WELLINGTON, lundi 9 janvier 2012 (Flash d’Océanie) – Les opérations de nettoyage des plages de Tauranga, au Nord-est de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, ont à nouveau débuté lundi, après que le porte-conteneurs Rena, échoué depuis le 5 octobre 2011 au large, sur le récif de l’Astrolabe, se soit effectivement scindé en deux dans la nuit de samedi à dimanche, laissant échapper une nouvelle vague de conteneurs ainsi que des quantités de d’hydrocarbures sortis de ses réservoirs.
La rupture structurelle de ce navire était prévue dès la fin de la semaine dernière, les autorités et les services d’urgence estimant que le Rena ne résisterait pas à une mer particulièrement forte dans la zone, rapporte la presse nationale.
Alors que les deux morceaux de la coque du navire s’éloignaient lundi progressivement l’un de l’autre, par des creux de six mètres, un énorme nuage blanc, résultat de l’entrée en contact de la poudre avec l’eau de mer, s’est déjà formé autour des deux morceaux de la carcasse.
Nuage de lait en poudre
Les sacs plastiques qui contenaient cette poudre ont commencé à affluer sur les plages du littoral.
Cinq conteneurs sont déjà arrivés à terre, au milieu d’autres débris de bois, de plastique, de polystyrène et des meubles entiers.
Par précaution, un avis d’interdiction de la navigation dans cette zone a été émis à l’attention des navires.
Depuis son naufrage, le Rena a fait l’objet de plusieurs opérations de secours, essentiellement afin de vider ses réservoirs de leur carburant.
Des dizaines de conteneurs sont tombés à l’eau, plus de trois cent cinquante autres ont pu être récupérés, mais il en resterait encore plus de huit cent à bord, a précisé Maritime New Zealand, qui gère cette situation.
Environ trois cent de ces conteneurs sont depuis ce week-end à la dérive, selon Ross Henderson, porte-parole de Maritime New Zealand, et leur contenu aurait commencé à atteindre les plages de la Baie de Plenty, en particulier celle de Waihi.
À l’origine, le naufrage avait causé une mini-marée noire sur les plages de Tauranga, qui ont aussi vu arriver des tonnes de marchandises et de produits plus ou moins toxiques, sortis des conteneurs.
Néanmoins, les précédentes opérations ayant permis de pomper une grande majorité des hydrocarbures contenus initialement dans les réservoirs du Rena, les autorités ne considèrent pas que le risque de marée noire soit particulièrement élevé.
pad
La rupture structurelle de ce navire était prévue dès la fin de la semaine dernière, les autorités et les services d’urgence estimant que le Rena ne résisterait pas à une mer particulièrement forte dans la zone, rapporte la presse nationale.
Alors que les deux morceaux de la coque du navire s’éloignaient lundi progressivement l’un de l’autre, par des creux de six mètres, un énorme nuage blanc, résultat de l’entrée en contact de la poudre avec l’eau de mer, s’est déjà formé autour des deux morceaux de la carcasse.
Nuage de lait en poudre
Les sacs plastiques qui contenaient cette poudre ont commencé à affluer sur les plages du littoral.
Cinq conteneurs sont déjà arrivés à terre, au milieu d’autres débris de bois, de plastique, de polystyrène et des meubles entiers.
Par précaution, un avis d’interdiction de la navigation dans cette zone a été émis à l’attention des navires.
Depuis son naufrage, le Rena a fait l’objet de plusieurs opérations de secours, essentiellement afin de vider ses réservoirs de leur carburant.
Des dizaines de conteneurs sont tombés à l’eau, plus de trois cent cinquante autres ont pu être récupérés, mais il en resterait encore plus de huit cent à bord, a précisé Maritime New Zealand, qui gère cette situation.
Environ trois cent de ces conteneurs sont depuis ce week-end à la dérive, selon Ross Henderson, porte-parole de Maritime New Zealand, et leur contenu aurait commencé à atteindre les plages de la Baie de Plenty, en particulier celle de Waihi.
À l’origine, le naufrage avait causé une mini-marée noire sur les plages de Tauranga, qui ont aussi vu arriver des tonnes de marchandises et de produits plus ou moins toxiques, sortis des conteneurs.
Néanmoins, les précédentes opérations ayant permis de pomper une grande majorité des hydrocarbures contenus initialement dans les réservoirs du Rena, les autorités ne considèrent pas que le risque de marée noire soit particulièrement élevé.
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