Paris, France | AFP | mardi 24/10/2017 - S'arrêter de fumer ? Dans la première "fan zone" de l'opération #MoisSansTabac de novembre, Jérémy est partant, mais il ne veut "ni patch, ni vapotage".
Cet espace, ouvert mardi à Paris pour une journée, sera accueilli dans onze autres villes de France.
"Je ne veux pas de chimique, pas de patch sur ma peau, ni de cigarettes électroniques parce que l'on ne sait pas ce qu'il y dedans", ajoute Jérémy, 26 ans, qui souhaite s'en passer "si possible".
"Je me suis dit que je pouvais arrêter quand je voulais, j'ai fait une tentative en juin. J'ai tenu quatre jours vraiment sans tabac". "Après une dispute avec une collègue, je me suis rendu compte que j’étais nerveux à cause du manque de nicotine".
Etudiant en préparation "pré-DU" (préparation au diplôme universitaire), il est venu consulter l'un des médecins tabacologues disponibles sur place dans la "fan zone", sous des tentes jaunes citron qui abritent des boxes de consultation, ainsi qu'un espace d'information et d'un autre "ludique" (quiz humoristique, photo de soutien...)
Autour de lui, ses amis sont de plus en plus nombreux à s'arrêter ou à tenter de le faire. S'inscrire dans un groupe sur le site www.tabac-info-service.fr ? "Ça pourrait m'encourager".
De son côté, Elodie, se prend en photo l'air ravi pour personnaliser une carte d'encouragement à Jean-Marc, un ami qui se lance dans l'aventure de l'arrêt du tabac, qu'elle va lui remettre plutôt que de lui envoyer par mél.
Malika, "2 enfants, 7 cigarettes par jour, deux parents très grands fumeurs", est venue sur la fan zone parce qu'"une collègue de travail lui en a parlé". "On est trois copines à se soutenir", dit-elle.
Elle se souvient avoir commencé à 25 ans à son premier CDI pour pouvoir faire la pause et échanger avec ses collègues.
"Ma mère, 67 ans, est passée de plus 46 cigarettes par jour à 2 par jour à cause d'une BPCO".
La bronchopneumopathie chronique obstructive est une maladie rapidement invalidante dont le tabac est la cause principale.
Trois gamins se présentent, l'un d'eux explique que pour faire de la boxe c'est mieux de ne plus fumer. Il a commencé à 14 ans.
Arrive Akram, 29 ans, fumeur depuis une dizaine d’années, qui vient s'inscrire pour le défi du #MoisSansTabac, même s'il a cessé de fumer depuis quinze jours, en raison de problème d’essoufflement.
L'Ile-de-France compte 2.100.000 fumeurs quotidiens dont 63% ont envie de ne plus fumer, selon les autorités sanitaires. En 2016, 24.470 habitants de la région s’étaient inscrits à la première édition de l'opération "Moi(s) sans tabac".
Cet espace, ouvert mardi à Paris pour une journée, sera accueilli dans onze autres villes de France.
"Je ne veux pas de chimique, pas de patch sur ma peau, ni de cigarettes électroniques parce que l'on ne sait pas ce qu'il y dedans", ajoute Jérémy, 26 ans, qui souhaite s'en passer "si possible".
"Je me suis dit que je pouvais arrêter quand je voulais, j'ai fait une tentative en juin. J'ai tenu quatre jours vraiment sans tabac". "Après une dispute avec une collègue, je me suis rendu compte que j’étais nerveux à cause du manque de nicotine".
Etudiant en préparation "pré-DU" (préparation au diplôme universitaire), il est venu consulter l'un des médecins tabacologues disponibles sur place dans la "fan zone", sous des tentes jaunes citron qui abritent des boxes de consultation, ainsi qu'un espace d'information et d'un autre "ludique" (quiz humoristique, photo de soutien...)
Autour de lui, ses amis sont de plus en plus nombreux à s'arrêter ou à tenter de le faire. S'inscrire dans un groupe sur le site www.tabac-info-service.fr ? "Ça pourrait m'encourager".
De son côté, Elodie, se prend en photo l'air ravi pour personnaliser une carte d'encouragement à Jean-Marc, un ami qui se lance dans l'aventure de l'arrêt du tabac, qu'elle va lui remettre plutôt que de lui envoyer par mél.
Malika, "2 enfants, 7 cigarettes par jour, deux parents très grands fumeurs", est venue sur la fan zone parce qu'"une collègue de travail lui en a parlé". "On est trois copines à se soutenir", dit-elle.
Elle se souvient avoir commencé à 25 ans à son premier CDI pour pouvoir faire la pause et échanger avec ses collègues.
"Ma mère, 67 ans, est passée de plus 46 cigarettes par jour à 2 par jour à cause d'une BPCO".
La bronchopneumopathie chronique obstructive est une maladie rapidement invalidante dont le tabac est la cause principale.
Trois gamins se présentent, l'un d'eux explique que pour faire de la boxe c'est mieux de ne plus fumer. Il a commencé à 14 ans.
Arrive Akram, 29 ans, fumeur depuis une dizaine d’années, qui vient s'inscrire pour le défi du #MoisSansTabac, même s'il a cessé de fumer depuis quinze jours, en raison de problème d’essoufflement.
L'Ile-de-France compte 2.100.000 fumeurs quotidiens dont 63% ont envie de ne plus fumer, selon les autorités sanitaires. En 2016, 24.470 habitants de la région s’étaient inscrits à la première édition de l'opération "Moi(s) sans tabac".