Tahiti le 14 août 2024. Le GPIP (Groupe des Parlements des Îles du Pacifique), réuni ce mercredi à Koror, a officiellement débuté les travaux de sa 4 ème Conférence en présence d'une soixantaine de participants représentant les parlements de toute la région Pacifique.
La journée a débuté par une cérémonie d'ouverture officielle, marquée par les discours de Sabino Anastacio, président de la Chambre des Délégués de Palau, et de Surangel Whipps, Jr., président de la République de Palau.
Dans la séquence de démarrage de cette première journée de travail, ils ont tenu à mettre en avant le rôle prépondérant des parlements, essentiels au bon fonctionnement des institutions, dans la promotion de la sécurité humaine pour les insulaires du Pacifique.
Le discours inaugural de la journée, prononcé par le Dr. Robert Underwood, président de l'Université de Guam et ancien membre du Congrès des États-Unis, a mis l'accent sur l'évolution du concept de sécurité humaine. Il a abordé des défis spécifiques auxquels les pays du Pacifique sont confrontés en raison de leur insularité, notamment les menaces environnementales, économiques et sociales.
Le Dr. Underwood a souligné que la sécurité humaine, dans cette région, doit aller au-delà de la défense territoriale pour inclure la protection des individus contre les dangers liés au changement climatique, à la pauvreté et aux maladies.
La première session de travail, intitulée "Développement centré sur les personnes et sécurité humaine : les Pays des Îles du Pacifique face aux changements mondiaux", a permis de présenter comment la "Stratégie 2050 pour le Continent Bleu Pacifique" pourrait renforcer la sécurité humaine par le biais de politiques de développement axées sur les individus, la préservation de la culture pacifique, et l'intégration régionale.
Les discussions ont également porté sur l'impact de la mondialisation sur les identités culturelles et la nécessité de solutions politiques qui protègent et valorisent les cultures locales.
Au cours de cette session, Antony Geros a présenté les efforts réalisés en Polynésie française dans la lutte contre le réchauffement climatique, la protection de l'environnement et de la biodiversité, ainsi que ceux effectués dans les domaines de l'énergie renouvelable et de l'innovation.
Le président de l’Assemblée a également à titre d’exemple détaillé les actions concrètes prises pour limiter l'impact environnemental, comme l'interdiction des produits en plastique et la création d'aires marines protégées.
La journée a débuté par une cérémonie d'ouverture officielle, marquée par les discours de Sabino Anastacio, président de la Chambre des Délégués de Palau, et de Surangel Whipps, Jr., président de la République de Palau.
Dans la séquence de démarrage de cette première journée de travail, ils ont tenu à mettre en avant le rôle prépondérant des parlements, essentiels au bon fonctionnement des institutions, dans la promotion de la sécurité humaine pour les insulaires du Pacifique.
Le discours inaugural de la journée, prononcé par le Dr. Robert Underwood, président de l'Université de Guam et ancien membre du Congrès des États-Unis, a mis l'accent sur l'évolution du concept de sécurité humaine. Il a abordé des défis spécifiques auxquels les pays du Pacifique sont confrontés en raison de leur insularité, notamment les menaces environnementales, économiques et sociales.
Le Dr. Underwood a souligné que la sécurité humaine, dans cette région, doit aller au-delà de la défense territoriale pour inclure la protection des individus contre les dangers liés au changement climatique, à la pauvreté et aux maladies.
La première session de travail, intitulée "Développement centré sur les personnes et sécurité humaine : les Pays des Îles du Pacifique face aux changements mondiaux", a permis de présenter comment la "Stratégie 2050 pour le Continent Bleu Pacifique" pourrait renforcer la sécurité humaine par le biais de politiques de développement axées sur les individus, la préservation de la culture pacifique, et l'intégration régionale.
Les discussions ont également porté sur l'impact de la mondialisation sur les identités culturelles et la nécessité de solutions politiques qui protègent et valorisent les cultures locales.
Au cours de cette session, Antony Geros a présenté les efforts réalisés en Polynésie française dans la lutte contre le réchauffement climatique, la protection de l'environnement et de la biodiversité, ainsi que ceux effectués dans les domaines de l'énergie renouvelable et de l'innovation.
Le président de l’Assemblée a également à titre d’exemple détaillé les actions concrètes prises pour limiter l'impact environnemental, comme l'interdiction des produits en plastique et la création d'aires marines protégées.