AUCKLAND, 24 janvier 2012 (AFP) - Un juge néo-zélandais a rejeté mercredi la demande de libération sous caution du fondateur du site Megaupload.com, arrêté en Nouvelle-Zélande à la demande du FBI américain qui l'accuse de piratage massif.
Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, un Allemand de 37 ans, interpellé vendredi avec trois autres responsables de Megaupload, doit être maintenu en détention jusqu'au 22 février. Il nie les accusations de la justice américaine, selon laquelle sa plateforme de téléchargement direct sur l'internet était bâtie sur la violation du droit d'auteur.
"Grâce à la détermination et les ressources financières (de Schmitz), il existe un risque de fuite avéré", a déclaré le juge David McNaughton dans un jugement écrit.
Rien qu'en 2010, Kim Schmitz aurait touché 42 millions de dollars grâce à ses activités sur internet, selon les autorités américaines.
L'homme d'affaires allemand est accusé, avec sept autres personnes, de "piratage massif de nombreux travaux protégés par les droits d'auteurs, à travers Megaupload.com" et d'autres sites.
Ces sites auraient généré plus de 175 millions de dollars en piratant notamment des films et émissions de télévision.
Il encourt une peine de 20 ans de prison.
Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, un Allemand de 37 ans, interpellé vendredi avec trois autres responsables de Megaupload, doit être maintenu en détention jusqu'au 22 février. Il nie les accusations de la justice américaine, selon laquelle sa plateforme de téléchargement direct sur l'internet était bâtie sur la violation du droit d'auteur.
"Grâce à la détermination et les ressources financières (de Schmitz), il existe un risque de fuite avéré", a déclaré le juge David McNaughton dans un jugement écrit.
Rien qu'en 2010, Kim Schmitz aurait touché 42 millions de dollars grâce à ses activités sur internet, selon les autorités américaines.
L'homme d'affaires allemand est accusé, avec sept autres personnes, de "piratage massif de nombreux travaux protégés par les droits d'auteurs, à travers Megaupload.com" et d'autres sites.
Ces sites auraient généré plus de 175 millions de dollars en piratant notamment des films et émissions de télévision.
Il encourt une peine de 20 ans de prison.