Lundi 10 mars 2014. La piscine de Tipaerui a accueilli samedi le Trophée Joel Rossi-Eric Brillant, une compétition de natation proposée par l’Olympique de Pirae destinée à un public large. Compétiteurs de tous âges ont répondu à l’appel pour rendre hommage à deux figures emblématiques de la natation aujourd’hui disparues.
C’est le club organisateur Olympique de Pirae qui remporte le trophée chez les filles avec 340 points contre le club des nageurs de Polynésie (CNP) qui totalise 274 points puis le club I Mua avec 174 points. Chez les garçons c’est également le club organisateur qui l’emporte avec 278 points devant I Mua (245 points) et CNP (243 points). Taina Natation est 4ème dans les deux catégories.
C’est le club organisateur Olympique de Pirae qui remporte le trophée chez les filles avec 340 points contre le club des nageurs de Polynésie (CNP) qui totalise 274 points puis le club I Mua avec 174 points. Chez les garçons c’est également le club organisateur qui l’emporte avec 278 points devant I Mua (245 points) et CNP (243 points). Taina Natation est 4ème dans les deux catégories.
Michel Sommers, président de la fédération de natation :
« Aujourd'hui c'est une compétition de club, en l'honneur de deux grand nageurs de compétition que furent Joel Rossi qui a fondé le club de l'Olympique de Papeete et Eric Brillant un ancien nageur du cercle des nageurs de Polynésie qui nous a quitté malheureusement très tôt. »
« Cette compétition est adressées aux enfants de 7-8 ans et mais également aux adultes de 25-30 ans, voire 40 ans. L'idée c'est de faire nager tout le monde pour faire des ‘chronos’ en bassin de 50m. Le cumul des points se fait pour tous les 10 premiers nageurs de chaque catégorie puis on cumule l'ensemble des points et on définit le club qui a gagné au niveau des filles et celui qui a gagné au niveau des garçons. »
« C'est une compétition d'animation, on le voit d'ailleurs très bien dans les tribunes. A partir du moment où les nageurs ont 7-8 ans c'est papa-maman, le tonton, le grand père qui sont dans les tribunes. On alterne chaque semaine entre compétition 'élite' et compétition d'animation. »
« On tourne en natation à environ 1300 licenciés chaque année. Un gros travail est fait par trois gros clubs que sont le cercle des nageurs de Polynésie, l'association I Mua et bien sûr l'olympique de Pirae qui oeuvrent dans la natation, qui créent nos élites et qui mettent en place les écoles de natation dans les 3-4 bassins de Polynésie. »
« Je suis satisfait du travail des clubs, satisfait aussi du travail du conseil fédéral qui depuis deux-trois ans œuvre pour qu'il y ait une osmose au sein des clubs car ce n'est pas simple. On est toujours en compétition malgré tout mais c'est quelque chose qui est mis en second plan, c'est le nageur qui est mis en premier plan. » SB
« Aujourd'hui c'est une compétition de club, en l'honneur de deux grand nageurs de compétition que furent Joel Rossi qui a fondé le club de l'Olympique de Papeete et Eric Brillant un ancien nageur du cercle des nageurs de Polynésie qui nous a quitté malheureusement très tôt. »
« Cette compétition est adressées aux enfants de 7-8 ans et mais également aux adultes de 25-30 ans, voire 40 ans. L'idée c'est de faire nager tout le monde pour faire des ‘chronos’ en bassin de 50m. Le cumul des points se fait pour tous les 10 premiers nageurs de chaque catégorie puis on cumule l'ensemble des points et on définit le club qui a gagné au niveau des filles et celui qui a gagné au niveau des garçons. »
« C'est une compétition d'animation, on le voit d'ailleurs très bien dans les tribunes. A partir du moment où les nageurs ont 7-8 ans c'est papa-maman, le tonton, le grand père qui sont dans les tribunes. On alterne chaque semaine entre compétition 'élite' et compétition d'animation. »
« On tourne en natation à environ 1300 licenciés chaque année. Un gros travail est fait par trois gros clubs que sont le cercle des nageurs de Polynésie, l'association I Mua et bien sûr l'olympique de Pirae qui oeuvrent dans la natation, qui créent nos élites et qui mettent en place les écoles de natation dans les 3-4 bassins de Polynésie. »
« Je suis satisfait du travail des clubs, satisfait aussi du travail du conseil fédéral qui depuis deux-trois ans œuvre pour qu'il y ait une osmose au sein des clubs car ce n'est pas simple. On est toujours en compétition malgré tout mais c'est quelque chose qui est mis en second plan, c'est le nageur qui est mis en premier plan. » SB
