Moo Moo, le chat miraculé
WELLINGTON, mercredi 23 octobre 2013 (Flash d’Océanie) – La Nouvelle-Zélande s’est émue mercredi de l’histoire d’un chat qui, transpercé à la tête par un carreau d’arbalète, a été miraculeusement sauvé dans une clinique vétérinaire de Palmerston North (Nord de Wellington, île du Nord de la Nouvelle-Zélande).
Selon le vétérinaire Jonathan Bray, ce chat de quatre ans, baptisé « Moo Moo », a été amené par sa famille en urgence à l’école vétérinaire de Massey, avec dans la tête cette flèche la transperçant de part en part, rapporte mercredi le quotidien local Hutt News, cité par la presse nationale.
Après examen, le vétérinaire a constaté que malgré le caractère spectaculaire de l’accident, la flèche n’avait pas touché le cerveau.
« Elle est rentrée juste au-dessus de l’œil pour ensuite transpercer le crâne de part en part (…) Je n’ai jamais rien vu de pareil, c’est une chance incroyable », a-t-il expliqué.
Le félin a été opéré pour extraire l’objet et, selon les médecins, récupère extrêmement rapidement.
Donna Ferrari, propriétaire de Moo Moo, cherche maintenant à savoir qui a pu ainsi prendre pour cible son chat.
La police, ainsi que l’antenne locale de la société protectrice des animaux, mènent quant à eux une enquête de voisinage.
pad
Selon le vétérinaire Jonathan Bray, ce chat de quatre ans, baptisé « Moo Moo », a été amené par sa famille en urgence à l’école vétérinaire de Massey, avec dans la tête cette flèche la transperçant de part en part, rapporte mercredi le quotidien local Hutt News, cité par la presse nationale.
Après examen, le vétérinaire a constaté que malgré le caractère spectaculaire de l’accident, la flèche n’avait pas touché le cerveau.
« Elle est rentrée juste au-dessus de l’œil pour ensuite transpercer le crâne de part en part (…) Je n’ai jamais rien vu de pareil, c’est une chance incroyable », a-t-il expliqué.
Le félin a été opéré pour extraire l’objet et, selon les médecins, récupère extrêmement rapidement.
Donna Ferrari, propriétaire de Moo Moo, cherche maintenant à savoir qui a pu ainsi prendre pour cible son chat.
La police, ainsi que l’antenne locale de la société protectrice des animaux, mènent quant à eux une enquête de voisinage.
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