Bjorn Jensen, 24 ans, étudiant en sciences du sport à l’Université d’Auckland, se trouvait dans la région Nord de Tonga, dans le groupe d’îles Ha’apai (site réputé pour le « whale-watching » [observation des baleines]), où il faisait partie d’un groupe d’observateurs de ces cétacés.
Il a été admis à l’hôpital d’Auckland après avoir été mordu au pied en fin de semaine dernière, rapporte lundi le quotidien New Zealand Herald.
L’accident serait survenu alors que ce jeune touriste se trouvait en compagnie d’un groupe de huit personnes qui s’étaient mises à l’eau en masque et tuba pour mieux approcher la baleine et son baleineau.
« Nous étions tous en file indienne, sur un des côtés, pour mieux observer et nous étions tous concentrés sur le spectacle, rien d’autre », a-t-il déclaré depuis son lit d’hôpital, tout en admettant que ne réalisant pas qu’il avait été mordu, il avait d’abord cru heurter un rocher ou une patate de corail.
« D’abord je ne savais pas quoi penser et puis le guide est venu vers moi et très vite, il a ordonné à tout le monde de rejoindre le bateau. Je n’ai pas eu mal, probablement à cause de la montée d’adrénaline et d’un état de choc », a-t-il poursuivi.
Il affirme ne pas avoir vu de requin, mais ses compagnons de palanquée, eux, l’ont vu approcher.
Après un premier rapatriement vers la capitale tongienne Nuku’alofa, où une première opération a eu lieu pour suturer son tendon d’Achille et son orteil sectionnés, puis a ensuite été placé sur le premier vol en direction d’Auckland où, mercredi, il doit subir une greffe de peau au pied, gravement endommagé.
En Nouvelle-Calédonie, ce week-end, l’une des phases de la Melanesian Cup de surf, qui se déroulait en Nouvelle-Calédonie, à Ouano (près de La Foa, sur la Grande Terre)) a dû être reportée en raison de la présence d’un requin blanc qui, selon les surfeurs témoins, aurait dépassé les cinq mètres de long.
Il s’agirait de la troisième apparition du genre, en Nouvelle-Calédonie, depuis le mois dernier.
Jeudi 2 septembre 2010, un touriste australien de 34 ans a survécu jeudi à l’attaque d’un requin alors qu’il se baignait sur la plage d’un hôtel aux îles Salomon.
Selon les mêmes sources, l’homme a pu rejoindre la rive malgré de profondes lacérations au visage et au cou.
Il a dans un premier été évacué d’urgence vers la capitale salomonaise Honiara où, depuis, il a été hospitalisé et où son pronostic vital ne serait pas engagé.
Autre récente attaque de requin, cette-fois-ci mortelle : mi-août 2010, en Australie.
Nicholas Edwards, jeune surfeur de 31 ans, avait alors succombé à ses blessures et à une hémorragie massive après avoir été attaqué par un requin, sur une plage de la localité de Gracetown, à 270 kilomètres au Sud de la ville de Perth (Sud-ouest du pays).
Un groupe de surfeurs, qui se trouvait sur la plage au moment du drame, ainsi que les secours, rapidement alertés, n’ont rien pu faire pour maintenir en vie la victime, dont une jambe était lacérée de morsures, la partie arrière du membre littéralement emportée par une morsure.
Les autorités locales avaient alors rappelé le caractère extrêmement rare de ce genre d’accident dans la région.
Le précédent accident mortel, sur cette plage, remontait à 2004.
Il s’agissait là aussi d’un surfeur.
Les spécialistes locaux des requins penchent pour la thèse de la confusion, estimant que le squale aurait pu prendre ce surfeur allongé et pagayant sur sa planche pour un animal marin, de type phoque, malade ou en difficulté.
pad
Il a été admis à l’hôpital d’Auckland après avoir été mordu au pied en fin de semaine dernière, rapporte lundi le quotidien New Zealand Herald.
L’accident serait survenu alors que ce jeune touriste se trouvait en compagnie d’un groupe de huit personnes qui s’étaient mises à l’eau en masque et tuba pour mieux approcher la baleine et son baleineau.
« Nous étions tous en file indienne, sur un des côtés, pour mieux observer et nous étions tous concentrés sur le spectacle, rien d’autre », a-t-il déclaré depuis son lit d’hôpital, tout en admettant que ne réalisant pas qu’il avait été mordu, il avait d’abord cru heurter un rocher ou une patate de corail.
« D’abord je ne savais pas quoi penser et puis le guide est venu vers moi et très vite, il a ordonné à tout le monde de rejoindre le bateau. Je n’ai pas eu mal, probablement à cause de la montée d’adrénaline et d’un état de choc », a-t-il poursuivi.
Il affirme ne pas avoir vu de requin, mais ses compagnons de palanquée, eux, l’ont vu approcher.
Après un premier rapatriement vers la capitale tongienne Nuku’alofa, où une première opération a eu lieu pour suturer son tendon d’Achille et son orteil sectionnés, puis a ensuite été placé sur le premier vol en direction d’Auckland où, mercredi, il doit subir une greffe de peau au pied, gravement endommagé.
En Nouvelle-Calédonie, ce week-end, l’une des phases de la Melanesian Cup de surf, qui se déroulait en Nouvelle-Calédonie, à Ouano (près de La Foa, sur la Grande Terre)) a dû être reportée en raison de la présence d’un requin blanc qui, selon les surfeurs témoins, aurait dépassé les cinq mètres de long.
Il s’agirait de la troisième apparition du genre, en Nouvelle-Calédonie, depuis le mois dernier.
Jeudi 2 septembre 2010, un touriste australien de 34 ans a survécu jeudi à l’attaque d’un requin alors qu’il se baignait sur la plage d’un hôtel aux îles Salomon.
Selon les mêmes sources, l’homme a pu rejoindre la rive malgré de profondes lacérations au visage et au cou.
Il a dans un premier été évacué d’urgence vers la capitale salomonaise Honiara où, depuis, il a été hospitalisé et où son pronostic vital ne serait pas engagé.
Autre récente attaque de requin, cette-fois-ci mortelle : mi-août 2010, en Australie.
Nicholas Edwards, jeune surfeur de 31 ans, avait alors succombé à ses blessures et à une hémorragie massive après avoir été attaqué par un requin, sur une plage de la localité de Gracetown, à 270 kilomètres au Sud de la ville de Perth (Sud-ouest du pays).
Un groupe de surfeurs, qui se trouvait sur la plage au moment du drame, ainsi que les secours, rapidement alertés, n’ont rien pu faire pour maintenir en vie la victime, dont une jambe était lacérée de morsures, la partie arrière du membre littéralement emportée par une morsure.
Les autorités locales avaient alors rappelé le caractère extrêmement rare de ce genre d’accident dans la région.
Le précédent accident mortel, sur cette plage, remontait à 2004.
Il s’agissait là aussi d’un surfeur.
Les spécialistes locaux des requins penchent pour la thèse de la confusion, estimant que le squale aurait pu prendre ce surfeur allongé et pagayant sur sa planche pour un animal marin, de type phoque, malade ou en difficulté.
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