AUCKLAND, mercredi 11 janvier 2012 (Flash d’Océanie) – Murray McCully, ministre salomonais des affaires étrangères, s’est envolé mercredi pour une brève visite officielle au cours de laquelle il rencontrer notamment le nouveau Premier ministre de cet archipel mélanésien, Gordon Darcy Lilo.
Outre cette première rencontre avec M. Lilo (élu Premier ministre en novembre 2011), le chef de la diplomatie néo-zélandaise a aussi mentionné dans un communiqué un autre point sensible pour cette visite : faire le point sur le processus de transition concernant la force régionale d’assistance aux îles Salomon (RAMSI, installée dans cet archipel depuis juillet 2003, à l’origine pour mettre un terme )à une guerre civilo-ethnique de cinq ans) et à laquelle la Nouvelle-Zélande participe, aux côtés de l’Australie (qui en assure le commandement et une bonne partie du financement) et de plusieurs petits États insulaires membres du forum des Îles du Pacifique (FIP).
Après la phase de stabilisation, la RAMSI, ces dernières années, a concentré ses activités sur un travail de reconstruction, avec un accent fort sur les notions de bonne gouvernance et de réformes des services publics essentiels.
La RAMSI agit sous mandat du FIP, dans le cadre de ses dispositions d’urgence rassemblées dans une « déclaration de Biketawa » adoptée au début des années 2000 par les dirigeants océaniens.
Depuis le dernier sommet annuel du FIP à Auckland (début septembre 2011), la Nouvelle-Zélande assure la présidence tournante d cette organisation régionale.
Le commandement de la RAMSI, force militaire, policière et civile, est assuré par l’Australie.
Au cours de sa visite, M. McCully prévoit aussi de constater sur place l’état de mise en œuvre d’une série de projets de développement financés par Wellington (à hauteur de quelque 25 millions de ses dollars, soit 15,5 millions d’euros), y compris un chantier de remise à niveau des infrastructures aéroportuaires dans la province de l’Ouest, sur le petit aéroport de Munda et à Gizo.
Le 2 avril 2007, la province de Gizo (Nord des îles Salomon) avait été frappée par un énorme séisme de magnitude 8, qui avait fait une cinquantaine de morts et des milliers de déplacés.
pad
Outre cette première rencontre avec M. Lilo (élu Premier ministre en novembre 2011), le chef de la diplomatie néo-zélandaise a aussi mentionné dans un communiqué un autre point sensible pour cette visite : faire le point sur le processus de transition concernant la force régionale d’assistance aux îles Salomon (RAMSI, installée dans cet archipel depuis juillet 2003, à l’origine pour mettre un terme )à une guerre civilo-ethnique de cinq ans) et à laquelle la Nouvelle-Zélande participe, aux côtés de l’Australie (qui en assure le commandement et une bonne partie du financement) et de plusieurs petits États insulaires membres du forum des Îles du Pacifique (FIP).
Après la phase de stabilisation, la RAMSI, ces dernières années, a concentré ses activités sur un travail de reconstruction, avec un accent fort sur les notions de bonne gouvernance et de réformes des services publics essentiels.
La RAMSI agit sous mandat du FIP, dans le cadre de ses dispositions d’urgence rassemblées dans une « déclaration de Biketawa » adoptée au début des années 2000 par les dirigeants océaniens.
Depuis le dernier sommet annuel du FIP à Auckland (début septembre 2011), la Nouvelle-Zélande assure la présidence tournante d cette organisation régionale.
Le commandement de la RAMSI, force militaire, policière et civile, est assuré par l’Australie.
Au cours de sa visite, M. McCully prévoit aussi de constater sur place l’état de mise en œuvre d’une série de projets de développement financés par Wellington (à hauteur de quelque 25 millions de ses dollars, soit 15,5 millions d’euros), y compris un chantier de remise à niveau des infrastructures aéroportuaires dans la province de l’Ouest, sur le petit aéroport de Munda et à Gizo.
Le 2 avril 2007, la province de Gizo (Nord des îles Salomon) avait été frappée par un énorme séisme de magnitude 8, qui avait fait une cinquantaine de morts et des milliers de déplacés.
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