PAPEETE, 14 février 2018 - Le Tahoeraa Huiraatira regrette que le gouvernement s’entête à vouloir faire passer en force sa loi sur les retraites, balayant par la même et d’un revers de main, l’avis défavorable de la société civile représentée au CESC.
Surtout, le Président du Pays dénigre la volonté affirmée des partenaires sociaux, de revoir la protection sociale généralisée dans le cadre d’une réforme globale (régimes de retraite et maladie) et non pas de manière morcelée, tel que proposé dans le projet du gouvernement.
Le Tahoeraa Huiraatira est favorable à une discussion de la PSG2 dans le cadre d’une réforme globale.
Seule la création massive d’emplois, grâce aux grands chantiers, participera à la résorption des déficits existants.
Lorsque M. Fritch considère, confortablement assis dans son fauteuil du haut de sa tour d’ivoire, que « l’on est encore jeune à 60 ans », il est totalement détaché de la réalité des salariés réalisant notamment des travaux pénibles à longueur de journées.
Pire encore, il avoue lors de sa conférence de presse que ce n’est pas de l’intérêt général dont il se préoccupe véritablement, mais plutôt de satisfaire son ego démesuré, en passant pour celui « dont on dira : Fritch a tenu bon et lancé la réforme de la PSG. »
Le Président du Pays serait-il déjà parti ?
Le Tahoeraa Huiraatira prend quant à lui ses responsabilités et à la demande des représentants de l’intersyndicale, une rencontre est prévue ce soir à 17h, en présence des représentants du groupe à l’Assemblée de la Polynésie et du Président Gaston Flosse.
Surtout, le Président du Pays dénigre la volonté affirmée des partenaires sociaux, de revoir la protection sociale généralisée dans le cadre d’une réforme globale (régimes de retraite et maladie) et non pas de manière morcelée, tel que proposé dans le projet du gouvernement.
Le Tahoeraa Huiraatira est favorable à une discussion de la PSG2 dans le cadre d’une réforme globale.
Seule la création massive d’emplois, grâce aux grands chantiers, participera à la résorption des déficits existants.
Lorsque M. Fritch considère, confortablement assis dans son fauteuil du haut de sa tour d’ivoire, que « l’on est encore jeune à 60 ans », il est totalement détaché de la réalité des salariés réalisant notamment des travaux pénibles à longueur de journées.
Pire encore, il avoue lors de sa conférence de presse que ce n’est pas de l’intérêt général dont il se préoccupe véritablement, mais plutôt de satisfaire son ego démesuré, en passant pour celui « dont on dira : Fritch a tenu bon et lancé la réforme de la PSG. »
Le Président du Pays serait-il déjà parti ?
Le Tahoeraa Huiraatira prend quant à lui ses responsabilités et à la demande des représentants de l’intersyndicale, une rencontre est prévue ce soir à 17h, en présence des représentants du groupe à l’Assemblée de la Polynésie et du Président Gaston Flosse.