Sur cette plage de la Baie Spirit (pointe extrême Nord de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande), une bonne moitié des individus est depuis décédée.
Les autorités locales du département de la protection de l’environnement, aidés par des volontaires, tentent depuis de sauver le reste du groupe.
Mais ces efforts, qui impliquent le transport des cétacés par voie routière vers une autre plage, sont rendus difficiles par les conditions météorologiques particulièrement adverses qui frappent l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande depuis le week-end dernier et qui provoquent, entre autres, une mer démontée.
Plusieurs mammifères, en état de détresse et d’épuisement extrême, ont déjà dû être euthanasiés, a précisé un porte-parole du service de l’environnement.
Fin août 2010, près de soixante globicéphales appartenant à un groupe de plus de soixante dix individus sont morts après que ce groupe se soit échoué sur une plage isolée, dans la péninsule de Kari Kari, dans la même région.
Lors d’un précédent échouage de masse, juste après Noël 2009, plus de 120 cétacés de type globicéphales sont morts sur une côte à l’Est de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, malgré les efforts de volontaires et d’agents du service de l’environnement pour les remettre à flot.
Les globicéphales, pour la plupart des mères et leurs petits, s’étaient échoués en deux vagues successives.
Deux jours durant, près de cinq cent volontaires et touristes avaient réussi à maintenir en vie environ quatre vingt cétacés, d’une taille moyenne pouvant aller jusqu’à quatre mètres, dans la localité balnéaire de Colville Bay.
Les mammifères rescapés avaient pu être remis à flot à la faveur de la marée haute.
« Jusqu’ici, aucun individu n’est revenu sur la plage », avait alors précisé
L’une des femelles avait même donné naissance à un petit juste après avoir repris la mer.
Lyn Williams, porte-parole du service de l’environnement, avait alors expliqué cet échouage par une désorientation du système naturel de sonar des mammifères, dans des eaux particulièrement peu profondes et dont les fonds sablonneux atténuent considérablement le retour d’écho.
Les tribus Maori avoisinantes avaient ensuite accordé aux cétacés décédés des funérailles traditionnelles et même une sépulture sur la plage.
Un peu plus au Nord de l’île du Sud, toujours quelques jours après Noël 2009, ce sont pas moins de 105 globicéphales qui s’étaient échoués, non loin de la localité de Farewell Spit.
Aucun d’entre eux n’a survécu.
« Le temps que nous arrivions sur place, les deux tiers avaient déjà péri. Nous avons dû euthanasier les autres », avait déploré Hans Stoffregen, directeur du programme biodiversité des services de la conservation.
pad
Les autorités locales du département de la protection de l’environnement, aidés par des volontaires, tentent depuis de sauver le reste du groupe.
Mais ces efforts, qui impliquent le transport des cétacés par voie routière vers une autre plage, sont rendus difficiles par les conditions météorologiques particulièrement adverses qui frappent l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande depuis le week-end dernier et qui provoquent, entre autres, une mer démontée.
Plusieurs mammifères, en état de détresse et d’épuisement extrême, ont déjà dû être euthanasiés, a précisé un porte-parole du service de l’environnement.
Fin août 2010, près de soixante globicéphales appartenant à un groupe de plus de soixante dix individus sont morts après que ce groupe se soit échoué sur une plage isolée, dans la péninsule de Kari Kari, dans la même région.
Lors d’un précédent échouage de masse, juste après Noël 2009, plus de 120 cétacés de type globicéphales sont morts sur une côte à l’Est de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, malgré les efforts de volontaires et d’agents du service de l’environnement pour les remettre à flot.
Les globicéphales, pour la plupart des mères et leurs petits, s’étaient échoués en deux vagues successives.
Deux jours durant, près de cinq cent volontaires et touristes avaient réussi à maintenir en vie environ quatre vingt cétacés, d’une taille moyenne pouvant aller jusqu’à quatre mètres, dans la localité balnéaire de Colville Bay.
Les mammifères rescapés avaient pu être remis à flot à la faveur de la marée haute.
« Jusqu’ici, aucun individu n’est revenu sur la plage », avait alors précisé
L’une des femelles avait même donné naissance à un petit juste après avoir repris la mer.
Lyn Williams, porte-parole du service de l’environnement, avait alors expliqué cet échouage par une désorientation du système naturel de sonar des mammifères, dans des eaux particulièrement peu profondes et dont les fonds sablonneux atténuent considérablement le retour d’écho.
Les tribus Maori avoisinantes avaient ensuite accordé aux cétacés décédés des funérailles traditionnelles et même une sépulture sur la plage.
Un peu plus au Nord de l’île du Sud, toujours quelques jours après Noël 2009, ce sont pas moins de 105 globicéphales qui s’étaient échoués, non loin de la localité de Farewell Spit.
Aucun d’entre eux n’a survécu.
« Le temps que nous arrivions sur place, les deux tiers avaient déjà péri. Nous avons dû euthanasier les autres », avait déploré Hans Stoffregen, directeur du programme biodiversité des services de la conservation.
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