Par miracle, ils n'ont pas été blessés après une chute de huit mètres dans une rivière... Ça n’arrive la plupart du temps que dans les films… Quatre touristes français traversaient un pont suspendu début septembre lors d’une randonnée en Nouvelle-Zélande lorsque celui-ci a lâché, les précipitant dans la rivière, huit mètres plus bas.
Adrien Whistler et trois autres marcheurs terminaient une randonnée de 44 km sur le chemin du « Great Walk » du lac de Waikaremoan, dans l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, quand le Français décide d’immortaliser le moment : « Après quatre jours de marche, 43km, nous arrivons enfin au dernier pont suspendu de notre "Great walk" », l’entend-on annoncer dans la vidéo, alors qu’il s’engage en dernière position sur le pont. Quelques instants plus tard, un bruit sec et c’est la chute, puis l’immersion dans la rivière.
Un câble a « lâché »
« Arrivés à mi-chemin nous entendons un bruit sourd et avant d’avoir le temps de quoi que ce soit me voilà projetée dans le vide acceptant fatalement ce qui va suivre, écrit l’une des aventurières sur le blog Rolandades. Un des deux câbles a lâché. Une fois le choc avec l’eau assimilé je me mets debout doucement, je constate que je n’ai rien de cassé et regarde autour de moi à le recherche de tout le monde. » Par miracle, les quatre Français n’ont pas été blessés, précise-t-il.
D’après le Département de la Conservation néo-zélandais, l’incident a été provoqué par un câble qui a « lâché ». « Cela a affecté la stabilité du pont et c’est pourquoi les gens qui se trouvaient dessus ont glissé et sont tombés », explique un responsable au New Zealand Herald.
Plus de peur que de mal pour les randonneurs, qui invitent « tout marcheur où qu’il soit dans le monde de ne jamais sous-estimer le risque encouru par le franchissement d’obstacles. Pensez à passer un par un sur tout type d’équipement et à ne pas jouer sur des structures qui peuvent être bien plus fragiles que ce qu’elles doivent. »
Adrien Whistler et trois autres marcheurs terminaient une randonnée de 44 km sur le chemin du « Great Walk » du lac de Waikaremoan, dans l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, quand le Français décide d’immortaliser le moment : « Après quatre jours de marche, 43km, nous arrivons enfin au dernier pont suspendu de notre "Great walk" », l’entend-on annoncer dans la vidéo, alors qu’il s’engage en dernière position sur le pont. Quelques instants plus tard, un bruit sec et c’est la chute, puis l’immersion dans la rivière.
Un câble a « lâché »
« Arrivés à mi-chemin nous entendons un bruit sourd et avant d’avoir le temps de quoi que ce soit me voilà projetée dans le vide acceptant fatalement ce qui va suivre, écrit l’une des aventurières sur le blog Rolandades. Un des deux câbles a lâché. Une fois le choc avec l’eau assimilé je me mets debout doucement, je constate que je n’ai rien de cassé et regarde autour de moi à le recherche de tout le monde. » Par miracle, les quatre Français n’ont pas été blessés, précise-t-il.
D’après le Département de la Conservation néo-zélandais, l’incident a été provoqué par un câble qui a « lâché ». « Cela a affecté la stabilité du pont et c’est pourquoi les gens qui se trouvaient dessus ont glissé et sont tombés », explique un responsable au New Zealand Herald.
Plus de peur que de mal pour les randonneurs, qui invitent « tout marcheur où qu’il soit dans le monde de ne jamais sous-estimer le risque encouru par le franchissement d’obstacles. Pensez à passer un par un sur tout type d’équipement et à ne pas jouer sur des structures qui peuvent être bien plus fragiles que ce qu’elles doivent. »
