WELLINGTON, vendredi 4 février 2011 (Flash d'Océanie) – Un nouveau groupe de quelque quatre vingt deux globicéphales s’est échoué vendredi à la pointe de Puponga (Golden Bay, baie du Nord de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande), selon le département gouvernemental de la conservation, qui tente depuis de sauver ces cétacés.
Une centaine de volontaires et de membres du département gouvernemental, en attendant la marée haute, plus favorable à des remises à l’eau, s’attache à maintenir les mammifères hydratés et à les protéger du soleil, rapporte a télévision nationale.
La marée haute n’est prévue que samedi aux alentours de midi (heure locale, GMT+13).
Un baleineau serait d’ores et déjà la première victime du groupe.
Il y a deux semaines, le 21 janvier 2011, tous les membres d’un groupe de vingt quatre cétacés échoués dans la baie de Parengarenga Harbour (pointe extrême Nord-ouest de l’île du Nord) avaient dû être euthanasiés par les services de la conservation.
Au cours des derniers mois, les échouages de cétacés se sont multipliés sur les plages de Nouvelle-Zélande.
En septembre 2010, notamment, pour la seconde fois en un mois, un groupe de quelque quatre vingt globicéphales s’échouait sur une plage isolée de l’extrême Nord de la Nouvelle-Zélande.
Sur cette plage de la Baie Spirit (pointe extrême Nord de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande), une bonne moitié du groupe est décédée, malgré les efforts du département de la protection de l’environnement, aidé par des volontaires.
De nombreux mammifères, en état de détresse et d’épuisement extrême, avaient dû être euthanasiés.
Fin août 2010, près de soixante globicéphales appartenant à un groupe de plus de soixante dix individus sont morts après que ce groupe se soit échoué sur une plage isolée, dans la péninsule de Kari Kari, dans la même région.
Lors d’un précédent échouage de masse, juste après Noël 2009, plus de 120 cétacés de type globicéphales sont morts sur une côte à l’Est de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, malgré les efforts de volontaires et d’agents du service de l’environnement pour les remettre à flot.
Les globicéphales, pour la plupart des mères et leurs petits, s’étaient échoués en deux vagues successives.
Deux jours durant, près de cinq cent volontaires et touristes avaient réussi à maintenir en vie environ quatre vingt cétacés, d’une taille moyenne pouvant aller jusqu’à quatre mètres, dans la localité balnéaire de Colville Bay.
Les mammifères rescapés avaient pu être remis à flot à la faveur de la marée haute.
« Jusqu’ici, aucun individu n’est revenu sur la plage », avait alors précisé
L’une des femelles avait même donné naissance à un petit juste après avoir repris la mer.
Lyn Williams, porte-parole du service de l’environnement, avait alors expliqué cet échouage par une désorientation du système naturel de sonar des mammifères, dans des eaux particulièrement peu profondes et dont les fonds sablonneux atténuent considérablement le retour d’écho.
Les tribus Maori avoisinantes avaient ensuite accordé aux cétacés décédés des funérailles traditionnelles et même une sépulture sur la plage.
Un peu plus au Nord de l’île du Sud, toujours quelques jours après Noël 2009, ce sont pas moins de 105 globicéphales qui s’étaient échoués, non loin de la localité de Farewell Spit.
Aucun d’entre eux n’a survécu.
« Le temps que nous arrivions sur place, les deux tiers avaient déjà péri. Nous avons dû euthanasier les autres », avait déploré Hans Stoffregen, directeur du programme biodiversité des services de la conservation.
pad
Une centaine de volontaires et de membres du département gouvernemental, en attendant la marée haute, plus favorable à des remises à l’eau, s’attache à maintenir les mammifères hydratés et à les protéger du soleil, rapporte a télévision nationale.
La marée haute n’est prévue que samedi aux alentours de midi (heure locale, GMT+13).
Un baleineau serait d’ores et déjà la première victime du groupe.
Il y a deux semaines, le 21 janvier 2011, tous les membres d’un groupe de vingt quatre cétacés échoués dans la baie de Parengarenga Harbour (pointe extrême Nord-ouest de l’île du Nord) avaient dû être euthanasiés par les services de la conservation.
Au cours des derniers mois, les échouages de cétacés se sont multipliés sur les plages de Nouvelle-Zélande.
En septembre 2010, notamment, pour la seconde fois en un mois, un groupe de quelque quatre vingt globicéphales s’échouait sur une plage isolée de l’extrême Nord de la Nouvelle-Zélande.
Sur cette plage de la Baie Spirit (pointe extrême Nord de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande), une bonne moitié du groupe est décédée, malgré les efforts du département de la protection de l’environnement, aidé par des volontaires.
De nombreux mammifères, en état de détresse et d’épuisement extrême, avaient dû être euthanasiés.
Fin août 2010, près de soixante globicéphales appartenant à un groupe de plus de soixante dix individus sont morts après que ce groupe se soit échoué sur une plage isolée, dans la péninsule de Kari Kari, dans la même région.
Lors d’un précédent échouage de masse, juste après Noël 2009, plus de 120 cétacés de type globicéphales sont morts sur une côte à l’Est de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, malgré les efforts de volontaires et d’agents du service de l’environnement pour les remettre à flot.
Les globicéphales, pour la plupart des mères et leurs petits, s’étaient échoués en deux vagues successives.
Deux jours durant, près de cinq cent volontaires et touristes avaient réussi à maintenir en vie environ quatre vingt cétacés, d’une taille moyenne pouvant aller jusqu’à quatre mètres, dans la localité balnéaire de Colville Bay.
Les mammifères rescapés avaient pu être remis à flot à la faveur de la marée haute.
« Jusqu’ici, aucun individu n’est revenu sur la plage », avait alors précisé
L’une des femelles avait même donné naissance à un petit juste après avoir repris la mer.
Lyn Williams, porte-parole du service de l’environnement, avait alors expliqué cet échouage par une désorientation du système naturel de sonar des mammifères, dans des eaux particulièrement peu profondes et dont les fonds sablonneux atténuent considérablement le retour d’écho.
Les tribus Maori avoisinantes avaient ensuite accordé aux cétacés décédés des funérailles traditionnelles et même une sépulture sur la plage.
Un peu plus au Nord de l’île du Sud, toujours quelques jours après Noël 2009, ce sont pas moins de 105 globicéphales qui s’étaient échoués, non loin de la localité de Farewell Spit.
Aucun d’entre eux n’a survécu.
« Le temps que nous arrivions sur place, les deux tiers avaient déjà péri. Nous avons dû euthanasier les autres », avait déploré Hans Stoffregen, directeur du programme biodiversité des services de la conservation.
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