Ils voulaient passer un bon moment entre amis, c’est finalement la mort qui les attendait. Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, à Moorea, deux jeunes hommes de 20 et 30 ans ont été éjectés d’une camionnette et ont été tués. En cause : l’alcool, encore l’alcool. Le conducteur était ivre et sans permis, ils n’avaient pas fermé la porte du fourgon…Mercredi, leurs familles et leurs amis les ont enterrés au cimetière de Mahina.
Ce fait n’était pas isolé, même si les autres accidents ont été moins dramatiques. Au cours de ce seul week-end de Pentecôte, la gendarmerie a verbalisé 72 conducteurs sous l’emprise de l’alcool et a également procédé au retrait de 30 permis de conduire ! Toujours au cours de ce même week end, 20 accidents ont été constatés. Plusieurs personnes ont été blessées, dont certains gravement. On compte notamment un enfant qui a été renversé.
Le bilan ne cesse de s’alourdir et ce, en dépit des recommandations et des campagnes de sensibilisation mis en place, notamment par les services de gendarmerie. Les jeunes sont les premiers concernés par ces accidents dus à une consommation excessive d’alcool.
La « gendarmerie » rappelle dans un de ses communiqués que « son objectif est bien de sauver des vies et que la première cause des accidents de la route sur le Fenua est l’alcool au volant. » et de conclure « …qu’en outre, il faut rappeler qu’un mort sur deux sur les routes de Polynésie Française est un jeune de moins de 25 ans. »
On ne le dira jamais assez, mais il est bon de remettre au goût du jour les anciens slogans comme le plus connu : « boire ou conduire, il faut choisir ! ». Pour conclure, un membre de la famille d’une victime de la route avait déclaré, non sans émotion et une certaine colère: « Ici, on se croit toujours les plus fort, et pourtant, que pouvons-nous faire contre du ciment, du fer ou du bois ? Et voilà le résultat ! Quel gâchis ! ». Combien de larmes faudra-t-il pour que les consciences se réveillent et que la raison s’empare de nos jeunes ?
TP
Ce fait n’était pas isolé, même si les autres accidents ont été moins dramatiques. Au cours de ce seul week-end de Pentecôte, la gendarmerie a verbalisé 72 conducteurs sous l’emprise de l’alcool et a également procédé au retrait de 30 permis de conduire ! Toujours au cours de ce même week end, 20 accidents ont été constatés. Plusieurs personnes ont été blessées, dont certains gravement. On compte notamment un enfant qui a été renversé.
Le bilan ne cesse de s’alourdir et ce, en dépit des recommandations et des campagnes de sensibilisation mis en place, notamment par les services de gendarmerie. Les jeunes sont les premiers concernés par ces accidents dus à une consommation excessive d’alcool.
La « gendarmerie » rappelle dans un de ses communiqués que « son objectif est bien de sauver des vies et que la première cause des accidents de la route sur le Fenua est l’alcool au volant. » et de conclure « …qu’en outre, il faut rappeler qu’un mort sur deux sur les routes de Polynésie Française est un jeune de moins de 25 ans. »
On ne le dira jamais assez, mais il est bon de remettre au goût du jour les anciens slogans comme le plus connu : « boire ou conduire, il faut choisir ! ». Pour conclure, un membre de la famille d’une victime de la route avait déclaré, non sans émotion et une certaine colère: « Ici, on se croit toujours les plus fort, et pourtant, que pouvons-nous faire contre du ciment, du fer ou du bois ? Et voilà le résultat ! Quel gâchis ! ». Combien de larmes faudra-t-il pour que les consciences se réveillent et que la raison s’empare de nos jeunes ?
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Te mau ‘ati purümu : te ‘ü’ana noa atu ra
I roto noa i teie mau mahana fa’a’eara’a ‘ohipa nö te ‘öro’a Penetetöte, rave rahi mau hi’opo’ara’a i rave hia e te mau müto’i faräni. Te ha’amana’o ra tätou i teie ‘ati i tupu i Mo’orea. To’o piti taure’are’a o te i fa’aru’e roa mai. Tupu atu nei te hunara’a i teie mahana toru, i Mahina. Ia au te reo o te mau müto’i, 72 mau ta’ata fa’ahoro o te i fa’aütu’a hia. Rahi te inu nö te ta’ato’ara’a. Ta’a i te reira, 30 mau parau fa’ahorora’a pere’o’o o te i täpe’a hia e rätou.
‘Aita i ‘oti, i tö mau mahana noa ea, e piti ‘ahuru ‘ati purümu i pa’o hia i roto i te mau parau fa’a’ite. I ni’a i teie nümera, o te ta’ato’ara’a te i inu i te ‘ava. ‘Aita rätou i ha’apa’o i te mau parau fa’a’ara’a nö roto mai i te mau parau piahia, a ore ra i te mau parau fa’atianianira’a a te mau ‘äfata teata ‘e parauparau. Nö reira, te ani fa’ahou nei te mau pü ‘ohipa o te mau müto’i huru rau, ‘ia vai äraära noa tätou ma te ‘ore e inu mai te peu e fa’ahoro tätou i te pere’o’o. Mea ‘eta’eta roa te ture ‘ia noa’a hia atu ‘outou.
TP
I roto noa i teie mau mahana fa’a’eara’a ‘ohipa nö te ‘öro’a Penetetöte, rave rahi mau hi’opo’ara’a i rave hia e te mau müto’i faräni. Te ha’amana’o ra tätou i teie ‘ati i tupu i Mo’orea. To’o piti taure’are’a o te i fa’aru’e roa mai. Tupu atu nei te hunara’a i teie mahana toru, i Mahina. Ia au te reo o te mau müto’i, 72 mau ta’ata fa’ahoro o te i fa’aütu’a hia. Rahi te inu nö te ta’ato’ara’a. Ta’a i te reira, 30 mau parau fa’ahorora’a pere’o’o o te i täpe’a hia e rätou.
‘Aita i ‘oti, i tö mau mahana noa ea, e piti ‘ahuru ‘ati purümu i pa’o hia i roto i te mau parau fa’a’ite. I ni’a i teie nümera, o te ta’ato’ara’a te i inu i te ‘ava. ‘Aita rätou i ha’apa’o i te mau parau fa’a’ara’a nö roto mai i te mau parau piahia, a ore ra i te mau parau fa’atianianira’a a te mau ‘äfata teata ‘e parauparau. Nö reira, te ani fa’ahou nei te mau pü ‘ohipa o te mau müto’i huru rau, ‘ia vai äraära noa tätou ma te ‘ore e inu mai te peu e fa’ahoro tätou i te pere’o’o. Mea ‘eta’eta roa te ture ‘ia noa’a hia atu ‘outou.
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