la possibilité de s’exprimer et a rappelé le soutien de l’Etat pour cette démarche du pays qui place la jeunesse au centre des préoccupations du gouvernement.
Le président de Polynésie, Gaston Tong Sang, le ministre de la jeunesse et des sports, Jean-Pierre Beauy, le ministre de la Solidarité, Teura Iriti, le ministre de la culture, Mita Teriipaia, le maire de la commune de Taiarapu-Ouest, Clarentz Vernaudon, l’administrateur de l’Etat des îles du Vent et des îles Sous-Le-Vent, Jean-Michel Jumez et la représentante à l’assemblée, Sandra Levy-Agami et du représentant à l’assemblée Robert Teriitehau, ont été accueillis en début d’après-midi par un orero présenté par Piirai Adams de la commune de Taiarapu- Ouest suivi de la levée des drapeaux qui s’est effectuée sous une même voix, celle de la chorale composée des 636 jeunes des 5 archipels, qui ont fredonné les hymnes, national et territorial.
Comme toute cérémonie officielle, une prière est venue bénir ce Festival avant de passer au discours du maire de la commune de Tairapu-Ouest et de l’administrateur de l Etat des îles du Vents et des îles Sous- le- Vent et du président de Polynésie.
Fidèle au slogan du Festival, « Stop chalala, action ! » les discours ont rappelé l’essentiel en instant sur le mot d’ordre du festival : place aux jeunes qui durant ces 5 jours vont s’exprimer en participant aux ateliers débat et action sur des sujets tels que l’identité, les relations familiales, l‘engagement, la solidarité, les difficultés avec la langue tahitienne, les relations avec les matahiapo ou encore la mixité des cultures entre tradition et modernisation.
Ils ont rappelé aux jeunes l’objectif de ce rassemblement qui les réunit, celui d’élaborer, d’étudier et d’adopter ensemble la première Charte de la jeunesse de Polynésie française qui sera restituée le dernier jour du Festival. Le ministre de la jeunesse et de sports présentera au gouvernement une synthèse de cette Charte qui sera adopté lors du prochain de Festival de la jeunesse.
Le tavana Clarentz Vernaudon a rappelé les chiffres des fléaux qui touchent les jeunes et a insisté sur le travail d’union qui devait être réalisé et « laisser les peapea de côté pour travailler pour la jeunesse ».
L’administrateur de l’Etat a félicité le ministre de la jeunesse et des sports et les référents pour l’organisation de ce premier Festival de la jeunesse polynésienne. Il a remercié le gouvernement pour cette initiative qui laisse aux jeunes la possibilité de s’exprimer et a rappelé le soutien de l’Etat pour cette démarche du pays qui place la jeunesse au centre des préoccupations du gouvernement.
Le président qui s’est adressé aux 632 jeunes en leur précisant qu’il ne lirait pas son discours car il n’était pas là pour faire du « chalala » mais tenait à « rendre hommage au travail qui a été mené par le ministère de la jeunesse et ses services, avec lui l’ensemble des associations et en particulier l’UPJ sans oublier le Tavana Clarentz Vernaudon, car tout le monde sait quand on accueille dans sa commune le maire a une part importante dans le bon déroulement de cet événement et surtout quand on sait que ça dure 4 jours. Nous attendons de vous (jeunes) de ce rassemblement des propositions permettant d’élaborer la Charte que le ministre de la jeunesse et des sports transmettra au gouvernement sous forme de synthèse. Bien sûr pour proposer il faut d’abord se rencontrer et après cette rencontre, il faut échanger, se comprendre et se connaître… En ces temps de crise, on a envie de dire « que fait le gouvernement », combien de budget pour un tel rassemblement… 7 millions pour faire venir une centaine de jeunes, vous êtes plus de 600, c’est insuffisant, vous me direz. J’ai une piste de travail à vous proposer ; donnez pour Votre fenua, donnez du cœur et donnez de la foi dans ce que vous faites. C’est comme ça qu’on parviendra à construire notre pays. Soyez fiers de notre Pays et soyez fiers de la République française. »
Les discours se sont terminés avec une ola des jeunes spectateurs pour laisser place aux danses et chants présentés par les jeunes de Taiarapu-Ouest.
La cérémonie d’ouverture du festival s’est poursuivie par une visite des différents stands présents. Le site internet dédié à la jeunesse www.actionjeunesse.pf a été lancé en présence des jeunes et des référents choisis pour gérer et alimenter le site.
Les discours se sont terminés avec une ola des jeunes spectateurs pour laisser place aux danses et chants présentés par les jeunes de Taiarapu-Ouest.
La cérémonie d’ouverture du festival s’est poursuivie par une visite des différents stands présents. Le site internet dédié à la jeunesse www.actionjeunesse.pf a été lancé en présence des jeunes et des référents choisis pour gérer et alimenter le site.
