BRUXELLES, 4 novembre 2010 (AFP) - Un nouvelle variante d'un gène identifiée par une équipe des chercheurs européens ouvre la voie à de nouveaux traitements de l'hypertension, a annoncé jeudi la Commission européenne.
"Je félicite tous ceux qui ont participé à cet excellent travail", a déclaré la commissaire européenne responsable de la Recherche Maire Geoghegan-Quinn, en soulignant que les travaux avaient bénéficié d'un soutien financier de 10 millions d'euros de l'UE.
La variante du gène UMOD localisée sur le chromosome 16 joue un rôle de facteur protecteur contre l'hypertension par son action régulatrice de l'uromoduline, souligne la recherche dirigée par l'Université de Glasgow et l'Istituto Auxologico Italiano de Milan.
Les scientifiques qui y ont participé appartiennent à 31 équipes de recherche travaillant dans onze pays de l'UE: Italie, Royaume Uni, Belgique, République Tchèque, Allemagne, Espagne, France, Pays-Bas, Pologne, Finlande et Suède, précise la Commission.
Un adulte sur quatre dans l'UE souffre d'hypertension, principal facteur de risque cardiovasculaire.
Chez les personnes porteuses du gène modifié, on relève 15% en moins d'accidents vasculaires cérébraux, d'infarctus du myocarde et de décès d'origine coronarienne. La découverte est le résultat d'une étude génétique réalisée sur 40.000 personnes originaires de huit pays de l'UE.
csg/yo/ai e
"Je félicite tous ceux qui ont participé à cet excellent travail", a déclaré la commissaire européenne responsable de la Recherche Maire Geoghegan-Quinn, en soulignant que les travaux avaient bénéficié d'un soutien financier de 10 millions d'euros de l'UE.
La variante du gène UMOD localisée sur le chromosome 16 joue un rôle de facteur protecteur contre l'hypertension par son action régulatrice de l'uromoduline, souligne la recherche dirigée par l'Université de Glasgow et l'Istituto Auxologico Italiano de Milan.
Les scientifiques qui y ont participé appartiennent à 31 équipes de recherche travaillant dans onze pays de l'UE: Italie, Royaume Uni, Belgique, République Tchèque, Allemagne, Espagne, France, Pays-Bas, Pologne, Finlande et Suède, précise la Commission.
Un adulte sur quatre dans l'UE souffre d'hypertension, principal facteur de risque cardiovasculaire.
Chez les personnes porteuses du gène modifié, on relève 15% en moins d'accidents vasculaires cérébraux, d'infarctus du myocarde et de décès d'origine coronarienne. La découverte est le résultat d'une étude génétique réalisée sur 40.000 personnes originaires de huit pays de l'UE.
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