PHOTO : Alain Robert, le Spiderman français, lors d’une précédente arrestation post-escalade, le 2 juin 2009.
Cette fois-ci, il venait d’achever, en une vingtaine de minutes, l’escalade de la tour « Lumière » (57 étages), située dans le quartier des affaires du centre de Sydney, sous les applaudissements de dizaines de badauds qui, entre-temps, s’étaient massés en bas de l’édifice.
La police est rapidement intervenue pour l’attendre lors de sa redescente et ensuite l’interpeller.
Dans le même quartier, le 2 juin 2009, Alain Robert avait escaladé en une demi-heure une autre tour (de 41 étages) et avait là aussi terminé la matinée au poste de police.
Les agents avaient alors dû eux aussi faire fi du vertige et utiliser une plateforme en verre, à une vingtaine de mètres au-dessus du sol avant d’interroger Alain Robert, qui se définit lui-même comme un « grimpeur urbain ».
« L'escalade est une passion, c'est ma philosophie de la vie. Avec 66 pour cent d'invalidité et un vertige que je ressens à chaque instant, je suis devenu l'un des meilleurs grimpeurs en solo intégral », explique le Spiderman français sur son site officiel (http://www.alainrobert.com).
Il prend toutefois bien soin d’avertir le public que ce sport, l’escalade en solo intégral, « est un sport extrême, très dangereux. Il n’y a aucune sécurité (…) Ne tentez pas de faire les escalades que vous verrez sur ce site. Cela peut être mortel ».
Alain Robert, 47 ans, est partiellement invalide à la suite de deux accidents, au début des années 1980, dont le plus grave fut une chute lors d’une descente en rappel qui lui a occasionné cinq jours de coma et de multiples fractures (tête, membres supérieurs et inférieurs).
Une lésion à l’oreille interne le rend depuis sujet au vertige.
Il a commencé ses escalades urbaines eau milieu des années 1990 avec plusieurs tours du quartier de la Défense (Paris), ou encore l’obélisque de la place de la Concorde.
Il s’est aussi attaqué à de nombreux bâtiments emblématiques à Londres, Francfort, Berlin, Barcelone, Lisbonne, Moscou.
En Amérique du Nord, il compte aussi à son actif la plupart des plus hauts gratte-ciel de New York, de Chicago (dont la Sears Tower, haute de 443 mètres) et de Montréal
En Australie, il a déjà escaladé l’Opéra de Sydney en 1997 et la même année la tour de Sydney (305 mètres).
Il s’est aussi fait remarquer ces dix dernières années en Asie (Hong Kong, Japon, Malaisie, Singapour, Taiwan, Chine ou Indonésie) et au Moyen-Orient (Émirats arabes unis, Liban) pour les mêmes raisons.
Le costume de Spiderman qu’il arbore, de même que les arrestations suivant ses escalades, pour la plupart non autorisées, font partie intégrante de sa stratégie de communication.
La police est rapidement intervenue pour l’attendre lors de sa redescente et ensuite l’interpeller.
Dans le même quartier, le 2 juin 2009, Alain Robert avait escaladé en une demi-heure une autre tour (de 41 étages) et avait là aussi terminé la matinée au poste de police.
Les agents avaient alors dû eux aussi faire fi du vertige et utiliser une plateforme en verre, à une vingtaine de mètres au-dessus du sol avant d’interroger Alain Robert, qui se définit lui-même comme un « grimpeur urbain ».
« L'escalade est une passion, c'est ma philosophie de la vie. Avec 66 pour cent d'invalidité et un vertige que je ressens à chaque instant, je suis devenu l'un des meilleurs grimpeurs en solo intégral », explique le Spiderman français sur son site officiel (http://www.alainrobert.com).
Il prend toutefois bien soin d’avertir le public que ce sport, l’escalade en solo intégral, « est un sport extrême, très dangereux. Il n’y a aucune sécurité (…) Ne tentez pas de faire les escalades que vous verrez sur ce site. Cela peut être mortel ».
Alain Robert, 47 ans, est partiellement invalide à la suite de deux accidents, au début des années 1980, dont le plus grave fut une chute lors d’une descente en rappel qui lui a occasionné cinq jours de coma et de multiples fractures (tête, membres supérieurs et inférieurs).
Une lésion à l’oreille interne le rend depuis sujet au vertige.
Il a commencé ses escalades urbaines eau milieu des années 1990 avec plusieurs tours du quartier de la Défense (Paris), ou encore l’obélisque de la place de la Concorde.
Il s’est aussi attaqué à de nombreux bâtiments emblématiques à Londres, Francfort, Berlin, Barcelone, Lisbonne, Moscou.
En Amérique du Nord, il compte aussi à son actif la plupart des plus hauts gratte-ciel de New York, de Chicago (dont la Sears Tower, haute de 443 mètres) et de Montréal
En Australie, il a déjà escaladé l’Opéra de Sydney en 1997 et la même année la tour de Sydney (305 mètres).
Il s’est aussi fait remarquer ces dix dernières années en Asie (Hong Kong, Japon, Malaisie, Singapour, Taiwan, Chine ou Indonésie) et au Moyen-Orient (Émirats arabes unis, Liban) pour les mêmes raisons.
Le costume de Spiderman qu’il arbore, de même que les arrestations suivant ses escalades, pour la plupart non autorisées, font partie intégrante de sa stratégie de communication.